Dumas, collection "Pervenche" n°154, 1956. Format 12x19 cm, broche avec une couverture illustree.Bon etat, petites traces d'usage sur un livre d'occasion.
Reference : 30434
Librairie Frédéric Delbos
M. Frédéric Delbos
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1763 toile, dans un emboitage 35 x 25 x 7 cm (XIXe sur laquelle on a placé l'étiquette XVIIIe). carte composée de 9 feuilles, 290 x 246 cms, 1763
La carte la plus détaillée et complète de la Bourgogne de l'Ancien Régime. Trés détaillée et fort décorative, elle est conçue pour être assemblée dans son bel encadrement.290 x 246 cm. Un plan de Dijon dans un cartouche, Armes de France, .
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IN 8°. Demi basane XIXe; dos plat, titré "Théologie". (2),496,(30)ff. f.356 chiffré par erreur 355; idem pour f.496 chiffré 469,surchargé à la main, puis corrigé au-dessus. Manque 6ff. de table. Qq annotations anciennes. Ex libris "Ch.Dubois prêtre"; un autre, manuscrit sur la page de titre "Langlois prestre". Colle ou humidité entre l'extrait du privilège et le f.1, ayant entraîné l'arrachement de quelques lettres. Premier cahier en partie débroché. Légère mouillure en début de volume.
Deuxième édition de cette traduction du latin de l'œuvre du théologien catalan Raymond SEBON(Ramon SIBIUDA 1385-1436) que Montaigne avait entreprise à la demande de son père. Edition, certainement, revue et corrigée des fautes de la première par Montaigne lui-même.(Cf. le travail de A.Brieux "Autres souvenirs de Montaigne" ou il apparait que cette œuvre est un travail bien plus personnel qu'une simple traduction.) Rare; seulement 3 au Ccfr.
Précieux exemplaire relié à l’époque pour le Baron de Longepierre, orné de l'emblème de la Toison d'Or. Paris, Imprimerie Royale, 1717.2 tomes en 2 volumes in-4 de : I/ (9) ff., 544 pp., 83 planches à pleine page, 4 planches sur double-page, tache brune p. 467, mouillure en marge des pp. 529 à 535 ; II/ (2) ff., 526 pp., (20) ff., 63 planches à pleine page et 1 planche sur double-page. Reliés en plein veau marbré, triple filet doré, emblème de la Toison d’Or au centre et aux angles des plats, dos à nerfs ornés du même emblème répété dans les caissons, pièces de titre et de tomaison de maroquin olive, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque.254 x 190 mm.
Édition originale du « plus intéressant voyage sur le Levant » (Chadenat, 195) imprimée sur les presses royales du Château du Louvre.Cette édition ornée de « nombreuses gravures, plans, vues, costumes, figures d’histoire naturelle, etc., est la plus recherchée et la plus belle de ce curieux voyage ». (Chadenat).Pritzel, 321.Joseph Pitton de Tournefort, célèbre botaniste français (1656-1708) fut présenté à Louis XIV en 1700, et reçut alors de ce prince l’ordre de se rendre dans le Levant avec le dessinateur Aubriet et le médecin Gundelsheimer pour y remplir une mission scientifique. De 1700 à 1702, il visita successivement Candie, l’Archipel, Constantinople, la côte méridionale de la mer Noire, l’Arménie, la Géorgie, le mont Arurat, l’Asie Mineure, Angora, Pruse, Smyrne, Éphèse, envoya à Paris, des lieux qu’il visitait, des produits zoologiques, botaniques, minéralogiques, s’occupa en même temps d’étudier les antiquités, les mœurs, les coutumes, les productions commerciales, et fut nommé, à son retour, professeur de médecine au Collège de France.La ‘Relation d’un voyage au Levant’, écrite sous forme de lettres, se lit avec beaucoup d’intérêt et contient une foule de détails extrêmement curieux sur Candie, sur Constantinople, sur les mœurs et les coutumes des Turcs, etc. La partie sur la Géorgie est d’autant plus intéressante qu’alors ce pays n’était connu que par les récits déjà vieux de Chardin et de Della-Valle. Le ton du récit en est simple et agréable ; Tournefort y déploie une vaste érudition sans jamais ennuyer.L’abondante illustration se compose de 151 planches gravées en taille-douce, dont 5 doubles, dessinées par Claude Aubriet.Parmi celles-ci, 101 sont consacrées aux vues de villes, paysages, costumes, animaux, mollusques,… et 50 aux plantes.Le nombre de planches semble varier d’un exemplaire à l’autre, fluctuant de 150 à 152 gravures.Précieux exemplaire relié en veau de l’époque pour le baron de Longepierre (1659-1721), orné de l’emblème de la Toison d’Or.Hilaire-Bernard de Roquelyne, baron de Longepierre naquit à Dijon au mois d’octobre 1659 et mourut à Paris le 31 mars 1721.Le Baron de Longepierre était un savant helléniste et auteur dramatique, précepteur du comte de Toulouse et du duc de Chartres, homme de confiance du Régent et ami des Noailles. Considéré comme l’un des bibliophiles les plus raffinés de son temps, son goût strict et épuré rompt avec celui de son époque.« Fils d’un maître des comptes, Longepierre fut un de ces petits prodiges qui, à l’âge où l’on joue aux quilles, étonnent le monde par leur précocité et qui plus tard ne font que de médiocres individualités. Il se distingua tellement de ses condisciples dans ses études classiques que Baillet le plaça parmi les ‘Enfants célèbres’. Il composa plusieurs tragédies qui toutes, à l’exception de Médée, eurent une fin tragique. Peu habitué au succès, quoique noble, celui de sa ‘Médée’ l’enfla au point qu’il ne voulut avoir d’autre signe héraldique sur ses livres que la ‘Toison d’or’, afin de porter jusqu’à ses derniers neveux le souvenir d’un fait aussi rare.L’amour des livres contribua peut-être plus à sa notoriété que ses pièces de théâtre.L’auteur dramatique est presque oublié aujourd’hui, tandis que le bibliophile est resté en grande réputation parmi les amateurs.Ses volumes, reliés avec goût, sont tous ornés de la ‘Toison d’or’ aux angles et sur les plats. » (Guigard, Armorial du bibliophile, p. 73).
Paris, Nicolas Simart, 1712, 2 vol. in-12, [30],-410 p., 8 planches dont dépliantes, et [10]-417-[3]p., 8 planches dont certaines dépliantes , avec la carte duPays de Fioum , plein veau brun de l'époque, dos à nerfs décorés, pièces de titre et de tomaison , tranches rouges (qqs accrocs aux coiffes, manques au dos , charnière fendue . Édition originale du deuxième voyage de P. Lucas (1664-1737). T. 1 contenant la description de la Natolie, de la Caramanie et de la Macedoine ; t. 2 contenant la description de Jérusalem, de l'Égypte et du Fioume, avec un mémoire pour servir à l'histoire de Tunis, depuis l'année 1684, sans la carte dépl. du Levant . Atabey 732.
Il publie en 1712, chez Nicolas Simart, successeur de feu Guillaume Vandive, son nouveau voyage d'octobre 1704 à septembre 1708. Ses livres sont traduits en anglais et en allemand. Paul Lucas effectue également un quatrième et un cinquième voyage au Levant de mai 1714 à novembre 1717, ce qui lui fournit l'occasion de publier un Troisième voyage du sieur Paul Lucas, fait en 1714, par ordre de Louis XIV dans la Turquie, l'Asie, la Syrie, la Palestine, la Haute et Basse-Egypte, etc. La réception de ses ouvrages est plutôt favorable. Ils connaissent un important succès de librairie mais sont accueillis avec réserves par les scientifiques car ils n'entrent pas dans les codes classiques des récits d'explorateurs. « Ses relations, malgré quelques erreurs, renferment les renseignements les plus complets et les plus exacts qui eussent été jusqu'alors produits sur ces contrées». De nos jours, l'importance de ses récits est démontrée. Il a véritablement visité et décrit de nombreux sites archéologiques et établit des cartes précises pour son époque. Il est ainsi le premier explorateur de la basse Égypte et surtout le découvreur du temple d'Isis (Behbeit el-Hagar).
A Paris, Chez les Associez choisis par Ordre de Sa Majesté, 1709. 2 parties en 1 vol. in-4 de (16)-LXI-(3)-504 pp. ; XXIV-272 pp., veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
Nouvelle édition augmentée de l'ordonnance sur la procédure civile de 1667 rédigée en partie par l'éminent juriste et oncle de Colbert, Henri Pussort, ensemble de textes qui inspirera en partie le code de procédure civile moderne suivi de l'Ordonnance criminelle publiée le 26 Août 1670 pour la première fois.Exemplaire portant l'ex-libris armorié de Louis Le Peletier de Rosambo, président à mortier du Parlement de Paris, gendre de Lamoignon de Malesherbes.