ALBIN MICHEL. 1985.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 244 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150001614
ISBN : 2226024603
Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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État : Bon état - Année : 2006 - Format : in 8° - Pages : 409pp - Editeur : Robert Laffont - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/olivia-recasens-jean-michel-decugis-et-christophe-labbe/5056-place-beauvau-la-face-cachee-de-la-police?lrb
Les journalistes, auteurs de ce livre, ont mené une enquête secrète sur la ˮforteresse Intérieurˮ. Ils ont cherché à démonter tous les rouages de cette ˮmachine de guerreˮ lieu de tous les secrets de la République et immense source d'informations: Le rôle des syndicats, l'influence de la franc-maçonnerie, les relations avec les journalistes, la guerre des polices... Au delà des informations très factuelles pour l'Histoire de la Ve République, cet ouvrage met en garde contre les dérives de ˮl'état policierˮ dans lequel nous vivons. Il montre également que le rôle sécuritaire des forces de police n'est pas toujours la priorité des dirigeants politiques.
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JULLIARD. JUIN-SEPT 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 158 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : LES SERVICES ET LES MOYENS. PARIS : LA PRÉFECTURE DE POLICE. I.COMMENT FONCTIONNE LA POUCE. LA POLICE PRÉVENTIVE. LA POLICE URBAINE. LES RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX. ÉVOLUTION DE LA CRIMINALITÉ. LA POLICE CRIMINELLE MODERNE. LE MÉTIER D’O.P.J. LE RENSEIGNEMENT DE DÉFENSE. LA POLICE DES MOEURS. ITINÉRAIRE D’UN MEURTRE. ORDRE PUBLIC ET JUSTICE. II.LA POLICE ET LA SOCIÉTÉ. PIERRE BERTAUX : ON A LA POLICE QU’ON MÉRITE. CONSTANTIN MELNIK : POLICE ET POLITIQUE. JEAN DITREAU : LES ÉCOUTES TÉLÉPHONIQUES. JEAN LABORDE : DÉFENSE ET ILLUSTRATION DES INDICATEURS. LUCIEN LANGLOIS : L’O.P.J. ET LE PROCUREUR. JEAN-DENIS BREDIN : LA GARDE A VUE. GEORGES DELAMOUR : LE POLICIER, CE MAL AIMÉ. CASAMAYOR : POLICE ET PROGRÈS. MAURICE PIERRE : LE POUVOIR ET SA POLICE. FRANÇOIS MITTERRAND : LE JUGE ET LE POLICIER Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Et d'une Notice sur la police centrale, la police militaire, la police du château des Tuileries, la police de la garde royale, la police de la place, la police des alliés, les inspecteurs de police, la gendarmerie, les prostituées de la capitale, Vidocq et sa bande; Ouvrage publié sur le manuscrit de M. GUYON. Paris. Mme Goullet. 1826. In-8 (138 x 210mm) dos chagrin orange brûlée, à 5 nerfs, titre et fleurons or, plats mouchetés, gardes et tête peignées, 2ff., 238 pages. Mors du 2e plat fendu sur 15 mm, dos un peu épidermé, fortes rousseurs. Rare et instructif. Ouvrage saisi dès sa parution, peu d'exemplaires y ayant échappé.
Exposé sans concession de l'état de la police de l'époque. Cet ouvrage n'est que le premier coup de crayon de la Biographie des Commissaires de police de Paris. Chacun dans son arrondissement, en s'emparant de cette esquisse, pourra achever le portrait de manière à ce que la ressemblance soit parfaite. A l'époque de leur institution, les Commissaires de police n'étaient que de simples surveillans chargés, seulement de maintenir le bon ordre; mais la révolution a étendu leurs pouvoirs, et les différens gouvernemens, qui se sont succédés (sic) depuis 30 ans étant d'une défiance extrême, les Commissaires de police pour les servir ont dû naturellement s'immiscer dans tous les rapports sociaux, pénétrer chez les citoyens pour connaître leur opinion politique et, ce qu'ils n'ont pu savoir, ils l'ont deviné ou controuvé. C'est ainsi que trop souvent ils ont peint les hommes sous de fausses couleurs, et fait pressentir des événemens qui ne se sont jamais réalisés. Mais il fallait se conserver dans son emploi, se rendre utile, se faire croire indispensable: peu importe à quel prix... (Préface de l'auteur).
Denoël, 1993, gr. in-8°, 278 pp, 16 pl. de photos hors texte, sources et biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Fouché, Vidocq, Lépine : trois noms indissolublement liés à la police dans la mémoire collective des Français. Si les causes de la célébrité des deux premiers sont faciles à saisir, il n'en va pas de même pour celui qui fut – pendant dix-huit ans – le maître de la police de la capitale, un record qui n'est pas près d'être seulement approché. Quelles furent les causes d'une telle longévité dans un poste si exposé ? Quels étaient au juste, les pouvoirs de ces fonctionnaires bien particuliers qui dirigeaient la plus puissante police de France et dont on disait qu'ils étaient plus puissants que le ministre de l'Intérieur ? Comment fonctionnait, au début du siècle, la Préfecture de police, cet "Etat dans l'Etat", cette institution typiquement napoléonienne dont une démocratie n'aurait jamais dû accepter la pérennité ? C'est en réalité à un voyage aux sources de la police contemporaine et de la police républicaine que convie cet ouvrage. — "... On aura compris qu'il s'agit là d'une biographie telle qu'on les souhaite : derrière l'homme et ses facultés novatrices, ce sont l'institution et sa philosophie qui retiennent l'attention de l'auteur. Quels étaient les pouvoirs de ces fonctionnaires en charge de la plus puissante des polices de France et qu'on disait plus puissantes que le ministre de l'Intérieur ? Comment fonctionnait la Préfecture de police, cet Etat dans I'Etat, une institution napoléonienne dont une démocratie n'aurait jamais dû accepter la pérennité ? La biographie n'est ici qu'une voie d'entrée particulièrement pertinente pour l'histoire de la police contemporaine et de la police républicaine, aussi bien qu'une contribution notable à l'histoire de Paris." (Danielle Tartakowsky, Le Mouvement social, 1995)
Paris, Mme Goullet, 1826 in-8, [4]-238 pp., demi-percaline noire, dos orné (reliure de l'époque). Rousseurs.
Édition originale, qui valut neuf mois de prison à l'auteur, pour avoir "diffamé" les 48 commissaires de police des quartiers de Paris, souvent d'anciens "monte-en-l'air", comme Vidocq, auquel un chapitre spécial est consacré. Le Clère, 459. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT