Arma Artis Paris 1985 In-8 ( 240 X 165 mm ) de 448 pages, broché sous couverture imprimée. EDITION à tirage limité. Très bel exemplaire à l'état de neuf. +++Synopsis:Dans la mission de Jeanne d'Arc est-il vrai que le sentiment national ait absorbé l'idéal religieux ? Le roi que, guidée par l'Église, elle cherche depuis son, enfance est-il seulement le roi de France ? N'est-il pas ausi le Roi Très Chrétien, l'oint du Seigneur, la figure du Christ ? Quand on parle du « sacrement de l'onction », n'est-ce pas en souvenir du temps où il pouvait être considéré comme la confirmation des rois ? La religion royale : La Double Monarchie : En théorie la fédération franco-britannique que crée le traité de Troyes respecte la souveraineté des deux pays. En fait leur souverain commun ne résidera-t-il pas en France et ne deviendra-t-il pas Français ? Le traité est ratifié par les États Généraux, mais il lui manque la consécration religieuse qui crée la, légitimité de l'autorité royale. La religion, royale et la mission de Jeanne d'Arc : Par réaction contre la suprématie pontificale du treizième siècle, le pouvoir royal tend à se laïciser. Cependant en Lorraine se perpétue la tradition carolingienne, d'après laquelle le roi des Francs tient son pouvoir de l'onction faite avec le baume de la Sainte Ampoule, c'est-à-dire qu'il le tient de Dieu lui-même. En ce cas comment admettre que le pouvoir, la direction de l'État, se transmette comme un-bien réel, ainsi que le prévoit le traité de Troyes ? Le Roi Très Chrétien : Dès 1089 Urbain VI déclare que « saint Rémi a institué Clovis Roi Très Chrétien ». Ce titre est conféré par l'onction miraculeuse dont le roi des Francs a le privilège. Là est l'origine de la religion royale, suivant le terme qu'emploie Jean Golein, carme de l'entourage de Charles V. La doctrine de la légitimité se fonde sur la tradition, ininterrompue de l'onction royale, dont l'origine remonte à la royauté juive. La royauté judéo-chrétienne sur la façade de la cathédrale de Reims. L'onction royale : Le roi figure du Christ : On trouve l'onction royale dans les trois groupes de sociétés humaines : celui du Pacifique et de l'Amérique, celui de l'Inde où n'apparaît encore qu'un rite de lustration, et enfin celui de la Babylonie, de l'Egypte et d'Israël, où se manifeste l'idée de la consécraion. Chez les Hébreux l'onction donne lieu à un rite collectif, dont l'existence est prouvée par l'emploi constant du pluriel. Le contact établi par le Masah crée une communion grâce à laquelle peut naître cette famille spirituelle qui est l'essence même de la royauté. Le Roi qui a reçu l'onction est la figure du Christ, du Messie. L'autocratie antique et la royauté chrétienne : L'État antique n'a au-dessus de lui aucune autorité capable de le retenir sur la pente de la tyrannie. Peut-il être fondé uniquement sur le respect de la justice ? Quel sera son frein ? L'histoire de l'Empire est celle de la lutte entre le Sénat qui a l'autorité et l'empereur qui a la force. C'est l'armée qui fait l'empereur. Avec le christianisme on voit apparaître le sentiment du loyalisme, où l'adhésion personnelle au souverain est subordonne à la loi morale qu'il doit incarner. La royauté juive prend un sens universel. « Jésus-Christ, dit saint Jean, nous a faits rois et prêtres de Dieu son Père.» « Le mystère du Christ, dit saint Paul, c'est que les nations sont co-héritières, qu'elles sont membres du même corps et qu'elles participent à la même promesses de Dieu. » Saint Augustin et la doctrine du corps mystique du Christ. A l'ordre matériel de la cité antique la société chrétienne veut substituer l'ordre moral sous forme de concorde et d'unanimité. « Nous pouvons fort bien, dit saint Augustin, appeler des christs tous ceux qui ont été oints du saint chrême, et qui tous avec leur chef ne sont qu'un même Christ.» La royauté chrétienne avant la restauration de l'onction royale : Le couronnement est un legs des monarchies iraniennes à l'empire d'Orient. La restauration de l'onction royale ne semble pas être l'oeuvre des Celtes de Grande Bretagne. Saint Gildas. .Saint Columba. La royauté germanique. Le Geblütsrecht. Le roi porte le no
Reference : 711487
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Arma Artis Paris 1985 In-8 ( 240 X 165 mm ) de 448 pages, broché sous couverture imprimée. EDITION à tirage limité. Très bel exemplaire à l'état de neuf. +++Synopsis:Dans la mission de Jeanne d'Arc est-il vrai que le sentiment national ait absorbé l'idéal religieux ? Le roi que, guidée par l'Église, elle cherche depuis son, enfance est-il seulement le roi de France ? N'est-il pas aussi le Roi Très Chrétien, l'oint du Seigneur, la figure du Christ ? Quand on parle du « sacrement de l'onction », n'est-ce pas en souvenir du temps où il pouvait être considéré comme la confirmation des rois ? La religion royale : La Double Monarchie : En théorie la fédération franco-britannique que crée le traité de Troyes respecte la souveraineté des deux pays. En fait leur souverain commun ne résidera-t-il pas en France et ne deviendra-t-il pas Français ? Le traité est ratifié par les États Généraux, mais il lui manque la consécration religieuse qui crée la, légitimité de l'autorité royale. La religion, royale et la mission de Jeanne d'Arc : Par réaction contre la suprématie pontificale du treizième siècle, le pouvoir royal tend à se laïciser. Cependant en Lorraine se perpétue la tradition carolingienne, d'après laquelle le roi des Francs tient son pouvoir de l'onction faite avec le baume de la Sainte Ampoule, c'est-à-dire qu'il le tient de Dieu lui-même. En ce cas comment admettre que le pouvoir, la direction de l'État, se transmette comme un-bien réel, ainsi que le prévoit le traité de Troyes ? Le Roi Très Chrétien : Dès 1089 Urbain VI déclare que « saint Rémi a institué Clovis Roi Très Chrétien ». Ce titre est conféré par l'onction miraculeuse dont le roi des Francs a le privilège. Là est l'origine de la religion royale, suivant le terme qu'emploie Jean Golein, carme de l'entourage de Charles V. La doctrine de la légitimité se fonde sur la tradition, ininterrompue de l'onction royale, dont l'origine remonte à la royauté juive. La royauté judéo-chrétienne sur la façade de la cathédrale de Reims. L'onction royale : Le roi figure du Christ : On trouve l'onction royale dans les trois groupes de sociétés humaines : celui du Pacifique et de l'Amérique, celui de l'Inde où n'apparaît encore qu'un rite de lustration, et enfin celui de la Babylonie, de l'Egypte et d'Israël, où se manifeste l'idée de la consécraion. Chez les Hébreux l'onction donne lieu à un rite collectif, dont l'existence est prouvée par l'emploi constant du pluriel. Le contact établi par le Masah crée une communion grâce à laquelle peut naître cette famille spirituelle qui est l'essence même de la royauté. Le Roi qui a reçu l'onction est la figure du Christ, du Messie. L'autocratie antique et la royauté chrétienne : L'État antique n'a au-dessus de lui aucune autorité capable de le retenir sur la pente de la tyrannie. Peut-il être fondé uniquement sur le respect de la justice ? Quel sera son frein ? L'histoire de l'Empire est celle de la lutte entre le Sénat qui a l'autorité et l'empereur qui a la force. C'est l'armée qui fait l'empereur. Avec le christianisme on voit apparaître le sentiment du loyalisme, où l'adhésion personnelle au souverain est subordonne à la loi morale qu'il doit incarner. La royauté juive prend un sens universel. « Jésus-Christ, dit saint Jean, nous a faits rois et prêtres de Dieu son Père.» « Le mystère du Christ, dit saint Paul, c'est que les nations sont co-héritières, qu'elles sont membres du même corps et qu'elles participent à la même promesses de Dieu. » Saint Augustin et la doctrine du corps mystique du Christ. A l'ordre matériel de la cité antique la société chrétienne veut substituer l'ordre moral sous forme de concorde et d'unanimité. « Nous pouvons fort bien, dit saint Augustin, appeler des christs tous ceux qui ont été oints du saint chrême, et qui tous avec leur chef ne sont qu'un même Christ.» La royauté chrétienne avant la restauration de l'onction royale : Le couronnement est un legs des monarchies iraniennes à l'empire d'Orient. La restauration de l'onction royale ne semble pas être l'oeuvre des Celtes de Grande Bretagne. Saint Gildas. .Saint Columba. La royauté germanique. Le Geblütsrecht.
AU BUREAU DE LA REVUE. AOUT-OCT 1958. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 336.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue mensuelle de culture individuelle et de rénovation sociale. Sommaire : Libres Entretiens..« Dieu » contre « le Roi très chrétien », par Areithoos.La Roue du Destin, par Marcel Carret Une loge de proscrits (post scriptum), par Jean Bossu.La Libre Pensée Internationale, par L. BordeQue faut-il penser des guérisons de Lourdes ? .Le « bon vieux temps », par Jean Bossu . Examen du Christianisme, par S. PricintL’Homme sur qui tu peux compter, par Jean Souvenance« La Sueur du burnous » (documents) Comment le Christianisme favorisa Vesclavage des nègres« Le Second Métier », par A. L.La Pensée et les Hommes, par L. Borde .A propos du « symbolisme » maçonnique ..Revue critique .. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Publications Historiques. Janvier 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 67 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : 1989 : un nouveau visage par Philippe Boitel, Rabah le soudanais, un musulman de choc par Marie Lazaridis, Le roi très chrétien dit non aux pèlerinages par Elisabeth Belmas, Notre Dame de Guadalupe, reine du Mexique par Eric Jauffret, Marie Madeleine était présente par Agnès Lacau St Guily Classification Dewey : 200-RELIGION
Pampelune Jaques Lenclume [adresse fictive] 1701 Petit in-12, reliure postérieure plein maroquin rouge à l'identique, dos à nerfs orné, plats à encadrement de triples filets, filets en coupe, dentelles intérieures, tranches dorées, [2ff.] blancs, frontispice, 228 pages dont page de titre, [1] planche et [5pp.] d'avis au lecteur, [2ff.] blancs. Très bel exemplaire.
Edition très rare. Le roi d'Espagne Charles II (1661-1700) mourut sans descendance et laissa un testament faisant du duc d'Anjou l'héritier unique des Espagnes à condition de ne pas diviser l'héritage. Louis XIV accepta ce testament au détriment du traité de partage de mars 1700 conclu entre la France, l'Angleterre et les Provinces-Unies. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
O.E.I.L., 1990, in-4 broché, jaquette, 172 pp illustrations in et hors-texte. TRES BON ETAT.