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MITTERRAND FRANCOIS.
ELU A L'ACADEMIE FRANCAISE.
BALLAND.. 1989.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 248 pages. Tâche sur la tranche verticale.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Reference : R150015137
ISBN : 2715807716
Discours de reception et autres textes de circonstance. Classification Dewey : 320-Science politique
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Né à Castres. 1813-1882. Écrivain et critique d’art français. Élu à l’Académie Française en 1876. L.A.S. « Charles Blanc » au philosophe et homme d'état Jules SIMON. Paris, 19 octobre 1868. 1 page in-8.
19/10/1868 Charles Blanc remercie Jules Simon de son …aimable intervention… et sempresse de …répondre à la question qui intéresse Madame Jules Simon. Vous ne pouvez pas faire un meilleur choix que celui de M. Midderigh. Il a beaucoup travaillé pour la Gazette, il est fort habile il a une petite école chez lui et il sait enseigner. De plus cest un très honnête père de famille, un homme doux, modeste, on ne peut plus convenable pour de pareilles fonctions qui sont toujours délicates à remplir & qui demandent aussi quelques conditions de moralité. Ne cherchez pas mieux : vous ne trouverez pas… Professeur au Collège de France, Charles BLANC fonda La Gazette des Beaux-arts et fut élu à lAcadémie des Beaux-arts en 1869. Parmi des œuvres, nous pouvons citer : L'Œuvre de Rembrandt (1853), Le Cabinet de M.Thiers (1871) et l'Art dans la parure et dans le vêtement (1875). Il était le frère de lhomme politique Louis BLANC (1811-1882).Jules SIMON (1814-1896) était un philosophe et homme d'état français. Docteur en philosophie, il enseigna à la Sorbonne avant de devenir sénateur (1875) et de prendre la présidence du Conseil (1876). Elu à l'Académie française en 1875, il a notamment publié L'Ouvrière (1861) et Le Travail (1866).
Né à Nîmes. 1884-1968. Écrivain. Élu à l’Académie française en 1963. Directeur de la N.R.F. L. dactylographiée S. « Jean Paulhan » à « Mon cher ami » [Pierre Abraham]. S.l. [Paris]. 24 novembre 1930. 3/4 page in-8. En-tête « Librairie Gallimard - Éditions de la Nouvelle Revue Française » (trou de classeur, petite déchirure réparée).
24/11/1930 Belle lettre au sujet de la publication de lessai de Pierre Abraham sur PROUST, qui devait paraître chez Rieder : ...Il faut que vous permettiez de supprimer une phrase de votre Proust, qui me semble inexacte. Cest « après ses premiers essais, comme la phalange décrivains de lHommage de 1923 ». Mais les collaborateurs de lHommage connaissaient bien plus que les premiers essais de Proust ! (et « premiers essais » ne peut signifier il me semble, dans cet article, que les Pastiches, les Chroniques, le Ruskin etc.). Ils avaient lu Swann, les Jeunes Filles, Guermantes... (...). Jai refusé bien souvent à Gaston Gallimard des indications de cet ordre. Laissez-moi refuser celle-ci à Rieder...Éminence grise des lettres françaises, beau et noueux comme un olivier, (il est né à Nîmes), le discret Jean Paulhan (si discret que sa propre œuvre s'effaça derrière la NRF), fut directeur littéraire de la Nouvelle revue française de 1925 à 1940 et de 1953 à 1968. Il fonda parallèlement les Cahiers de la Pléiade, puis reprit, à sa reparution en 1953, la codirection de la NNRF (Nouvelle Nouvelle revue Française) avec Marcel Arland.Il est élu à lAcadémie française le 24 janvier 1963, au fauteuil de Pierre Benoit.
Né à Paris. 1860-1937. Homme de lettres et critique littéraire français. Elu à l'Académie française en 1909, il en devint le secrétaire perpétuel en 1923. L.A.S. "René Doumic" à Mme André Victor Le Breton. S.l, 24 octobre 1931. 2 pp. in-12. En-tête de l'Académie française.
La mort de Victor André Le Breton (1860-1931) a surpris René Doumic. Cette nouvelle rappelle à son esprit les souvenirs de jeunesse : ...Je revois Le Breton à l'Ecole normale, le plus brillant, le plus charmant des normaliens de ce temps-là. Je le retrouve au cours de sa belle carrière, dans tout l'éclat des succès qui le suivaient partout. Et, dans ces derniers temps, il était resté si actif, avec une telle vivacité d'esprit, que nous ne pouvions pas le croire menacé... Il ajoute : ...La dernière lettre que j'avais reçue de lui était bien triste & j'espérais qu'il s'alarmait à tort. Nous vous plaignons, madame Doumic et moi, de tout notre cœur, et nous vous assurons de tout notre plus douloureuse sympathie dans votre immense deuil...Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, René DOUMIC travailla notamment au Moniteur, au Journal des débats et à La Revue bleue. Il fut Directeur de La Revue des Deux Mondes de 1916 à 1937.
Né à Paris. 1920-2011. Romancier, essayiste français. Elu à l'Académie Française en 1978. Lettre dactylographiée S. " Jean " à André Reybaz. Paris, 17 octobre 1981. 1 page in-8. En-tête imprimé à son nom. Enveloppe timbrée à la machine, portant au verso la mention imprimée "Académie Française".
17/10/1981 ...Je crois que mon papier de mardi, intitulé "La diplomatie-vérité", ne vous ennuiera pas non plus... écrit Jean Dutourd, qui remercie son ami ...d'aimer mes petite blagues et de me le dire avec tant d'amitié...André Reybaz, (1922-1989), comédien et metteur en scène français.
Né à Poitiers. 1883-1968. Ecrivain, poète et homme politique français. Elu à l'Académie française en 1932, il en fut radié après avoir été ministre du gouvernement de Vichy. L. dactylographiée. S. "Abel Bonnard" à un monsieur. Paris, 17 juin 1938. 3/4 page in-4.
17/06/1938 ...J'avais bien l'intention de répondre selon votre désir à la demande que vous m'aviez adressée... s'exclame Abel Bonnard qui pensait envoyer à son correspondant ...quelques pages manuscrites... mais il a été ...accablé de travail et d'affaires... Il précise ...Je veux vous dire combien je m'en veux de ma négligence et quel plaisir j'aurai à mieux saisir une autre occasion de vous être agréable...Ami de Marcel PROUST, Abel BONNARD est notamment l'auteur du recueil Les Familiers, couronné par l'Académie française en 1906 ainsi que du roman La Vie et l'Amour (1913). En 1942, Pierre LAVAL le nomma ministre de l'Education Nationale et de la Jeunesse et, à la Libération, il dût s'enfuir en Espagne où il termina sa vie.
