Gallimard - NRF "Le Point Du Jour" Paris 1952 In-8 carré ( 195 X 140 mm ) de 317 pages, broché sous couverture illustrée. Edition originale ( 31 juillet 1952 ), avec fausse mention d'édition sur la page de titre. Bon exemplaire. Entretiens d'André Breton avec André Parinaud et Arban, Bédouin, Bélance, Chonez, Demarne, Duché, Dumont, Ford, Patri et Valverbe. Index des noms cités in fine.
Reference : 864718
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État : Bon état - Année : 1968 - Format : in 8° - Pages : 343pp - Editeur : La Table Ronde - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Plis de lecture au dos. Coins des plats de couv un peu cornés. Intérieur bien propre (seulement deux traits et un mot manuscrits en marge de trois pages). - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/georges-bidault/8230-le-point-entretiens-avec-guy-ribeaud?lrb
Georges Bidault fait avec beaucoup de précision un bilan pour la France des dix années qui ont suivi le 13 mai 1958 pour finir par une appréciation de la situation en mai 1968. Il mesure ainsi la décadence qui, contrairement aux intentions du général De Gaulle, a entrainé la France dans une révolution libertaire et individualiste en totale contradiction avec la ˮrévolutionˮ d'Alger. Encore en exil, Georges Bidault, qui a recrée le Conseil National de la Résistance pour lutter contre l'abandon de l'Algérie livré au main du F.L.N. et de la Révolution mondiale, montre qu'il a conservé toute sa lucidité et le discourt tenu est encore aujourd'hui d'une certaine actualité notamment ses propos sur la civilisation chrétienne et le tiers-monde.
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[Expansion Scientifique Française] - LAROCHE, Prof. Guy (dir.) ; JUISTIN-Besançon, Prof. L. (dir.)
Reference : 47726
(1981)
18 vol. cartonnage in-4 éditeur bordeaux, Expansion Scientifique Française, 1964 à 1981, env. 290-300 pp. par vol.. Rappel du titre complet : Les entretiens de Bichat , Pitié-Salpétrière - Thérapeutique ( lot de 18 années continues, de 1964 à 1981 ) : 1964 ; 1965 ; 1966 ; 1967 ; 1968 ; 1969 ; 1970 ; 1971 ; 1972 ; 1973 ; 1974 ; 1975 ; 1976 ; 1977 ; 1978 ; 1979 ; 1980 ; 1981.
Etat très satisfaisant (des coiffes émoussées, petit mque en queue pour 1972, bon état par ailleurs, avec intérieurs bien frais) pour cette série des "Entretiens de Thérapeutique", qui vienne en complément des "Entretiens de Bichat" ("Bichat Pitié-Salpétrière" à partir de 1975). Les entretiens de Bichat furent fondés en 1947 par les professeurs Guy Laroche et Louis Justin-Besançon, selon une formule nouvelle pour l'époque : une succession rapide d'exposés grefs, incitant au colloque avec l'auditoire, et offrant aux praticiens l'occasion d'échanger avec les chefs de service des hôpitaux de Paris. dans le cadre des entretiens de Bichat, une section de thérapeutique a constamment existé. Mais, en 1954, à la demande des médecins inscrits aux entretiens, et qui souhaitait davantage de conférences, les organisateurs publièrent par ailleurs, et spécifiquement, des "Entretiens de Thérapeutique". Publiés d'abord dans la Semaine, dont ils gardaient le format et la présentation, ces derniers faisaient ensuite l'objet d'un débat public lors des Entretiens de Bichat. Ensemble peu courant. Prix pour l'ensemble. Linéraire : 32 cm. Poids de 18 Kg
A.LA Fée: entretiens sur la botanique : faux-titre, titre, 191 pages, 60 figures en 2 planches dépliantes F.G Levrault 1835. Suivis de A.L Fée entretiens sur la zoologie. Aux-titre, titre, 152 pages, 30 figures en 2 planches dépliantes. F. G. Levrault 1836. Suivis de A.M CHAMBENRON entretiens sur l’hygiène. Faux-titre, titre, 166 pages F.G Levrault. En un volume in 12 demi-cuir vert, pièces de titre cuir noir, filets, roulette dorés, filets à froid. Tranches marbrées. Très bon état.
Pierre Le Petit / Sébastien Mabre-Cramoisy 18,5 x 25,5 Paris 1666 Un volume in-4, 1666 et 1672, reliure plein veau glacé de l'époque, dos à cinq nerfs, compartiments encadrés de filets dorés et ornés de fleurons et de petits fers dorés, pièce de titre de maroquin rouge, titre et tomaison dorés, tranches rouges, roulette dorée sur les coupes, gardes marbrées, regroupant les deux premiers volumes des "Entretiens" de Félibien, parus successivement en 1666 et 1672. Rare édition originale. I. Premier et deuxième entretiens, chez Pierre le Petit, Paris, 1666, [2] ff. bl., titre et dédicace à Monseigneur Colbert, chevalier baron de Seignelay, contrôleur général des finances, surintendant & ordonnateur général des bâtiments, arts & manufactures de France (14] pp. (signatures : a4, e4, 14, o2), 323-[11] pp. (table et privilège), erreur de pagination pp.159-160 sans conséquence. II. Troisième et quatrième entretiens, chez Sébastien Mabre-Cramoisy, Paris, 1672, titre avec marque d'imprimeur à la cigogne, 409-[9], [2] ff. bl., erreur de pagination p. 184, paginée 148. Les "Entretiens" ont été publiés séparément à cinq dates différentes : A la première et à la seconde partie que représentent nos deux éditions originales de 1666 et 1672, succédèrent les parties suivantes en 1679 chez Jean-Baptiste Coignard, en 1685 et 1688 chez Mabre-Cramoisy. En 1666, Colbert (1619-1683) a succédé à Fouquet et Félibien venait d'être nommé "Historiographe du Roi et de ses Bâtiments, des Arts et Manufactures de France". Les "Entretiens" de Félibien représentent une étape importante de l'histoire de l'art. Ils sont à la France classique du XVIIe siècle ce qu'ont été les "Vies" de Vasari pour la peinture italienne au XVIe siècle. Félibien dans sa préface rappelle l'influence de son séjour à Rome (1647-1649) et la figure tutélaire de Poussin (1594-1665). L'ouvrage prend la forme d'un dialogue pédagogique entre Félibien et Pymandre, dans la tradition du dialogue antique, où se mêlent des considérations sur l'art, sur l'architecture et l'histoire de la peinture et des peintres, avec en arrière- plan les grands travaux du règne de Louis XIV, au Louvre, aux Tuileries ou à Versailles. Absence de la coiffe supérieure, frottement en queue, mors légèrement fendu en tête sur un cm, frottements sur les plats, coupes abimées en tête, coins usés, pages plus ou moins roussies (Première partie : pp. 65-80, 215-222. Deuxième partie : pp. 49-104, 113-136, 249-256, 265-272). Rare. Ex-libris étiquette gravée au nom de "Mr. Le Quien de La Neufville", famille dacquoise au XVII et XVIIIe, qui compta parmi ses membres le dernier évêque de Dax (Landes) de l'ancien régime et un peintre au XIXe siècle, Charles Le Quien de La Neufville (1806-1892).(BeauB41)
Paris Antoine de Sommaville 1660 In-12° (146 x 87 mm), [34] pp. - 227 pp. ( 8 é4 i8 A-T4 alternant 8), veau brun, dos à quatre nerfs ornés, encadrements d'un filet sur les plats, tranches à mouchetures rouges et brunes (reliure de l'époque)
Rarissime contrefaçon de l'édition originale de cet ouvrage « image d'une sagesse mondaine et d'une vertu souriante » Vraisemblable contrefaçon de l'édition originale, à la même adresse et à la même date, le fleuron au titre portant en son sein la mention « sur l'imprimé ». Sans achevé d'imprimer, elle contient toutes les pièces liminaires de l'édition originale, avec l'erratum intégré à l'Explication à l'instar de la variante B décrite par René Harmand (Entretiens Solitaires, p. v). Cette édition n'est pas documentée dans la bibliographie établie par ce dernier dans son introductions aux Entretiens Solitaires (1912). On connaît un exemplaire numérisé en 1990 (dont on n'a pas pu retrouver la source imprimée), identique sinon qu'il porte la date de 1664. Il conviendrait d'approfondir les recherches sur cet exemplaire pour le replacer avec plus d'exactitude. Ce recueil de 28 méditations poétiques est considéré comme l'une des oeuvres les plus originales et les plus complexes de l'auteur. Les Entretiens solitaires, composés sur une période de 4 ans dans un état de maladie (« Advertissement », p. 1), empruntent à la fois à l'effusion mystique et à la veine confessionnelle, et Brébeuf, mêlant le divin à l'humain, y esquisse « l'image d'une sagesse mondaine et d'une vertu souriante » (p. 264). Descendant d'une famille de la noblesse normande, Georges de Brébeuf (1617?-1661) se fait connaître à Paris pour sa traduction libre de la Pharsale de Lucain, et compose tour à tour poésies précieuses et vers burlesques. En dépit d'une santé médiocre (il fut la proie de fièvres violentes et douloureuses pendant la moitié de sa vie), il publia jusqu'à sa mort, en septembre 1661. Si ses premières uvres avaient été offertes à Fouquet, il dédia ses publications de 1660 au cardinal Mazarin. Après avoir écrit un court Panégyrique de la Paix, il vint loger chez son jeune frère, curé de la paroisse de Venoix, près de Caen, où il put, « Loin du monde et du bruit, goûter l'ombre et le frais », tout en disant adieu aux frivoles et mondaines pensées afin de chercher le bonheur dans la méditation et la contemplation de la nature (posture classique du poète dans ce genre de recueil). De cette retraite naquirent donc les Entretiens solitaires, ou Prières et méditations pieuses en vers françois, qui, dédiés au cardinal-ministre, s'ouvraient sur une longue épître dédicatoire au prélat, comptant pas moins de 24 pages. (Nicolas Ducimetière, Mélanges tires d'une petite bibliothèque (1) petit cadeau pour le cardinal Jules, 22/11/2015) Selon René Harmand c'est dans les Entretiens solitaires et Éloges poétiques (1661) que Brébeuf « montre le plus de qualités personnelles ; c'est pour lui l'époque de la maturité, et si nous retrouvons dans ces poèmes les défauts déjà signalés, un goût trop marqué pour l'emphase, l'hyperbole, l'antithèse, jamais son inspiration n'a été plus forte, sa phrase plus vigoureuse, plus pleine et plus sonore, son vers mieux rythmé. » (p. 224) Bibliographie : - HARMAND, René. Essai sur la vie et l'oeuvre de Geogres de Brébeuf. Paris : Société française d'imprimerie et de librairie. 1897. - le même, "Introduction" pour Entretiens Solitaires. Paris : classiques Garnier, 1912. PROVENANCE : Famille Sermage (Haute-Saône) 1. François Sermage (Gy : 1629 - Gy : 1720), mention manuscrite à l'encre brune sur la page de titre : « à François Sermage ». Avocat en parlement. 2. Marie-Françoise Sermage (Gy : dates inconnues), mention manuscrite à l'encre brune au dos de la dernière page : « ce livre appartien a moy Marie Francoyse Sermage de Gevingny ». Fille de François Sermage, elle épouse en secondes noces Pierre François de Gevign(e)y en 1712. Coiffe supérieure manquante, coins frottés voire rognés. Pâles mouillures marginales à plusieurs feuillets.