Urbain Canel, Libraire - Dupont Et Roret, Libraires Paris 1826 In-12 ( 160 X 100 mm ) de 191 pages, plein veau vert, dos à nerfs orné de filets dorés et à froid, palettes dorées, fleurons à froid, plats ornés d'une grande rosace à froid, d'un filet doré et de roulettes d'encadrement dorées et à froid, coupes et coiffes filetées d'or, tranches dorées, dentelle intérieure dorée ( Reliure de l'époque ). Seconde Edition. Quelques rousseurs, très bel exemplaire, magnifique spécimen de reliure romantique.
Reference : 634964
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Paris, Urbain Canel & Ambroise Dupont et Roret, 1826, 13,5 x 21,5, 176 pages sous percaline bleue ornée de dentelles d'encadrement aux plats, - dos lisse titré doré ; gardes blanches avec ex-libris d'Henry Edouard Weber.
Reliure usagée. Rousseurs.
Paris, Urbain Canel, 1826. In-8°, 178p. Reliure cartonnée couverte de papier fantaisie, pièce de titre rouge au dos.
Edition originale fort rare. Mouillure claire en tête, sinon bel exemplaire. [Carteret I, 340].
Paris Urbain Canel, Ambroise Dupont et Roret 1826 1 vol. relié in-8, demi-basane rouge, dos lisse orné de triples filets dorés, couvertures conservées, 177 pp. Edition originale à la date de 1826 (Vicaire, Carteret et Talvart, qui n'ont pas vu d'exemplaire, indiquent par erreur 1825 comme date de l'originale, sur la foi de l'annonce de parution de la Bibliographie de la France du 17 décembre 1825). Petites rousseurs dans les derniers feuillets et restauration angulaire à la couverture, sinon exemplaire bien établi dans une reliure postérieure.
Paris Urbain Canel 1826 6 vol. broché in-8, broché, 177 pp. Edition originale ornée de jolis culs-de-lampe. Infimes fentes au dos, sinon bel exemplaire dans sa brochure d'origine.
Beaune, Imprimerie de Blondeau-Dejussieu, 1834. In-8 broché de 16 pp.
Opuscule poétique dont nous n'avons pas trouvé de trace. D'après le Ccfr, le poète, dans la détresse, aurait publié deux autres recueils : La Soeur de la charité, tableau d'un hôpital par un voyageur homme de lettres, qui connut trois éditions : Bordeaux, Marseille et Orléans, 1826, In-8 de 16 pp., puis, Dialogue entre un jeune garde national et son ami, par un voyageur homme de lettres, Grenoble, sans date, In-8 de 7 pp.Une lettre autographe signée, demandant des secours, est jointe, 1 page in-8 : Monsieur, Permettez-moi de vous présenter l'hommage de deux opuscules dont je suis l'auteur et si vous daignez l'accueillir, d'en appeler à votre humanité de ma pénible et triste situation. La maladie de la pierre qui m'afflige depuis dix ans a causé ma ruine entière en me forçant d'abandonner ma profession de chef d'institution et de renoncer à toute occupation sédentaire. Une affection nerveuse qui me rend un objet de pitié pour ceux qui m'en voient attaqué me condamne à la nullité la plus désolante par les tremblements qu'elle me cause et les interruptions fréquentes qu'elle apporte dans mon travail. J'ai la vue péniblement affectée, et suis souvent obligé d'avoir recours à une main étrangère pour transcrire mes idées. Par surcroît de malheur je viens de perdre ma femme dont le talent et l'activité suppléaient à l'insuffisance de mes moyens d'existence et cette perte nous a plongés ma famille et moi dans une détresse que je me vois obligé de consacrer ces ouvrages au soulagement de nos besoins et si vous daigniez y compatir, ma juste reconnaissance égalera le profond respect avec lequel j'ai l'honneur d'être, Moinard, sorti de l'hôpital de Macon, 1834 ».