Creator, 1952 (2° édition). Format 14x22 cm, broche, 357 pages. Couverture salie. Bon etat.
Reference : 4090
Librairie Frédéric Delbos
M. Frédéric Delbos
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Paris, Creator, Les écrits restent, 1952. In-8 (225x140mm) broché, 357 p. Rousseurs extérieures. Bon état général.
1952 Editions Creator, Collection "Les écrits restent" - 1952 - In-8, broché - 357 p.
Bon état malgré couverture légèrement défraîchie (menus plis et salissures) - Rousseurs sur la page de garde
Editions creator. 1952. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Manque en coiffe de pied, Papier jauni. 357 pages. Dos fané. Couverture jaunie. Coins frottés. Quelques rousseurs. Annotations et soulignements au crayon.. . . . Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements
"Collection ""Les écrits restent. Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements"
Editions Créator, collection Les écrits restent, 1952. In-8, 13,5 x 22,5, broché, 357 pages, frontispice. Edition originale de ce réquisitoire contre Pétain. Un des 225 exemplaires numérotés sur alfa mousse, seul grand papier. Envoi autographe de l’auteur à M. Edouard Salomon, secrétaire général de la fédération M.L.N. « pour la part courageuse qu’il a prise dans la résistance de la région lyonnaise »
P., Editions Créator, 1952, in-8°, 357 pp, une photo hors texte, biblio, broché, bon état, bande éditeur conservée (“Réhabiliter Pétain ?”)
Cet ouvrage est une réponse (de la partie civile) au livre des défenseurs du Maréchal Pétain "Requête en révision pour Philippe Pétain". — "Ce livre répond à certaine “Requête en révision” introduite en 1950 auprès du Garde des Sceaux en vue de rouvrir le procès du maréchal Pétain. Des « faits nouveaux » y étaient allégués, – des faits ignorés lors du procès et qui, assurait-on, s'ils avaient été connus auraient orienté vers l'acquittement l'arrêt de la Haute Cour. « C'est le procès de cette requête et de ces faits nouveaux que se propose le présent ouvrage. » L'auteur le dévoile sans ambages et, puisque le débat a été, avant lui, du prétoire « transféré dans la rue », il n'hésite pas à s'adresser, à son tour, au public pour le faire juge. Dans le procès d'un Procès qu'on s'efforce d'instituer, de quoi s'agissait-il ? D'un vieux Maréchal de France à relever de l'indignité nationale. M. Vanino ne l'entend pas ainsi. Le procès de réhabilitation l'offusque. A l'ancien chef pour lequel réparation est réclamée, il oppose une « armée », et il se fait l'interprète de cette armée où se rassemblent par « centaines de milliers » des familles françaises meurtries : celles qui pleurent leurs morts glorieux, victimes d'un « don total » librement consenti au temps des ténèbres « pour que la France vive dans la lumière ». Au premier rang de ces ombres tragiques « un frère engagé volontaire à dix-huit ans tué à l'ennemi ». C'est au nom de ce frère, au nom de ceux qui ont partagé son destin qu'il se constitue partie civile. Comment lui dénier l'accès à la barre, comment refuser de l'entendre ? Nous voilà prévenus cependant ! Si plus d'une fois presque à chaque page, dans ce livre, le ton se passionne, n'en demeurons pas étonnés ! Dès le titre il y paraît : pareillement à la préface qui est du pur Bernanos. N'attendons pas ici le style impassible d'une histoire sereine qui ne voudrait pas s'écarter des sentiers incolores de l'impartialité. Ici, on a pris position. On fut, on reste du parti de la Résistance – qui date du 18 juin 1940 et dont le siège passa de Londres à Alger. On ne ménage pas l'adversaire, on ne mâche pas les mots. On ne se retient pas quand la colère vous prend à la gorge, que l'indignation vous soulève, que le mépris vous domine – quitte, de temps à autre, à se permettre la détente d'une ironie cinglante... Oui, la querelle est loin d'être apaisée. Nous nous retrouvons en plein drame, en pleine action judiciaire..." (F. Gadrat, Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, 1955)