ALBIN MICHEL. 1988.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 382 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Reference : R150009637
ISBN : 2226033394
Traduit de l'anglais par Pierre-Emmanuel Dauzat. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
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PCV éditions. 1979. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages agrafées - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Paris de 1 à 20 - atlantes et cariatides de Paris - la ballade des fortifs - le palais-royal d'hier et d'aujourd'hui - les arcades du Palais-Royal - les cafés du Palais-Royal - paris aux cent livres - paris aux cent sourires - urbanisme, transport - arts, spectacles - photo insolite - en bref - crimes et criminel célèbres du Paris d'autrefois. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
VIZZAVONA, 65 Rue du Lac, VIIe Paris. vers 1910 ou 1920. In-4. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Quelques rousseurs. 80 pages de planches photos sépia + 7 pages d'appendice. Illustrations sur le 1er plat par Legueult R. Agrafes rouillées. 4 photos disponibles.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
François Antoine Vizzavona : editeur et photographe - SOMMAIRE: la cite, palais du louvre, pont neuf, place du carrousel, palais de justice et le pont au change, saint germain l'auxerrois, palais royal, theatre de la comedie francaise, jardin des tuileries, rue castiglione, rue de la paix un jour de sainte catherine, place vendome, opera, place de l'opera, rue halevy, les grands boulevards, les halles centrales, palais de la bourse, musee carnavalet, palais des archives nationales, place de la bastille et la colonne de juillet, le 14 juillet au faubourg saint denis, hotel de ville, notre dame, porte des celestins et le pont marie, saint etienne du mont et le lycee henri IV, la place du pantheon et la faculte de droit, rue soufflot, pantheon, jardin et palais du luxembourg, fontaine medicis, fontaine carpeaux, place saint sulpice, saint germain des pres, ecole des beaux arts, institut, pont royal, hotel des invalides, hotel du marechal foch, tombeau de napoleon 1er, champ de mars et tour eiffel, pont alexandre III, palais bourbon, place de la concorde, les champs elysees, grand palais, petit palais, palais de l'elysee et ses jardins, marche aux fleurs de la madeleine et la rue royale, trocadero, lacs du bois de boulogne, avenue du bois de boulogne, tombeau du soldat inconnu, place de l'etoile, parc monceau, saint vincent de paul, basilique du sacre coeur, porte saint denis, rue lepic... Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
Paris, Surugue, 1721. In-folio (528 x 395 mm), 15 planches montées sur onglet, certaines ré-emmargées pour uniformiser l’ensemble. Demi-veau brun, roulette dorée sur les mors, dos à nerfs orné de caissons de fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges, frottements aux mors et aux coupes, légères éraflures, quelques piqûres et brunissures marginales, planche centrale un peu foncée (reliure XIXe siècle).
Suite de toute rareté, bien complète des 15 planches dont 9 dépliantes, représentant le décor de la galerie d’Énée au Palais-Royal. Elles ont été gravées entre 1717 et 1721 par Desplaces, Tardieu, Picart, Thomassin fils, Duchange, Surugue, Beauvais et Poilly d’après Coypel. Le grand ouvrage d’Antoine Coypel. Premier peintre de Monsieur, duc d’Orléans, frère unique du roi Louis XIV, et protégé par son fils Philippe, futur Régent, Antoine Coypel (Paris, 1661-Paris, 1722) se vit confier en 1702 le décor de la grande galerie du Palais-Royal, longue de quarante-six mètres. Il préféra à l’histoire d’Hercule ou d’Apollon celle d’Énée, souvent associée aux princes et à leurs mérites à la fin du XVIIe siècle. Le plafond, formé d’une grande percée centrale avec médaillons et trompe-l’œil et de six tableaux aux retombées de la voûte, fut achevé en 1705 avec l’aide du peintre d’architecture Philippe Meusnier. Ce n’est que dix ans plus tard, à la fin de sa carrière, que Coypel revint au Palais-Royal pour compléter le décor de la galerie d’Énée. Sur la commande de Philippe d’Orléans, il réalisa dans la partie basse de la galerie sept tableaux emblématiques de l’Énéide, dans un esprit différent de la première campagne: autant le décor initial du plafond, peuplé de nudités féminines traitées dans des tonalités claires, était représentatif du « petit goût », autant le décor mural plus tardif, animé de scènes guerrières et dramatiques, relevait du « grand goût » (cf. Nicole Garnier-Pelle, «Antoine Coypel», Recueil des Commémorations nationales). Le travail de Coypel plut à ses contemporains: «Cet habile maître, dit Germain Brice, a beaucoup augmenté sa réputation par cet ouvrage, et l’on peut dire à sa louange que très-peu de peintres modernes auroient pû mieux faire». Un décor disparu avec la destruction de la galerie en 1781. Le grand réaménagement du Palais-royal, initié par le duc de Chartres en 1781, se fit notamment au détriment de la galerie d’Énée, coupée en deux par l’ouverture de la rue de Montpensier. Dès 1778, les tableaux de la partie basse avaient été déposés puis envoyés au château de Saint-Cloud, avant d’intégrer les collections nationales à la Révolution. Seuls trois tableaux, aujourd’hui au musée Fabre à Montpellier, sont dans un bon état de conservation. Les autres sont en réserve au Louvre ou détruits, comme le plafond: l’esquisse peinte conservée au musée des Beaux-arts d’Angers est le seul souvenir de la partie centrale de la voûte. La suite des gravures composée par divers artistes de 1717 à 1721 constitue ainsi un témoignage unique du ravissant décor d’Antoine Coypel. Rarissime exemplaire. Cohen, 262. Brunet, II, 401. Nicole Garnier-Pelle, « Antoine Coypel », Recueil des Commémorations nationales 2011, France archives [en ligne]. Germain Brice, Description de la ville de Paris, 1718, p. 139.
Edition originale absolument rarissime du roman libertin dont Louis XIV est le héros, qui défraya tant la chronique littéraire, politique et bibliophilique. Imprimé en Hollande vers 1667. Petit in-12 de 96 pages, titre compris, dernière page en 15 lignes. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs richement orné, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure signée de Thibaron-Joly. 127 x 72 mm.
Edition originale absolument rarissime de ce roman libertin dont Louis XIV est le héros qui dÉéraya tant la chronique littéraire, politique et bibliophilique. Willems, 1770, Tchemerzine, II, 166. Willems dans sa bibliographie des Elzévier, rapporte cette savoureuse histoire : « Nous lisons dans une Lettre à Achille Jubinal, qui fait partie du Pêle-mêle philosophique et littéraire de F. Grille (Paris, 1850) : « Vous qui courez et dénichez les raretés, dites moi, je vous prie, si vous avez rencontré de par le monde un petit livre intitulé : Les Amours du Palais Royal, qui parut sous Louis XIV. MM. Brunet, Beuchot, Jacob et Quérard n’en parlent pas. Ce livre fut imprimé en Hollande ; un exemplaire en fut envoyé à Louvois qui le porta au Roi, le Roi le montra à Mme Henriette ; elle y était, avec lui, fort compromise. Elle en parla à l’évêque de Valence, Cosnac ; l’évêque disparut et s’en alla à La Haye ; au bout de huit jours il revint chargé de toute l’édition qu’il avait achetée pour la brûler. Trois exemplaires étaient restés, la princesse les eut entre les mains et les jeta au feu. Cependant on les vit ; il y en eut des copies, d’incomplètes copies sur lesquelles on fit une seconde édition, pleine de lacunes ». Grille n’indique pas où il a pris cette piquante anecdote, mais le fond en est exact, et les Mémoires de Dan. de Cosnac, publiées en 1852, sont venues la confirmer, au moins dans ses points principaux. » Barbier (Dictionnaire des anonymes) ignorait lui aussi l’existence de cette édition originale non datée, et citait les deux copies, datées 1667, la première, avec la dernière page en 15 lignes, la contrefaçon, avec la dernière page en 10 lignes. À Pâques 1659, le comte de Bussy-Rabutin prend part à une orgie au château de Roissy, où il médit outrageusement et scandaleusement sur les mœurs de la cour, sur le roi et sur la famille royale (décrit plus tard dans son œuvre « Histoire amoureuse des Gaules »). Il est alors condamné, trois mois plus tard, à un premier exil de la Cour de France par le jeune roi Louis XIV, dans le château familial de Bussy de son domaine bourguignon. En 1660, incorrigible, il écrit sans vouloir le publier son pamphlet satirique et calomnieux « Histoire amoureuse des Gaules », chronique sur les frasques de certaines personnes de la cour et sur les premières amours du jeune Louis XIV et de Marie Mancini (nièce du cardinal - premier ministre Jules Mazarin) qu'il tourne en ridicule, pour amuser sa maîtresse, la marquise de Montglas et quelques-uns de ses amis. L'intrigante marquise de la Baume fait alors secrètement copier l’œuvre, puis répandre sa publication en avril 1665 à Liège, à l'insu de l'auteur. L'œuvre scandaleuse parvient à la cour et au jeune roi qui fait arrêter l'auteur en 1666, le destitue de toutes ses charges et le fait enfermer treize mois à la Bastille (alors qu'il vient juste d'être élu à l'Académie française) avant de le faire exiler et disgracier à vie, pour la seconde fois, dans son château en Bourgogne, où ce dernier passera dix-sept années d'exil et la fin de sa vie. La rareté de cette originale est légendaire puisque la famille royale l’acheta en bloc pour la détruire et jusqu’à ce jour, un seul autre exemplaire était répertorié, celui de La Villestreux et L. de Montgermont relié par Lortic en maroquin rouge et cité par Willems et Tchemerzine. Magnifique exemplaire, à belles marges, reliÉ en maroquin rouge de Thibaron‑Joly.
Paris, S.r Jaillot, 1772. En 15 sections montées sur toile et repliées, formant un plan de 506 x 712 mm ; étiquette au dos portant le titre en manuscrit.
Beau plan du Quartier du Palais Royal, dressé par Jaillot pour accompagner les Recherches critiques, historiques et topographiques sur la ville de Paris, ouvrage dédié aux quartiers de Paris, publié entre 1772 et 1775, et gravé par Perrier. Le 14 février 1702, un arrêt du Conseil d'État proclame la division de Paris en vingt quartiers. Les quartiers de la place Maubert, de Saint-Germain-des-Prés et de Montmartre, plus étendus que les autres, sont partagés, et trois nouveaux quartiers sont créés, Saint-Benoît, Luxembourg et Saint-Eustache. Le Quartier du Palais Royal, 5e quartier de Paris, était borné au nord par la rue Neuve-des-Petits-Champs, actuelle rue des Petits-Champs, au sud par la Seine et le quai des Tuileries, à l'ouest par la rue du Colisée et la rue de Courcelles, et à l'est par la rue Froimenteau. C'est un plan intéressant pour l'histoire de cet ancien quartier de Paris, qui montre des rues qui ne portent plus aujourd'hui les mêmes noms, voire qui ont disparu, en particulier lors des Grands Travaux du baron Haussmann. Ainsi on peut voir la rue Froimenteau, également connue sous le nom de rue du Musée, supprimée en 1850 lors de l'achèvement du musée du Louvre, la rue du Dauphin, renommée rue Saint-Roch en 1879, la rue des Champs Élisées, renommée rue Boissy-d'Anglas en 1865, ou encore la rue du Hazard, devenue rue Thérèse en 1880. On peut voir également la place Louis XV, qui sera nommée place de la Révolution en 1792, puis place de la Concorde en 1830. De cette place démarre une grande allée bordée d'arbres, la future avenue des Champs-Élysées, menant à une grande place circulaire, la future place de l'Étoile ou place Charles-de-Gaulle. On remarque également, rue du faubourg Saint-Honoré, l'Hôtel des Ambassadeurs Extraordinaires, qui n'est autre que le futur Palais de l'Élysée, construit en 1720 pour le comte d'Évreux, puis offert par Louis XV à sa favorite, la marquise de Pompadour, en 1753, ou encore le Colisée, luxueux établissement de divertissement construit entre 1769 et 1771 par Louis-Denis Le Camus, puis fermé en 1780, et démoli quelques années plus tard. Le plan montre également les établissements religieux. Ce plan ne repose pas sur de nouveaux levés, mais sur les travaux et plans de l'abbé Jean Delagrive (1689-1757), géographe attitré de la ville de Paris. Delagrive avait projeté de réaliser un plan du quartier Maubert. Annoncé en 1758, il ne vit jamais le jour. Bel exemplaire. Boutier, 302-5 ; Vallée, 1581 ; Bibliothèque Nationale, Paris d'hier et de demain, Exposition, 1966, p. 20, 108.