‎Jean-Louis Victor - Gaetane Bergevin ‎
‎Le troisieme regard ‎

‎Actuel Marx, n°32 - Deuxième semestre 2002 - Les libéralismes au regard de l'histoire : Présentation - Dossier : les libéralismes au regard de l'histoire coordonné par Florence Gauthier et Jacques Guilhaumou - Introduction - Un troisième concept de libert‎

‎PUF. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 221 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique‎

‎"Sommaire : Présentation - Dossier : les libéralismes au regard de l'histoire coordonné par Florence Gauthier et Jacques Guilhaumou - Introduction - Un troisième concept de liberté au-delà d'Isaiah Berlin et du libéralisme anglais - A l'origine de la théorie physiocratique du capitalisme, la plantation esclavagiste. L'expérience de Le Mercier de la Rivière, intendant de la Martinique - ""La démocratie purgée de tous ses inconvéniens"" - Républicanisme, libéralisme et Révolution française - Jacobinisme et marxisme : le libéralisme politique en débat.. Classification Dewey : 320-Science politique"‎

‎Mireille. - Poème provençal - Traduit en vers français - par E. Rigaud - Premier Président de la Cour d'appel d'Aix. - Avec le texte en regard. - Troisième édition revue et corrigée. ‎

‎ P., Librairie Hachette et Cie, 1882. Petit in-8°, br., couv. jaune impr. en noir et rouge. ‎

‎Troisiéme édition en partie ORIGINALE. Charmante édition avec le texte en povençal sur pages de gauche et traduction en regard. Couv. émoussée et insolée, rares rousseurs, sinon, bon exemplaire. ‎

‎Odes de Pindare avec le texte en regard et des notes par J. Al. Perrault-Maynand. Néméennes suivies d'études sur la poésie lyrique des anciens. - Tome troisième. Version bilingue.‎

‎Lyon-Paris, Librairie Classique de Perisse Frères, 1848, 439 pp., cartonnage amateur (us., titre défait en tête, pâle mouillure en queue, état correct).‎

‎Institutes de l’Empereur Justinien. nouvellement traduites par A.-M. du Caurroy ; augmentées, 1° de la Novelle CXVIII, 2° de plusieurs extraits soit des autres Novelles, soit des lois du Code qui modifient les Institutes. Avec le texte en regard. Troisième édition‎

‎Chez Fanjat Ainé, Libraire, Alex-Gobelet, Libraire 1825 In-8. Reliure demi-basane havane, dos lisse orné de filets et de roulettes dorées, 589 pp., mors fendillés en tête et en pied,coiffes réparées, intérieur uniformément jauni.‎

‎Texte en latin avec traduction française en regard. Etat correct d’occasion ‎

‎Harmonie du droict divin, avec le droict humain touchant l'usure, les intérests, & la constitution de rente.. Divisée en trois chapitres. Dont le premier montre que l'usure consiste au profit provenant du simple prest, & que ce profit abusivement appelé intérest est défendu de Dieu & du Roy. - Le second montre qu'il a de vrays & légitimes intérests, & qu'elles sont les conditions qui les séparent des intérests vulgaires. - Le troisième qu'il y a une voye non usuraire & très licite, par laquelle sans achepter des fonds, & sans courir les hazards du commerce l'on peut avec des deniers comptans accroistre ses facultez ; c'est la constitution de rente peu connuë aujourd'huy, & encore moins pratiquée par la dépravation de nostre siècle, quoy que l'usage en soit absolument nécessaire à quantité de personnes de toutes conditions, mesmes aux tuteurs & curateurs au regard des deniers de leurs mineurs, & quoy qu'on y puisse trouver la seureté temporelle, moyennant qu'on se serve des minutes mises à la fin de cet ouvrage‎

‎Avignon, Pierre Offray, 1667 petit in-4, [2] ff. n. ch. (titre, approbation), pp. 9-84, sign. B-L, manque la sign. A, mais le texte lui-même est complet, dérelié. Quelques salissures en marge de certains ff.‎

‎Rarissime; L'auteur était avocat au Parlement de Toulouse, mais il reprend les conceptions théologiques les plus strictes concernant le prêt à intérêt.La constitution de rente fut massivement employée en France aux XVIIe et XVIIIe siècles pour pallier l'absence de système de crédit bancaire, la religion catholique interdisant de toucher des intérêts. Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, l'immense majorité du crédit en France passait par ce système, extrêmement imparfait : en effet, crédit garanti sur un bien immobilier, et remboursable par anticipation, mais à l'initiative du créancier, ce type d’emprunt imposait au prêteur une perte de contrôle du capital : il ne peut exiger de remboursement. Ce système permet à la rente de contourner la législation qui prohibait l’usure.Seulement deux exemplaires au CCF (Méjanes et Montauban). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎