Gallimard, 1993, 324 pp., broché, gommette sur la quatrième de couverture, bon état.
Reference : 56208
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Paris, Gallimard, (7 septembre) 1993. 1 vol. (145 x 220 mm) de 324 p., [2] et 3 f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 50 premiers exemplaires sur vergé de Hollande (n° 29).
Les Testaments trahis est un recueil de neuf essais sur l'art avec comme thème principal l'art romanesque : l'esprit de l'humour comme il le conçoit et ses liens avec la musique, notamment celle de Stravinsky et Beethoven. Le recueil reçoit, à ce titre, le prix de la Société des compositeurs américains pour le « meilleur livre écrit sur la musique ». Pour le roman, Kundera en appelle à l'art de Rabelais, Rushdie, Stravinsky, Beethoven, Broch, Musil, Mann, Hemingway, Faulkner, Chamoiseau et bien entendu Kafka, dans un vibrant éloge critique de l'écrivain pragois et de ce que Kundera nomme la sagesse existentielle du roman, un sujet sur lequel il reviendra dans ses (rares) interviews : « ce mélange du grave et du léger, du comique et du triste, du sens et du non-sens [...] fait naître une étrange beauté qui n'a pas son pareil ; j'aimerais bien la définir, cette beauté, mais je sais que je n'y arriverai jamais » (« Les Chefs-d'oeuvre de la littérature commentés par les écrivains d'aujourd'hui », Le Nouvel Observateur, hors-série n° 83, juillet 2013, à propos du Procès).
Paris, Gallimard, 1993. Un volume fort et grand in-8, broché, non coupé, 324 pp.
Édition originale. Un des 50 exemplaires numérotés sur vergé blanc de Hollande. Seul tirage en grand papier. Non coupé, neuf." Les Testaments trahis est un recueil de neuf essais sur l'art ; la littérature et la musique, avec comme thème principal celui de l'art romanesque : l'esprit de l'humour dont il est né, ses liens avec la musique, et ce que Kundera nomme la sagesse existentielle du roman. Entre un éloge critique de Kafka et une renaissance de Stravinsky qui fait palpiter sa magnifique musique, Kundera en appelle à l'art de Rabelais, Rushdie, Stravinsky, Beethoven, Broch, Kafka, Musil, Mann, Hemingway, Faulkner ou Chamoiseau. Le recueil a reçu, en 1996, le prix de la Société des compositeurs américains pour le « meilleur livre écrit sur la musique ». ". Photos sur demande.
Paris Gallimard NRF 1993 In-8 Broché Dédicacé par l'auteur
Edition originale. Exemplaire portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'auteur. Très bon 0
Le recueil a reçu, en 1996, le prix de la Société des compositeurs américains pour le " meilleur livre écrit sur la musique " ; il constitue, avec L'Art du roman (1986) et Le Rideau (2005), une magnifique trilogie sur les grandes préoccupations esthétiques de l'auteur. Paris, Gallimard, (10 septembre) 1993 1 vol. (140 x 205 mm) de 324 p., [2] et 2 f. Broché. Édition originale. Envoi signé : « Pour Maurice [Nadeau] avec ma très vieille et très sincère amitié, Milan, Paris 1993 ». Bandeau éditeur conservé.
"Les testaments trahis" est un recueil de neuf essais sur l'art ; la littérature et la musique, avec comme thème principal celui de l'art romanesque : l'esprit de l'humour dont il est né, ses liens avec la musique, et ce que Kundera nomme la sagesse existentielle du roman. Entre un éloge critique de Kafka et une renaissance de Stravinsky qui fait palpiter sa magnifique musique, Kundera en appelle à l'art de Rabelais, Rushdie, Stravinsky, Beethoven, Broch, Kafka, Musil, Mann, Hemingway, Faulkner ou Chamoiseau. Le recueil a reçu, en 1996, le prix de la Société des compositeurs américains pour le " meilleur livre écrit sur la musique " ; il constitue, avec L'Art du roman (1986) et Le Rideau (2005), une magnifique trilogie sur les grandes préoccupations esthétiques de l'auteur.