CALMANN LEVY.. 1923.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 347 pages. Ecriture au stylo sur la page de faux titre.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150018925
6ème édition. Collection nouvelle. Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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, , 1914-1917. Plus de 1000 lettres et cartes manuscrites.
Rare et volumineuse correspondance privée du lieutenant Léon Meltzheim adressée de juillet 1914 à décembre 1918 à son épouse Andrée Meltzheim, surnommée affectueusement «Dé» accompagnées des lettres de celle-ci envoyées au front de janvier 1917 à novembre 1918 : plus de 750 lettres de Léon (84 pour l’année 1914, 168 pour 1915, 172 pour 1916 et 117 pour 1917, 150 pour 1918) croisées avec les 350 lettres d’Andrée son épouse, pour la seule année 1917. On joint plus de 120 lettres et cartes manuscrites adressées à Léon en 1916 par sa famille et ses proches.En juillet 1914 le lieutenant Léon Meltzheim (31 ans) 30e d’Artillerie est affecté au 10e SMA (section des munitions) sous les ordres du Capitaine Desgrais. « Nous avons roulé plusieurs jours et plusieurs nuits de suite pour distribuer nos marchandises (…) il est arrivé plusieurs fois de faire des marches de quarante-huit heures, sans autre repos qu’un arrêt de trois ou quatre heures sur le bord de la route ou dans les champs. À ce régime, les chevaux résistent encore moins que les hommes ». Mais Léon Meltzheim va rapidement cesser d’apporter des renseignements sur ses activités d’artilleur, nécessité de la censure mais surtout souci de rassurer Dé. Il n’est bientôt plus question que de lainages envoyés par Dé et sa mère pour les hommes de la batterie et des travaux de photographies (son épouse lui a envoyé un kodak vest pocket et de quoi développer). Ainsi le 10 juillet 1915, Léon annonce qu’à Lavoye le colonel est venu lui remettre la Croix de Guerre ; il est embarrassé dans sa correspondance pour l’annoncer à Dé après avoir minimisé voire même souvent caché les activités de sa batterie. Pour se justifier il prétend que l’on fait une grande distribution de décorations. Quelques détails néanmoins rappellent la cruauté des champs de bataille : « Pour les gaz, j’ai un très bon tampon, mais tu pourras m’envoyer une paire de lunettes dans le genre de celles des automobilistes, de celles qui font les yeux de langouste ». L’année 1916 est capitale pour le jeune lieutenant tandis que débute la bataille de Verdun et qu’un heureux événement est attendu chez lui, à Paris. Le 30e d’artillerie est appelé à contrecarrer les Allemands qui essayent d’arrêter le ravitaillement français en coupant le chemin de fer de Sainte-Menehould à Verdun ; dans ses lettres à Dé, Léon n’en parle pas et préfère s’assurer que son épouse enceinte se repose : le 13 juillet 1916, naissance de de son fils Georges qui fait dire à son père engagé sur le front « Quelle joie que ce poupard ». En fin d’année 1916, il rassure encore la jeune maman « je n’ai pas beaucoup souffert à Verdun à aucun point de vue. Nous avons eu beaucoup de chance ».En 1917, les lettres de Léon n’offrent pratiquement plus de détails sur la guerre tandis que la correspondance quasi quotidienne d’Andrée son épouse et jeune mère (plus de 300 lettres sériées de janvier à décembre) adressée au soldat, montre le rare point de vue de l’arrière : la vie de famille et les premiers mois de leur enfant, l’activité de la Corroierie familiale Meltzheim sise Rue Philippe de Girard à Paris, l'ordinaire et les difficultés liées aux années de guerre etc. « Toute correspondance privée de la Grande Guerre entre le front et l'arrière ou le front et le front, est une source « humaine » parce qu'elle a été rédigée par un acteur et témoin de l'expérience guerrière. Chacune est riche de détails et d'enseignements quant au rapport que l'épistolier a entretenu avec l'événement, en des temps difficiles et dans des conditions insupportables. Seul moyen de communication, unique lien entre les tranchées et l'arrière, l'échange épistolaire est intense, et la lettre devient rapidement un objet vital pour le Poilu. Les missives portent ainsi, dans leur rédaction, les sensations éprouvées par un épistolier qui désire partager avec son destinataire son vécu sans en révéler toutefois explicitement la dureté. La correspondance privée prend également une valeur particulière pour les parents et les proches lointains. Pour l’arrière, la question ne se pose pas. La lettre est indispensable. Elle est le lien principal avec le combattant, et le signe de vie que l'on attend chaque jour. Son absence signifie généralement combat, danger, maladie, blessure, voire pis, mort. Mais, dans tous les cas, l’absence d’écriture est un signe inquiétant. Cette angoisse est ressentie aussi bien par l’arrière que par le front » (Sylvie Housiel, La Correspondance privée pendant la Grande Guerre).On joint sous enveloppe bleue 1 photographie de Léon et Andrée Meltzheim le jour de leur mariage, plusieurs coupons de mandat-lettre, 1 négatif de photographie. Avec Vie de Léon Meltzheim (1883-1972) in-8 broché de 136 pp. monographie tirée à compte d'auteur rédigée par son fils Georges Meltzheim.Exceptionnel ensemble d'une abondante correspondance conjugale durant la Grande Guerre, entre Paris et le front.[Voir : Clémentine Vidal-Naquet, Couples dans la Grande Guerre (Les Belles Lettres) et Correspondances conjugales 1914-1918 (Robert Laffont)].
[Auvergne, Clermont-Ferrand, Aubière, Issoire] Anne Favard, épouse de Pierre André d'Aubière, La Veuve André, de Clermont, à ses Juges.
Reference : 015670
[Auvergne, Clermont-Ferrand, Aubière, Issoire] Anne Favard, épouse de Pierre André d'Aubière, La Veuve André, de Clermont, à ses Juges. Issoire, imprimerie de Granier et Froin, an 3 [1794]. In-4, 8p. Très intéressante défense de Anne Favard qui, après avoir perdu son époux à cause de la vengeance d'un ancien praticien, Girard, destitué par son mari, est poursuivie car elle aurait de dilapider les biens de son mari en les soustrayant à la république. Notons aussi que Girard poussa la vengeance à faire aussi arrêter les deux filles, de 13 et 18 ans, dans la foulée de l'arrestation du père, qui sera exécuté (mitraillé) à Lyon le 17 février 1794. Plié anciennement, petit trou au dernier feuillet, mouillé anciennement. Peu commun. [92]
La Chine. 1977. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 44 pages agrafées - nombreuses photos en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Entrevue du président Houa avec le président Arthur Chung et son épouse - entrevue du président Houa avec le président Bongo - le président Houa reçoit et fête le président U Ne Win et son épouse - entrevue du président Houa avec Mme Thatcher - le président Houa reçoit la délégation parlementaire de Nouvelle Zélande - entrevue du président Houa avec la princesse Beatrix - entrevue du président Houa avec nos hôtes de Guinée-Bissau - la vice présidente Teng Ying-tchao au Sri Lanka - une délégation de l'APN de Chine en Roumanie et en Yougoslavie - un rassemblement solennel sans précédent pour gouverner l'état en axant tout sur la lutte de classes - inspection du président Houa dans 3 provinces du nord-est et la ville de Tangchan - le district de Siaohsien a bien suivi l'exemple de tatchai - un nouveau centre d'exploitation forestière dans le grand khingan - la milice populaire de lieoutchouang - les jeunes gens diplômés des villes à la campagne - le combat de Paotsewan - un vieux canal de dérivation rénové - un magasin dans un train - les fleurs du plateau du tsinghai-tibet . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Le peintre la remercie pour ses diverses invitations et présente ses excuses en cas dimpossibilité. Extraits : ...Jai été tellement troublé lautre jour et si contrarié que jai oublié dinscrire le jour de linvitation que vous avez bien voulu me faire et je maperçois que je ne suis libre aucun de ces jours. Je viens donc faire appel à votre bonne indulgence dont jabuse vraiment... ; ...Mr Marchal est reçu. Je suis bien content de vous annoncer cette bonne nouvelle... ; ...Je me réjouissais tant de venir chez vous samedi prochain... Mais, empêché, ...Je viens supplier de vouloir bien mexcuser et dêtre mon interprète auprès de Mr Waldeck-Rousseau... ; ...Je suis très touché de votre bonne indulgence et je (me) soignerai et ne sortirai pas dici au 2 janvier pour pouvoir venir à votre si gracieuse invitation... ; ...Je nai vraiment pas de chance. Je suis engagé pour ce malheureux dernier mercredi et cest moi qui ai choisi le jour. Jugez de ma désolation... ; ...Jai reçu la gracieuse invitation que Mr Waldeck-Rousseau et vous voulez bien me faire. Jaccepte avec le plus grand plaisir vous pouvez donc compter sur moi samedi 13 avril et je men réjouis... etc. Il évoque un peintre, Thomine Desmazures, dont ni lui ni Feyen [Eugène Feyen, 1815-1908, peintre et photographe) nont trouvé le tableau et précise, en ce qui concerne Marchal, ...sil na que le tableau la chambre de Gambetta pour lequel javais avec ses amis voulu le faire recevoir je ferai encore mon possible à la révision...A Henri Liouville...Il se trouve à lExposition une toile représentant une figure. Cette toile est dun de vos compatriotes un jeune homme nommé Marchal. Elle a des qualités extraordinaires à mon avis et promet beaucoup pour lavenir. Ce jeune homme est venu me trouver de la part de votre frère qui pourrait peut-être sintéresser à lui. Dans son département pour obtenir un de cours du département. Je suis persuadé quil serait bon employé et que ce jeune homme autant quon peut prédire dun premier tableau fera un jour honneur à son pays. Excusez cette longue lettre je vous prie mais je le fais comme un devoir... et réponse négative à un rendez-vous.Marie Waldeck-Rousseau (Marie-Charlotte Thérèse Durvis, dite) 1854-1934, sculptrice. Par le remariage de sa mère, elle devient en 1864 la demi-s?ur de Jean-Baptiste Charcot. Elle épouse en 1878 Henri Liouville. Leur fils Jacques (1879-1960), médecin et explorateur, participe à la deuxième expédition du Pourquoi pas aux côtés de son oncle. Elle épouse Pierre Waldeck-Rousseau en 1888.Henri Marchal, né à Essey-les-Nancy, (1878-1942), admis au Salon des Artistes Français à 18 ans. Il obtient une première médaille dArgent en 1906 avec La GrandMère, et une première Médaille dOr avec Portrait de Jeune fille en 1926.
Document sur vélin (parchemin) format 45 x 27 cm : "Louis par la Grace de Dieu, Roy de France et de Navarre, à tous ceux qui ces présentes Lettres verront Salut. Pierre Virens Peintre et Demoiselle Gabrielle Villiers son Epouse, et le Sieur Honoré Gourdain peintre demeurant à La Rochelle, nous ont fait exposer que par Contrat passé devant Bonnaud et son confrère Notaire à La Rochelle, le 29 août dernier ... dont l'extrait au terme de l'Edit du mois de Juin 1771 a été exposé l'espace de deux mois en l'auditoire de notre Sénéchaussée de La Rochelle suivant le certificat qu'en a donné Bonin commis de notre Greffier le onze du présent mois, ils ont acquis de Pierre Lachambre Etudiant Pierre Auguste Lachambre Marin et Demoiselle Marie Lachambre demeurant tous à Mauzé les trois quarts dans une petite Maison située à La Rochelle paroisse Saint Jean du Perrot Censive du Roy Moyennant Deux Mille cent livres pour en jouir en toute propriété ses hoirs et ayant-cause comme ... leur appartenant à la date du vingt neuf août dernier, lesquel (?) de maison appartenait auxdits Sieur et Demoiselle Lachambre, , ainsi qu'il est énoncé en le contrat devant (ex?) lesdits Sieur Virens, son epouse et Gourdain jouir dudit ..... et quoique les Privilèges et Hypothèques suivants et conformément à l'Edit du mois de Juin 1771 Nous ont très humblement fait supplier de vouloir bien leur accorder nos Lettres sur ce Nécessaires, aux considérations de notre Conseil qui a vu le contrat... le certificat de dépôt et autres pièces cy attachées, sous le contrescel de notre Chancellerie, nous avons ratifié ledit contrat du 29 août dernier, Voulons qu'il soit exécuté selon sa Teneur ; ce faisant que les Exposants, leurs hoirs et ayants-cause soient reconnus propriétaires incommutables dudit trois quart de maison, circonstances & dépendances, en jouissent et disposent comme de choses à eux appartenantes, purgées des privilèges et hypothèques conformément à notre arrêt du mois de juin 1771. Mandons à nos conseillers de notre Sénéchaussée de La Rochelle qu'ils aient à faire jouir l'exposant de l'effet des présentes, Car tel est notre plaisir : en témoin de quoi nous avons fait mettre notre scel en cesdites présentes. Données à La Rochelle treize décembre mil sept cens quatre vingt sept. Par le Conseil".
Les Lettres de ratification purgent les hypothèques. Bon état