‎Balthazar André‎
‎Je, c'est lui.‎

‎L'Escampette. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 88 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

Reference : R100055765
ISBN : 2914387164


‎ Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎CHARDONNE Jacques‎

Reference : 84396

(1957)

‎Lettre autographe datée et signée adressée à son ami Roger Nimier évoquant le talent Paul Morand et le tout récent accident de voiture de Françoise Sagan : "Il est l'hygiène et la sagesse incarnées, dans sa personne. Mais il a encanaillé par son oeuvre la jeunesse qui venait après lui. C'est lui qui a failli tuer Sagan. C'est Morand qui achetait les terribles voitures de Sagan. Mais lui sait conduire."‎

‎Paris 29 Avril 1957, 21x27cm, une feuille + une enveloppe.‎


‎Lettre autographe datée etsignée de Jacques Chardonne adressée à sonami Roger Nimier (54 lignes à l'encre bleue) à propos du style de Paul Morand, père spirituel desHussards, Roger Nimier et Antoine Blondin étant considérés, bien malgré eux, comme chefs de file de ce mouvement littéraire. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. Jacques Chardonne entend battre en brèche deux fausses idées concernant Paul Morand, la première étant d'ordre stylistique : "Il y a une double méprise touchant Morand. On a vu en lui un "moderne"... mais il est essentiellement un "naturaliste" ; sa doctrine en art est exactement celle de Maupassant et Flaubert." tenant ce dernier pour un écrivain majeur : "Mais il a infiniment plus de talent et d'intelligence que les écrivains de l'école naturaliste." ; la seconde d'ordre psychologique : "Il est l'hygiène et la sagesse incarnées, dans sa personne. Mais il a encanaillé par son oeuvre la jeunesse qui venait après lui. C'est lui qui a failli tuer Sagan." Jacques Chardonne ironise ensuite sur les talents de Françoise Sagan tout en exaltant la prédominance et la maîtrise de son ami Paul Morand en tout ce qu'il entreprend de faire : "C'est Morand qui achetait les terribles voitures de Sagan. Mais lui sait conduire."tout en se rappelant les conseils de prudence que prodigua Bernard Frank à l'auteur de Bonjour tristesse : "Bernard Frank dit : elle ne tient pas la route, ta bagniole... Sagan, vexée, accelère. Et tout chavire." En grand frère de plume, Jacques Chardonne rassure Roger Nimier sur son propre talent : "Morand est très content de vous.Je dis que Gaston (Gallimard) semble avoir beaucoup d'amitié pour vous." et félicite son correspondant pour la qualité d'Artaban, revue à laquelle collabore Roger Nimier, Jacques Chardonne étant mis à l'honneur dans unrécent numéro: "... surpris de me voir en première page;le texte me remplit de fierté. J'ai méprisé les honneurs, afin d'être honoré. Je ne pouvais être mieux servi que dans ce petit texte." et attribue la paternité du texte le concernant à l'un de ses émules Hussards : "... je me dis : c'est Nimier, ou Hecquet, ou Milliau. A vrai dire, je ne sais. Et je remercie le Seigneur." Terrassé par tant d'hommages qui lui sont rendus, Jacques Chardonne, lucide, préfère éviter de trop être sous les feux de la rampe : "Voilà pourquoi je ne veux plus rien publier. Dès que l'on vous applaudit, il faut s'en aller." Très belle lettre de Jacques Chardonne encensant son ami Paul Morand, père spirituel des Hussards, et évoquantle terrible accident de voiture de Françoise Sagan à bord d'une Aston Martin le 13 Avril 1957. Evocation prémonitoire : Roger Nimier se tuant cinq ans plus tard sur l'autoroute de l'Ouest, le 28 Septembre 1962, également au volant d'une Aston Martin. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR900.00 (€900.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110395767

(1963)

‎Télé 7 jours n° 167 - Votre Gardner : un vrai parisien au cocktail Drador, La TV c'est lui, Un bal d'étudiants a fait de Tatiana la vedette de Quand passent les cigognes, Henri Spade : c'est pour avoir le droit d'être chez lui a l'Athénée, que Jouvet‎

‎Télé 7 jours. 1 juin 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎


‎Sommaire : Votre Gardner : un vrai parisien au cocktail Drador, La TV c'est lui, Un bal d'étudiants a fait de Tatiana la vedette de Quand passent les cigognes, Henri Spade : c'est pour avoir le droit d'être chez lui a l'Athénée, que Jouvet faisait du cinéma Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎TIMON, GROZELIER ALFRED DE, MEHEE DE LA TOUCHE‎

Reference : RO40260649

(1845)

‎FEU ! FEU ! / DE LA CENTRALISATION / OUI ET NON AU SUJET DES ULTRAMONTAINS ET DES GALLICANS / LE DIABLE-A-QUATRE / C'EST LUI, MAIS PAS DE LUI, OU REFLEXIONS SUR LE MANUSCRIT DIT DE SAINTE-HELENE (MEMOIRES DE NAPOLEON BONAPARTE) (RECUEIL)‎

‎Pagnerre - Desloges - Ponthieu. 1821-1845. In-18. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. Env. 600 pages (plusieurs paginations). Recueil. Titre et filets dorés sur le dos. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Rousseurs.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎


‎Timon: Feu ! Feu!, De la Centralisation, Oui et non au sujet des Ultramontains et des Gallicans. A. de Grozelier: La Diable-à-Quatre. C'est lui, mais pas de lui, ou Réflexions sur le manuscrit dit de Sainte-Hélène, réimprimé nouvellement sous ce titre: Mémoires de Napoléon Bonaparte, par Méhée de la Touche (1821). Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎

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‎Jamet Dominique‎

Reference : 400071945

(1988)

‎Dominique jamet Pour moi c'est lui Michel lafon‎

‎ 1988 1988. Dominique Jamet: Pour moi c'est lui. / Michel Lafon 1988 . Dominique Jamet: Pour moi c'est lui. / Michel Lafon 1988‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

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