Rivages, Petite Bibliothèque, 2011, 40 pp., poche, bon état.
Reference : 63239
L'odeur du book - Negri-Meary S.A.R.L.
60 rue Hermel
75018 Paris
France
0033 (0)1 42 23 30 39
Bonjour, la librairie est fermée du mercredi 26 avril au lundi 1er mai inclus. A bientôt! Morena Negri Vous pouvez passer vos commandes par e-mail, par téléphone ou par courrier. Nous vous donnerons confirmation de la disponibilité des ouvrages souhaités par téléphone ou par e-mail. Nous vous enverrons votre commande dès réception de votre règlement par chèque, carte bancaire, Paypal ou virement bancaire international à l'ordre de Negri-Meary SARL. Envoi par courrier suivi à votre charge. Vous pouvez également retirer les ouvrages commandés à la librairie aux heures d'ouverture.
<p><meta charset="utf-8"><span>La vertu constitue le seul bien supérieur à l'amitié, écrit Cicéron. Ce n'est donc que par cette même vertu que l'amitié s'épanouira pleinement. Dans ce dialogue philosophique, il donne la parole à Laelius pour clarifier ses vues.</span><br><br><span>À l'instar des bons vins, les belles amitiés se bonifient avec l'âge. Il convient donc de ne pas se fourvoyer dans des relations animées par la vaine recherche de satisfactions passagères. L'amitié requiert au contraire fermeté et solidité, vertus stoïciennes par excellence. Dans son éloge, Cicéron se fait le contempteur des hypocrites et l'apologiste des hommes probes, seuls dignes de recevoir le précieux sésame de l'amitié. Mais il offre également un texte à portée politique, écrit en -44 av. J-C, peu de temps après la mort de César...</span></p> Paris, 2024 Allia 144 p., broché. 10,2 x 17
Neuf
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
<p>Partenariats médias, hommages dans les cinémas dans toute la France, diffusion d'un documentaire sur France 2, exposition, sortie de plusieurs DVD, de coffrets, rééditions et parutions de nombreuses nouveautés : c'est en grande pompe que sera célébré le quarantième anniversaire de la disparition de Jacques Prévert tout au long de 2017. C'est dans ce cadre que s'inscrit la réédition de L'amitié selon Prévert. Anniversaire, rendez-vous, dîners entre amis, Prévert plaçait l'amitié au centre de sa vie et lui consacrait chaque jour une fleur dessinée au feutre et vivement colorée aux côtés de laquelle il notait les noms et l'occasion de ses rendez-vous. Le geste est superbe, le défilé des noms vertigineux : Picasso, Miro, Piaf, Carné, Arletty, Doisneau.</p> Paris, 2012 Textuel 144 p., cartonnage éditeur. 13 x 19
Neuf
Editions Franciscaines. Mai 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire Promenade en jardin d'amitié par Godefroy Guillerm, Entre méfiance et permission par Henri Jacques Stiker, Jésus et l'amitié par Gérard Guitton, La tradition de l'amitié par Marie Odile Metral, L'amitié un itinéraire : François d'Assise et Bernard de Quintavalle par Fidèle Lenaerts Classification Dewey : 200-RELIGION
Turnhout, Brepols, 2007 Paperback, 485p., 160 x 240 mm. ISBN 9782503524672.
Sans conteste, l'amitie innerve le monde medieval. Le vocable sature les textes tant pratiques que theoriques. Il concerne toute la societe, l'elite, les milieux princiers et la noblesse autant que les humbles et le monde ordinaire. Au regard de l'insistance des sources medievales a dire l'amitie dans sa factualite et sa realite, il s'avere necessaire de s'interroger sur la pensee de l'amitie au Moyen Age. A-t-on pense l'amitie au Moyen Age? Plus exactement pose: quels sont les cadres intellectuels, institutionnels et structurels qui poussent les hommes des xiiie-xve siecles a penser l'amitie; quelles sont les conditions historiques et les evenements culturels qui faconnent les contours d'une telle conceptualisation? Languages: French.