ACROPOLE.. 1984.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 379 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150000213
Couverture de Dimitri SELESNEFF. Collection Grands romans. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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[Chez Edme, Chez P. G. le Mercier, De l'Imprimerie de Vallerye, fils] - LESSIUS, Leonard ; CORNARO, Luigi ; GERAUDLY, Sieur ; HALLE DE LA TOUCHE ; [ CORNER, Alvise ]
Reference : 65445
(1737)
1 vol. in-12 reliure de l'époque plein veau porphyre, dos lisse orné, triple filet doré d'encadrement en plats, toutes tranches marbrées : De la Sobriété et ses Avantages, ou Le Vrai moyen de se conserver dans une santé parfaite jusqu'à l'âge le plus avancé. Traduction nouvelle de Lessius & de Cornaro, avec des Notes, par Mr. D. L. B., Chez Edme, Paris, 1772, 1 f., xii-163 p. [ Suivi de : ] Conseils et Moyens faciles pour vivre long-tems dans une parfaite santé, avec La manière de corriger un mauvais tempérament ; de jouir d'une félicité parfaite, jusqu'à un âge fort avancé, & de ne mourir que par la consommation de l'humide radical, usé par une extrême vieillesse, Traduit de l'italien de Louis Cornaro, Noble Vénitien, par Monsieur D***, Chez Edme, Paris, 1772, viii-160 pp. [ Suivi de : ] L'Art de Conserver les Dents. Ouvrage utile & nécessaire, non seulement aux jeunes Gens qui se destinent à la Profession de Chirurgien-Dentiste, mais encore à toutes les personnes qui veulent avoir les Dents belles & nettes, par le Sieur Geraudly, Chirurgien-Dentiste, Valet de Chambre de S.A.S. Monseigneur le Duc d'Orléans, & seul Privilégié du Roy de France, Chez P. G. le Mercier, A Paris, 1737, xi-161 pp. et 3 ff. n. ch. [ Suivi de : ] Lettre de Monsieur Hallé de La Touche, Chirurgien-Dentiste, reçu à Saint Côme, ci-devant Chirurgien dans l'Hôpital des Galandes à Bruxelles, Elève & Gendre de feu Dugeron, ChirurgienèDentiste en charge des Cent-Suisses de feu Monsieur, Frère du Roi Louis XIV, & ensuite Chirurgien-Major des Troupes que feues S.A.R. Monseigneur le Duc d'Orléans, Régent, commandoit sur les Côtes de Bretagne, lorsqu'il n'était que Duc de Chartres, En réponse à M. D***, Médecin, De l'Imprimerie de Vallerye, fils, Paris, 1764, 1 f., 25 pp.
Très intéressant recueil réunissant 4 ouvrages médicaux dont l'édition originale de l'important traité dentaire de Géraudly A propos du traité de Géraudly, Guerini évoque : "an excellent treatise on dental maladies and on the mode of preserving the teeth. His book, which was also translated into German, contributed to the diffusion of knowledge relative to dental prophylaxis and therapeutics [...]" (Guerini, A History of Dentistry, 302-303). Dans son traité, Géraudly raconte notamment comment à l'âge de 35 ans, Louis XIV avait perdu toutes ses dents du haut ("Louis XIV Roy de France a vécu plus de quarante ans sans avoir des Dents à la Mâchoire supérieure"), conséquence d'une paralysie des fibres nerveuses y conduisant, suite d'une vie dissolue et intempérante ayant affaiblie tout l'organisme et le système nerveux. On trouvera également dans ce recueil la traduction de 2 ouvrages de Luigi Cornaro (Alvise Corner, 1467-1566), dont celle de son fameux "Tratatto della Vita Sobria" (Traité de la vie sobre). Un vie déréglée l'ayant affligé en son jeune âge de diverses maladies, il décida d'être son propre médecin et se guérit en choisissant une vie sobre (la première cause de maladie étant la gloutonnerie, plus meurtrière que la peste ou la guerre...). Enfin, le recueil se clôt sur un très rare opuscule, la seconde édition de la "Lettre de Monsieur Hallé de La Touche, Chirurgien-Dentiste". Bon état (2 ff. entre le premier et le second titre, et 1 f. après le feuillet de titre de "L'Art de Conserver les Dents", ont été enlevés, mais tous les ouvrages sont parfaitement complet, petit mq. de papier à 2 ff. dont le feuillet de titre de "L'Art de Conserver les Dents", reliure un peu frottée ayant peut-être été l'objet d'une habile restauration ancienne). David, Bibliographie de l'art dentaire, 128
Paris, chez l'auteur et chez Migneret, 1818-1826 11 volumes in-8 (21 x 12,5 cm), XVI-464, 515, 638, 628, 630, 481, 588, 559, 512-(2), 606 et 384 pages. 7 planches gravées reliées à la fin du troisième volume. Reliure de l'époque demi-veau caramel beurre salé, dos lisse ornés, filets dorés. Exemplaire en très bon état, reliure solide et décorative, intérieur frais. Beau papier vergé fin. Quelques rousseurs à quelques feuillets seulement. Légers frottements aux reliures, sans gravité. ÉDITION EN PARTIE ORIGINALE. Les tomes 1 à 4 sont datés de 1822 et portent la mention de troisième édition. Le tome 5 est daté 1818 et porte la mention de seconde édition. Les tomes 6 à 11 ne portent aucune mention d'édition (édition originale) et sont datés 1818 à 1826. Les planches gravées à la fin du troisième volume montrent divers appareillages et organes : bandage pour la fracture de la clavicule (planche 1), machine pour exercer l'extension continuelle des membres inférieurs (planche 2), attelle de jambe (planche 3), appareillage pour fracture de la rotule (planche 3bis), rotule fracturée (planche 4), tumeur des muscles (planche 5), tumeur osseuse (planche 6).
Dans l'ordre des volumes on trouve : De l'inflammation - des abcès - De la gangrène - De la brûlure - Des plaies - De tumeurs - Des ulcères - Des fistules - Des fractures - De la carie - Du Spina-Ventosa - De la fragilité des os - De l'entorse - Des luxations - Des plaies des articulations - De certaines difformités - Des opérations - Des plaies de la tête - Des tumeurs de la tête - Des maladies des yeux - Des maladies de l'oreille - Des maladies des fosses nasales - Des maladies de la bouche - Des maladies du cou - Des maladies de la poitrine - Des plaies du bas-ventre - Des hernies du bas-ventre - Des maladies des reines - Des maladies des uretères - Des maladies de la vessie et de l'uretère - Des maladies de l'anus et du rectum - Des maladies des parties génitales - Des maladies de la main - Des amputations - De la saignée - Des cautères. Alexis Boyer (1757-1833) est connu en tant que premier chirurgien de Napoléon Ier. Il est né à Uzerche, le 1er mars 1757. Issu d'une famille modeste, il monte dans la capitale en 1774 alors qu'il est âgé de 17 ans. A Paris il rencontre un étudiant en médecine qui le fait rentrer chez un barbier en tant que premier garçon. Tout son temps libre, il assiste à des dissections, la boutique du barbier étant voisine des amphithéâtres d’anatomie. Après 5 années d’études dans des conditions précaires, il obtient en 1781, la médaille d’or de l’Ecole pratique du collège de chirurgie. En 1782, il est élève dans l’hôpital de la Charité. Il y suit les cours et fait des pansements. Le 9 juillet 1787, il remporte le poste de chirurgien gagnant maîtrise pour lequel il postulait. En 1789, patriote convaincu, il participe, aux côtés des étudiants du collège de médecine, à la prise de la Bastille. En 1792, après délibération de l’Assemblée, Boyer devient chirurgien en second de la Charité. En 1795, Boyer est professeur de médecine opératoire à l’Ecole de santé de Paris. Très vite, lui est confiée la chaire de clinique externe. Après avoir enseigné l’anatomie, il inculque ses connaissances de chirurgie aux étudiants. Cette même année il rejoint l’école de Desault d’anatomie de l’Hôtel-Dieu, en tant que médecin tout d’abord, puis professeur adjoint. C’est au contact de cet éminent médecin que Boyer comprend toute l’impérative nécessité d’aborder l’anatomie avec rigueur et méthodologie. En 1797, il fait paraître le premier des quatre tomes de son Traité complet d’anatomie, description de toutes les parties du corps humain, dont la publication s’échelonne de 1797 à 1805. Avec le départ d’Antoine Dubois en Egypte, en 1798, il devient incontournable dans son domaine, ses maîtres étant prématurément décédés. Ainsi, enseigne-t-il tous les jours, quatre disciplines (anatomie, médecine opératoire, pathologie externe et clinique chirurgicale). Son cours de pathologie externe dure 15 ans et est le plus suivi. En 1804, il est nommé membre du service de chirurgie de l’Hôtel-Dieu, puis professeur de chirurgie à l’Ecole de santé. Il succède à Desault à la tête de la chaire de clinique chirurgicale. En 1805, Corvisart le recommande au nouvel empereur pour le poste de premier chirurgien officiant sur sa personne. Intègre et travailleur, Napoléon l’apprécie aussitôt et n’oublie pas de le combler d’honneurs. En 1806 et en 1807, il est aux côtés de son impérial patient pendant la campagne de Prusse. Quelques temps après, le Corse le missionne en Espagne pour y opérer le maréchal Suchet. A son retour, Napoléon l’autorise à rejoindre la Charité pour y continuer à délivrer son enseignement. Après avoir été fait membre de la Légion d’honneur, Boyer est fait baron de l’Empire en 1810. En 1811, il commence l’écriture de son Traité des maladies chirurgicales et des opérations qui leur conviennent. En 1814, cinq volumes sont publiés. La parution des six autres se poursuit jusqu’en 1826. Cette œuvre fondamentale est ce qu’il y a de mieux pour l’époque dans le domaine de la chirurgie. Boyer y a recueilli toute son expérience et tout son savoir acquis au cours de ses nombreuses années d’exercice et de labeur. Après la fin de l’Empire, il devient le chirurgien consultant de Louis XVIII, de Charles X, puis de Louis-Philippe. Il ne confiait à personne le soin de vendre ses livres et les vendait lui-même à son domicile, parce que, dans un souci d’équité, il leur fixait un prix de vente qu’il estimait juste et ne respectait pas celui des éditeurs. Comblé d’honneurs, il est élu membre de l’Académie de médecine, dans la section de chirurgie, en 1820, titulaire de la troisième chaire de clinique chirurgicale de la Charité en 1823, membre de l’Académie des sciences en 1825 et chirurgien en chef de l’hôpital de la Charité la même année. Ses travaux en font un des précurseurs de l’urologie, 50 années avant que cette discipline ne soit reconnue en tant que spécialité médicale indépendante, la première chaire d’urologie ayant été créée en 1870, à l’hôpital Necker, par Félix Guyon. Il meurt en novembre 1833 à l'âge de 76 ans. Références bibliographiques : Androutsos Georges, « Alexis Boyer (1757-1833), éminent chirurgien et anatomiste, et l’étude des troubles mictionnels », in Prog. Uro., 2003 ; 13 : 527-532. Androutsos Georges, « Alexis Boyer (1757-1833), éminent chirurgien et anatomiste. La place de l’andrologie dans son œuvre. Varicocèle et hypospadias comme facteurs d’infécondité », in Andrologie, 2003 ; 13 (2) : 180-186. Bibliothèque Interuniversitaire (BIUM), communication personnelle, Paris, 2010. Boyer Alexis, Traité complet d’anatomie, description de toutes les parties du corps humain, Migneret (éd.), Paris, tome I, 1810, 3 ème édition. Corlieu Auguste, Centenaire de la Faculté de Médecine de Paris (1794-1894), Alcan – Baillère – Doin – Masson (éd.), Paris, 1896. Dubois F., « Eloge de M. Boyer lu à l’Académie de médecine le 14 décembre 1852 », in Mémoires de l’Académie impériale de médecine, J.-B. Baillère (éd.), tome VII, Paris, 1853. Dupont Michel, Dictionnaire historique des Médecins dans et hors de la Médecine, Larousse (éd.), Paris, 1999. Ganière Paul, « Dubois Antoine (1756-1837), médecin », in Revue du Souvenir napoléonien, décembre 1988 ; 362 : 51-52. Goudeaux Edmond, Alexis Boyer (1757-1833), sa vie, son œuvre, Jules Rousset (éd.), 1904. BEL EXEMPLAIRE EN CONDITION D’ÉPOQUE DE CET OUVRAGE IMPORTANT.
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1° Le Chirurgien d'Hôpital, enseignant la manière douce et facile de guérir promptement toutes sortes de Playes, et le moyen assuré d'éviter l'exfoliation des Os.Troisième édition, revue et augmentée de plusieurs Observations nouvelles, d'une Pharmacie Chirurgicale, et d'une Dissertation sur la Rage. Épitre à Monsieur Le Marquis de Chamlay, Préface, Avis sur cette nouvelle édition et 540 pages - 1734.2° Suite du Chirurgien d'Hôpital, contenant differens traitez, du Mercure; des maladies des Yeux et de la Peste; des Tumeurs enkistées; des Boutons du visage; des Playes de Poitrine; des Playes tortueuses; des Infections; du mot d'Escarre; de la chute de l'Intestin dans le Scrotum; du Sarcocele et Miserere. Dédié au Roy de Sardaigne. Épitre, Table et 384 pages. Édition originale.A Paris, de l'Imprimerie de la Veuve d'Houry. 1733-1734.Reliure plein veau brun de l'époque. Dos à nerfs orné et doré avec pièce de titre maroquin rouge. Tranches rouges jaspées. Coins émoussés. Accident à la coiffe inférieure du tome 1. Déchirure avec petit manque à la page de titre du T2. Galerie de ver au T2. Pas de rousseur. Bon état. Format in-12°(17x10).Augustin Belloste est un chirurgien français. Né à Paris en 1654, il y est décédé en 1730. Pratiquant à Paris, il est nommé chirurgien de la mère du roi de Sardaigne Victor-Amédée qui l'attire à Turin.Son traité de 1696, Le chirurgien d'hôpital, a connu un énorme succès : il a été traduit dans plusieurs langues et a été réédité en 1707.
P., Demonville, 1803, un volume in 8 relié en demi-basane mouchetée, dos orné filets dorés (reliure moderne à l'imitation), 10pp., (1), 480pp., 2 planches hors texte
---- EDITION ORIGINALE ---- ENVOI DE LARREY au chirurgien Joseph Athanase BARBIER ainsi libellé : "à Monsieur BARBIER professeur chirurgien de la part de son ancien collègue et ami", signé D.J. LARREY" ---- BEL EXEMPLAIRE ---- Comme LARREY, J.A. BABIER fut chirurgien militaire au Val de Grace dont il prit la direction en 1804. Il améliora le trépan, les ligatures artérielles sous-clavières et les greffes osseuses. (cf. Larousse "Dictionnaire historique des médecins") ---- Cet ouvrage, publié 9 ans avant les mémoires de médecine et de chirurgie, divisé en dix sections qui formant autant d'époques remarquables où sont classés, par ordre, les évènements principaux de l'armée d'orient, présente le tableau de toutes les maladies qui se sont manifestées pendant le séjour de Larrey en Egypte, telles que l'ophthalmie, le tétanos, la peste, les plaies de tête, de la face et de la gorge, pénétrantes à la poitrine, les amputations, paralysie des membres lésés, le sarcocèle, la fièvre jaune... ---- "The great military surgeon Larrey served during the Napoleonic campaign in Egypt, where he was the first to observe the contagiousness of trachoma shortly after the successful invasion in 1798. The disease spread to Europe thereafter under the name of 'military ophthalmia' or 'Egyptian ophthalmia'. Reprinted in Larrey's Relation historique et chirurgicale de l'expédition de l'armée d'orient, Paris 1803". (Garrison N° 5837)**3122/ARM1A
A Genève, pour Pierre Chouët, Avec Privilege de sa Maiesté Tres Chrestienne, 1670, 1 volume in-8 de 220x165x45 mm environ, 27 ff. (page de titre avec vignette, au lecteur, privilège, notices), 664 pages, (24) ff. (indice des principales matières), pleine basane fauve mouchetée de brun, dos à 4 nerfs portant titres dorés, orné de caissons à motifs dorés, tranches mouchetées de rouge. Coiffes ébréchées avec débuts de fente sur les mors, coins émoussés, épidermures, rares erreurs de pagination sans manque, notes anciennes manuscrites concernant l'achat du livre sur le premier contreplat et la page de titre, noms manuscrits des différents médecins dans la marge supérieure, galeries de ver dans les marges, des pages brunies. Texte agrémenté de bandeaux lettrines et culs-de-lampe
Compilation d'observations diverses de plus de 30 médecins de toute l'Europe, commandées par le chirurgien ou le médecin qui les a rendues publiques, accompagnées de deux index très efficaces : l'un des sujets (pour les maladies et pour la zone du corps affecté) et un autre des médicaments utilisés pour la guérison. Les traductions sont attribuées à Théophile Bonet. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.