Dénoël Gontier, Médiations, 1965, 190 pp., poche, couverture un peu défraîchie, rousseurs, état correct.
Reference : 25691
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Paris, Véga, 1951, Broché, 145 pages. Très bon état.
Moscou, Editions de l'Agence de Presse Novosti, sd, in-4, cartonnage éditeur, np 4 pages cornées, sinon bon état. Nombreuses photographies NB.
Paris, Jules Labitte, sans date [1842]. Petit in-12 de 252-[2] pages, demi-chagrin chocolat, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés. Reliure signée Faille.
Illustré de 53 figures d'Hans Holbein imprimée sur papier Chine monté sur vélin (ce dernier parfois bruni). Bel exemplaire de cette rare publication qui reprend l'iconographie de la sixième édition parue en 1554. Long texte liminaire de Fortoul "essai sur les poèmes et sur les images de la Danse des morts". Tampon de collection sur l ap. de titre : "L" rouge. Rares et pâles rousseurs. Bel exemplaire.
Paris, Flammarion, 1999; in-4, 200 pp., cartonnage de l'éditeur. En très bon état avec sa jaquette Jaquette illustrée à rabats - Nombreuses photos en couleurs et N/B - Alors qu'elle est une composante essentielle de la vie, la danse est trop souvent perçue de manière caricaturale. Au-delà des idées reçues, Marie-Claude Pietragalla évoque cet art actuellement en plein renouveau à travers son expérience intime de la danse. Avant d'être langage, la danse est mouvement. Sa légende nous conduit du geste à la technique, en passant par toutes les formes de mouvements, qu'ils soient spontanés ou codifiés, individuels ou collectifs. Partie prenante avec la musique, l'espace, la lumière, en constante relation avec les autres arts, la danse s'affirme comme un langage multiple : narratif ou abstrait, sensuel ou métaphysique. Marie-Claude Pietragalla nous invite à un parcours où se croisent les grands noms et les grands thèmes, un parcours quasi initiatique vers la figure de " l'homme qui danse ", vers l'essence du mouvement, qui transcende la technique - Poids : 1.180 gr.
En très bon état avec sa jaquette Jaquette illustrée à rabats - Nombreuses photos en couleurs et N/B - Alors qu'elle est une composante essentielle de la vie, la danse est trop souvent perçue de manière caricaturale. Au-delà des idées reçues, Marie-Claude Pietragalla évoque cet art actuellement en plein renouveau à travers son expérience intime de la danse. Avant d'être langage, la danse est mouvement. Sa légende nous conduit du geste à la technique, en passant par toutes les formes de mouvements, qu'ils soient spontanés ou codifiés, individuels ou collectifs. Partie prenante avec la musique, l'espace, la lumière, en constante relation avec les autres arts, la danse s'affirme comme un langage multiple : narratif ou abstrait, sensuel ou métaphysique. Marie-Claude Pietragalla nous invite à un parcours où se croisent les grands noms et les grands thèmes, un parcours quasi initiatique vers la figure de " l'homme qui danse ", vers l'essence du mouvement, qui transcende la technique - Poids : 1.180 gr.
Jean TOTH. 12 gravures. DANSE. Nom des différentes gravures: * Flamenco. * Palais de cristal. * petite balèsine. * l'oiseau bleu. * Tristan Fom. * Divertissement. * Jardin sous la pluie. * Classe de danse. * Lac des cygnes. * Pas de deux classique. * Roméo et Juliette. * Casse noisette. Recueil de 12 gravures sur le thème de la danse (spécialité de l'artiste Jean Toth), dont la première ("Flamenco") en couleur. Chaque gravure est signée et justifiée de la main de l'artiste (tirées à seulement 35 exemplaires), ici, le numéro 16/35, et contient le titre de la gravure au crayon également par l'artiste. Format in-folio (42,7 X 34,5 cm) sous pochette cartonnée et étui cartonné rouges (emboitage). L'exemplaire est enrichi d'une double page en papier Japon avec envoi de l'auteur expliquant sa présence récurrente dans les théâtres pour observer les danseuses et essayer de reproduire au mieux leur gestuelle avec son crayon et sa peinture. Au verso, il a écrit de manière manuscrite la liste des douze titres présents dans ce recueil. L'exemplaire contient sur la page de garde de l'étui cartonné une étiquette contre-collée avec le justificatif manuscrit du tirage et la signature de l'artiste. Très rare. Jean Toth, né en 1899 à Zalaegerszeg en Hongrie et mort en 1972 à Paris en France, est un peintre et dessinateur français d'origine hongroise. À quinze ans, Jean Toth est le meilleur danseur de mazurka de la région, mais sa vocation est de peindre. À 19 ans, il part de Hongrie en passant par la Pologne et vient s'installer après un long voyage à Paris en 1921. Il fréquente alors La Grande-Chaumière dans le quartier du Montparnasse, où il côtoie Antoine Bourdelle et Roger Bissière. Il se rend célèbre dans la première moitié du xxe siècle pour ses dessins et aquarelles dédiés à la danse, qui sera une source d'inspiration durant toute sa vie, notamment pour une série réalisée pour l'Opéra Garnier dans les années 1930. En 1939, il s'engage dans la Légion étrangère et part pour Colomb-Béchar. Démobilisé en 1940, il passe les premières années de guerre à Roanne et revient à Paris en 1943. Après guerre, il continue son activité de peintre de la danse dans son atelier de la rue Vercingétorix et collabore également avec différents artistes, dont le décorateur sur porcelaine Camille Le Tallec. L'ouvre de Jean Toth est présente dans de nombreuses collections françaises et étrangères. L'opéra de Paris lui a acheté près de 250 dessins et peintures pour sa bibliothèque et lui a rendu un hommage post mortem. L'ouvre de Jean Toth est présente dans de nombreuses collections françaises et étrangères. L'opéra de Paris lui a acheté près de 250 dessins et peintures pour sa bibliothèque et lui a rendu un hommage post mortem. Exposition personnelle : 2010 : Hommage à la danse, Galerie Broohead Junker, Deauville. Très bon