Sansot a Paris, 1908. Format 11x17 cm, broche de 103 pages. Avec un portrait en frontispice. Couverture insolee et legerement tachee.Etat correct
Reference : 10762
Librairie Frédéric Delbos
M. Frédéric Delbos
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Paris, Chez Le Jay, 1768, 1777, in-8vo, ex libris De La Bibliothèque d’Arnoult-Marin DU PIN, également manuscr. Ex Libris DU PIN, reliures en veau d’époque, dos orné, traces d’usage, bon état.
Collation compl.: 1) Le Comte de Comminge, ou les amans malheureux. Drame. Quatrième édition. 1768. 2 ff. + CXIVI (discours préliminaire - Précis de l’histoire de la Trappe) + 96 p. (Comminge) + p. 97 à 142: Mémoires du comte du Comminge / Mérinval. Drame: 2 ff. + XVI (Préface) + 98 p. / Effets de la vengeance. Relation d’un religieux. 26 p.2) Euphémie, ou triomphe de la religion, Drame. 2 ff. + X + 1 f. (avis du libraire) + 304 p. + 1 f. errata - + Catalogue des ouvrages... / Fayel, Tragédie. Nlle édition. XL + 126 p. + 1 planche gravée. A Paris, Chez Delalain, 1777. Image disp.
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P., Sansot, 1908, in-12, 105 pp, un portrait gravé en frontispice, introduction par Henri Potez, broché, qqs soulignures crayon dans l'introduction, bon état (Coll. Petite Bibliothèque surannée)
Madame de Tencin aurait pu se contenter de faire de sa vie un roman : le scandale, l'ambition et l'intrigue en auraient constitué les ingrédients. Or en 1735 elle fait paraître un des textes les plus sensibles du XVIIIe siècle : Mémoires du comte de Comminge, court roman dont la trame évoque l'aventure de Roméo et Juliette. L'amour intrépide et dévorant qui naît entre le jeune comte de Comminge et Adélaïde de Lussan est marqué par la haine de leurs pères. Cet amour-là ne fera que scander les étapes d'une marche funèbre. Les âmes sensibles, comme dans le grand roman baroque, créent les circonstances extraordinaires dont elles ont besoin pour connaître toute leur faculté d'aimer et de souffrir. Faisant partie des premiers textes annoncant le genre gothique, ce roman a été jugé digne d’être placé au nombre des chefs-d’œuvre de la littérature féminine du temps et son succès alla même croissant jusque vers le milieu du XIXe siècle, avec près d'une réédition tous les deux ans entre 1810 et 1840. Il fut, par ailleurs, encore souvent réédité entre 1860 et 1890 et sa gloire ne s’éteindra finalement qu’à l’aube du XXe siècle. C’est dire si le XIXe siècle le goûta encore énormément. — Madame de Tencin (1682-1749). Tour à tour intrigante, femme du monde, de salon, elle fut surtout reconnue comme l'un des plus grands écrivains de son temps. Parmi ses romans, Les Mémoires du comte de Comminge (1735) et Le Siège de Calais (1739), lui valurent l'admiration des plus grands : Voltaire, Montesquieu, Marivaux... — "le plus beau titre littéraire des femmes dans le XVIIIe siècle." (Villemain, Tableau de la littérature française au XVIIIe siècle, 1838)
P., Sansot, 1908, in-12, 105 pp, introduction par Henri Potez, broché, bon état (Coll. Petite Bibliothèque surannée). Sans le portrait en frontispice annoncé
Madame de Tencin (1682-1749) aurait pu se contenter de faire de sa vie un roman : le scandale, l'ambition et l'intrigue en auraient constitué les ingrédients. Or en 1735 elle fait paraître un des textes les plus sensibles du XVIIIe siècle : Mémoires du comte de Comminge, court roman dont la trame évoque l'aventure de Roméo et Juliette. L'amour intrépide et dévorant qui naît entre le jeune comte de Comminge et Adélaïde de Lussan est marqué par la haine de leurs pères. Cet amour-là ne fera que scander les étapes d'une marche funèbre. Les âmes sensibles, comme dans le grand roman baroque, créent les circonstances extraordinaires dont elles ont besoin pour connaître toute leur faculté d'aimer et de souffrir. Faisant partie des premiers textes annoncant le genre gothique, ce roman a été jugé digne d’être placé au nombre des chefs-d’œuvre de la littérature féminine du temps et son succès alla même croissant jusque vers le milieu du XIXe siècle, avec près d'une réédition tous les deux ans entre 1810 et 1840. Il fut, par ailleurs, encore souvent réédité entre 1860 et 1890 et sa gloire ne s’éteindra finalement qu’à l’aube du XXe siècle. C’est dire si le XIXe siècle le goûta encore énormément.
P. Sansot 1908 1 vol. In-12. br.. bon état intérieur, dos uniformément jauni. 103p, édition ornée d'un portrait frontispice avec une introduction par Henry Potez. collection Petite Bibliothèque suranée parfait etat