Aux Editions Du Raisin Paris 1928 In-8 ( 255 X 170 mm ) de 18 pages, broché sous couverture imprimée rempliée. EDITION ORIGINALE limitée à 400 exemplaires numérotés ( N°152 ), enrichi d'un envoi autographe de l'auteur sur faux titre et du discours prononcé par l'auteur à une inauguration de monument. Bel exemplaire, non rogné.
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Plon, 1929, gr. in-8°, 32 pp, broché, 2e plat de couv. lég. défraîchi, bon état
Par Pierre de Nolhac (1859-1936), qui fut pendant des années conservateur du Musée de Versailles. — "... Le fronton du temple, cette frise où sont sculptés les dieux, c'est le Testament d'un Latin, chant héroïque, péan triomphal, adieu reconnaissant aux beautés du monde, aux trésors de la tradition et du savoir, au génie antique et aux lumières chrétiennes. Lorsque la malade eut – pour quelques jours – abattu ses forces, obscurci son regard, le poète n'accepta point de quitter le monde radieux où il avait vécu dans les joies de l'intelligence, de l'amitié et de la gloire sans avoir fait entendre son chant du cygne. Grâce à Dieu, il lui sera donné d'en écouter longtemps l'écho, et de le reprendre à la saison nouvelle. Je voudrais que ce large et magnifique poème, vous en eussiez la lecture, comme le poète me fit la grâce de l'entendre... Le poète chante l'honneur du sang français dont il est né ; il salue son Auvergne originelle, et la splendeur de la mer latine, telle qu'elle apparut à ses vingt ans. aux rives de la terre sacrée où respirent encore les dieux. « Par ses mille chemins où chante la Sirène », les héros s'élancèrent à la découverte du monde, à la conquête d'Ilion ou de la Toison d'Or. « Des mythes lumineux du matin et du soir » ils firent apparaitre des personnes divines. Mais « au groupe sublime » de l'Olympe « a manqué la Bonté ». II était réservé au vrai Dieu d'en apporter le mystère de salut au monde. La Méditerranée porta les apôtres de la Foi chrétienne comme les héros d'Homère ; elle entendit alors sur ses rives retentir le cri d'agonie du vieux monde : « Le grand Pan est mort ! » Une Rome nouvelle s'élève à l'empire du monde, pour régner, cette fois, dans la Paix, sur des âmes. Aux frontières assiégées des Barbares, « c'est la Gaule qui veille au salut de l'Empire ». La Gaule conquise sut conquérir à son tour les trésors de la sagesse de Rome, « participer à l'âme commune » et s'enrichir ainsi de sa défaite. Aussi le fils des Arvernes, unissant dans cet hommage pieux sa raison et son coeur, renouvelle « son serment de jeunesse à la Rome éternelle ». Mais, s'il salue l'Eglise catholique qui sait rassembler pour son œuvre de paix et d'amour « les maîtres de beauté, les savants et les saints », l'humaniste chrétien demande la permission d'exprimer un suprême regret, un adieu reconnaissant à la sagesse et à la beauté antiques Sa « journée » finira, plus douce et consolée, si c'est à l'ombre de l'Acropole qu'il relit l'Evangile. Les nouveaux barbares, acharnés à cette œuvre de mort, réussiront peutêtre un jour à briser la tradition qui a fait si longtemps la grandeur spirituelle de la France. Ce jour-là pour faire comprendre et sentir à nos enfants déshérités ce que fut la culture classique et de quelle flamme elle éclairait les esprits, il restera, du moins la ressource de leur faite apprendre par cœur le Testament d'un Latin. Puissent les siècles conserver longtemps ce précieux message." (Jean Des Cognets, L'Ouest-Eclair, 16 sept 1929) — "Les dieux latins, ils ont inspiré, on le sait, l'œuvre entière de M. Pierre de Nolhac ; sur ses poèmes surtout, leur clair sourire plane avec le plus de persuasive douceur. “Le Testament d'un Latin” exposait harmonieusement comment l'âme gauloise a reçu l'empreinte de la civilisation méditerranéenne ; il a suscité jusqu'à cinq traductions italiennes." (Le Figaro) — "... Cette inspiration qui résume son oeuvre et son âme, Pierre de Nolhac vient de l'exprimer avec ampleur dans un grave et sobre poème : “Le Testament d'un Latin”. Ce chant d'une épopée, historique et intérieure, déroule l'aventure de l'âme gauloise fécondée par l'âme latine..." (Maurice Levaillant, Le Figaro) — "M. de Nolhac m'apparaît, en effet, comme un des plus authentiques représentants de la tradition du vers doré, de la sentence enchâssée dans un écrin sans défaut. La perfection est ici atteinte sans effort ni recherche, de par la grâce modérée du Celto-Latin retrempé aux sources originelles." (Yves-Gérard Le Dantec, Revue des Deux Mondes)
Plon, 1929, gr. in-8°, 32 pp, broché, bon état, envoi a.s.
Par Pierre de Nolhac (1859-1936), qui fut pendant des années conservateur du Musee de Versailles. — "... Le fronton du temple, cette frise où sont sculptés les dieux, c'est le Testament d'un Latin, chant héroïque, péan triomphal, adieu reconnaissant aux beautés du monde, aux trésors de la tradition et du savoir, au génie antique et aux lumières chrétiennes. Lorsque la malade eut – pour quelques jours – abattu ses forces, obscurci son regard, le poète n'accepta point de quitter le monde radieux où il avait vécu dans les joies de l'intelligence, de l'amitié et de la gloire sans avoir fait entendre son chant du cygne. Grâce à Dieu, il lui sera donné d'en écouter longtemps l'écho, et de le reprendre à la saison nouvelle. Je voudrais que ce large et magnifique poème, vous en eussiez la lecture, comme le poète me fit la grâce de l'entendre... Le poète chante l'honneur du sang français dont il est né ; il salue son Auvergne originelle, et la splendeur de la mer latine, telle qu'elle apparut à ses vingt ans. aux rives de la terre sacrée où respirent encore les dieux. « Par ses mille chemins où chante la Sirène », les héros s'élancèrent à la découverte du monde, à la conquête d'Ilion ou de.la Toison d'Or. « Des mythes lumineux du matin et du soir » ils firent apparaitre des personnes divines. Mais « au groupe sublime » de l'Olympe « a manqué la Bonté ». II était réservé au vrai Dieu d'en apporter le mystère de salut au monde. La Méditerranée porta les apôtres de la Foi chrétienne comme les héros d'Homère ; elle entendit alors sur ses rives retentir le cri d'agonie du vieux monde : « Le grand Pan est mort ! » Une Rome nouvelle s'élève à l'empire du monde, pour régner, cette fois, dans la Paix, sur des âmes. Aux frontières assiégées des Barbares, « c'est la Gaule qui veille au salut de l'Empire ». La Gaule conquise sut conquérir à son tour les trésors de la sagesse de Rome, « participer à l'âme commune » et s'enrichir ainsi de sa défaite. Aussi le fils des Arvernes, unissant dans cet hommage pieux sa raison et son coeur, renouvelle « son serment de jeunesse à la Rome éternelle ». Mais, s'il salue l'Eglise catholique qui sait rassembler pour son œuvre de paix et d'amour « les maîtres de beauté, les savants et les saints », l'humaniste chrétien demande la permission d'exprimer un suprême regret, un adieu reconnaissant à la sagesse et à la beauté antiques Sa « journée » finira, plus douce et consolée, si c'est à l'ombre de l'Acropole qu'il relit l'Evangile. Les nouveaux barbares, acharnés à cette œuvre de mort, réussiront peutêtre un jour à briser la tradition qui a fait si longtemps la grandeur spirituelle de la France. Ce jour-là pour faire comprendre et sentir à nos enfants déshérités ce que fut la culture classique et de quelle flamme elle éclairait les esprits, il restera, du moins la ressource de leur faite apprendre par cœur le Testament d'un Latin. Puissent les siècles conserver longtemps ce précieux message." (Jean Des Cognets, L'Ouest-Eclair, 16 sept 1929) — "Les dieux latins, ils ont inspiré, on le sait, l'œuvre entière de M. Pierre de Nolhac ; sur ses poèmes surtout, leur clair sourire plane avec le plus de persuasive douceur. “Le Testament d'un Latin” exposait harmonieusement comment l'âme gauloise a reçu l'empreinte de la civilisation méditerranéenne ; il a suscité jusqu'à cinq traductions italiennes." (Le Figaro) — "... Cette inspiration qui résume son oeuvre et son âme, Pierre de Nolhac vient de l'exprimer avec ampleur dans un grave et sobre poème : “Le Testament d'un Latin”. Ce chant d'une épopée, historique et intérieure, déroule l'aventure de l'âme gauloise fécondée par l'âme latine..." (Maurice Levaillant, Le Figaro) — "M. de Nolhac m'apparaît, en effet, comme un des plus authentiques représentants de la tradition du vers doré, de la sentence enchâssée dans un écrin sans défaut. La perfection est ici atteinte sans effort ni recherche, de par la grâce modérée du Celto-Latin retrempé aux sources originelles." (Yves-Gérard Le Dantec, Revue des Deux Mondes)
Librairie Plon, Paris, 1929. In-8, broché, exemplaire non coupé, 32 pp. Le testament d'un Latin - Prélude - "Mare nostrum" - La première sagesse - La nouvelle sagesse - La Gaule romaine - Le parchemin - "Roma Aeterna" - Le temple universel - Le potier de l'Acropole - Table des matières. ...
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A Anvers, de l'Imprimerie de Christophe Plantin, 1578.Un volume relié In-folio (25 x 39,5 cm) de (6) ff., 860 pages et 216 pages, (18) ff. Reliure plein veau renforcée grossièrement au dos par du parchemin, dos muet. Reliure salie, coins abimés, derniers feuillets salis et dernière page déchirée et effrangée. Etat moyen.Première édition complète de la Bible de Louvain, elle est ornée de 14 gravures sur bois dans le texte dont 3 à pleine page ; elle porte également la marque de l'imprimeur au titre et au dernier feuillet. Le Nouveau Testament est suivi de "l'Estat des Juifs sous la monarchie des Romains.
La Bible de Louvain est une traduction de la Bible produite à partir des textes en hébreu, araméen et grec publiée en français en 1550.Après avoir commissionné une traduction plus correcte que la Vulgate aux docteurs de Louvain, Charles Quint leur demande de produire des traductions française et néerlandaise. Nicolas van Winghe traduit lédition néerlandaise publiée en 1548. Nicolas de Leuze, se fondant sur les travaux de Jacques Lefèvre dÉtaples et Pierre Robert Olivétan, ainsi que sur l'édition latine de la Vulgate par Henten (1547), traduit lédition française publiée en 1550. Les deux traductions sont toutes les deux imprimées chez Barthélemy de Grave à Louvain.« En dépit d'une confusion fort répandue, la Bible louvaniste de 1550 n'est pas celle qui devint célèbre à la fin du siècle et le resta tout au cours du XVIIe siècle. La version connue sous le nom de Louvain parut à Anvers en 1578 ; elle suivait d'assez près la version française que René Benoist avait publiée à Paris en 1565. ».Pierre-Maurice Bogaert et Jean-François Gilmont, « La première Bible française de Louvain (1550) », Revue Théologique de Louvain, vol. 11, no 3, 1980, (p. 275-309).
Samuel Bagster & Sons Ltd. - C. J. Stewart. 1857-1879. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 32 pages + paginé de 1019 à 1070. Texte sur 2 colonnes, sur feuillets dépliables. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque.. . . . Classification Dewey : 480-Langues helléniques. Grec
Edited from Ancient Authorities, with their Various Readings in full, and the Latin Version of Jerome. By Samuel PRIDEAUX TREGELLES. Classification Dewey : 480-Langues helléniques. Grec