Paris, Hubert, MDCCCVI (1806). in-12°. 2 feuillets non chiffrés (faux titre et titre) frontispice hors texte et 6 - 215 pages.demi basane, dos très frotté, pièce de titre rouge,intérieur très frais. Bitting 196 ; Oberle,Fastes 388.
Reference : ARC-113134
Arcala Livres Anciens
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Paris, Hubert et Cie, 1806. In-16, frontispice sur papier vélin avant la lettre par Desrais et 215 pages. Parfait état intérieur. Demi-maroquin rouge d'époque, dos lisse orné avec chiffre en pied. Dos très légèrement frotté.
Ce poème est une réponse à la Gastronomie de Berchoux. Le même Bovinet qui a gravé pour Berchoux un joli frontispice gastronomique, a fait pour ce livre une saisissante gravure d'après un dessin de Desrais, où le spectre d'une victime de Berchoux vient avertir les convives d'une table où l'on festoie. D'après Vicaire, ce frontispice devrait porter la légende suivante: " C'en est fait, j'ai perdu la vie, Hélas si vous pleurez ma mort, Accusez de mon triste sort, L'auteur de la Gastronomie". Ce poème a été fort loué par Guinguené dans le Mercure de France. Oberlé 388, Vicaire 27.
Paris, Hubert, 1806; in-16, bas. rac. de l’époque. 215 pp- Frontispice dessiné par Desrais et gravé par Bovinet. Seconde édition. Les pages 217 à 232 sont un catalogue. Ce poème est une réponse à la Gastronomie de Berchoux. Le même Bovinet qui a gravé en 1803 un joli frontispice pour Berchoux, a fait pour ce pamphlet une saisissante gravure où le spectre d’une victime de Berchoux vient menacer les convives d’une table où l’on festoie. Le poème de Gouviet a été fort loué par Guinguéné dans le Mercure de France. Beaucoup de recueils ont repris l’épisode de la colombe victime des expériences d’un gastronome. Vicaire 27- Bitting 196- Oberlé 288- Cagle 221- Maggs 334- Drexel 143- Horn-Arndt 446. Charnières un peu fendues. Exemplaire de Raymond OLIVER (ex-libris).