1823 Lyon, 1823, 396 p., reliure bradel d'origine, environ 22x13cm, cartonnage frotté, intérieur propre.
Reference : 92753
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Lyon, Garnier, Reymann (Imprimerie de Ballanche père et fils), 1806 ; in-8, demi-veau et petits coins de parchemin, dos à nerfs décoré de filets dorés, pièce de titre rouge, tranches jaspées (reliure de l’époque) ; XVI, 341, [3] pp.
Edition originale, envoi autographe signé “à son bon ami le Docteur Martin le jeune”. Né à Lyon, Marc-Antoine Petit étudie la chirurgie avec Honoré Pointe. Sujet vif et brillant, il sera, à 22 ans, le premier chirurgien major de l’Hôtel-Dieu, il succède au chirurgien Jean Vincent Roy, spécialiste de l’opération de la cataracte, mais ne peut prendre son poste que cinq ans plus tard. Il monte à Paris, se former auprès de Pierre-Joseph Desault, fondateur de la première clinique chirurgicale en France, puis à la faculté de médecine de Montpellier où il obtient son doctorat. En 1795, il inaugure l’entrée de l’enseignement médico-chirurgical à l’Hôtel-Dieu de Lyon et y occupe la chaire de chirurgie clinique et s’y consacrera jusqu’à sa mort prématurée en 1811. Les dédicaces manuscrites de Marc-Antoine Petit sont plutôt rares.
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Lyon Imprimerie de Ballanche ; se vend chez Garnier, Reymann 1806 in-8 demi-basane blonde, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre verte [Rel. de l'époque]
3 ff.n.ch., pp. ix-xvj, 341 pp., 3 pp.n.ch. de table des matières.Edition originale. Né à Lyon, Marc-Antoine Petit étudie la chirurgie avec Honoré Pointe. Sujet vif et brillant, il fut, à 22 ans, le premier chirurgien major de l’Hôtel-Dieu, et succéda au chirurgien Jean Vincent Roy, spécialiste de l’opération de la cataracte, mais ne put prendre son poste que cinq ans plus tard. Il monta à Paris, se forma auprès de Pierre-Joseph Desault, fondateur de la première clinique chirurgicale en France, puis à la faculté de médecine de Montpellier où il obtint son doctorat. En 1795, il inaugura l’entrée de l’enseignement médico-chirurgical à l’Hôtel-Dieu de Lyon et y occupa la chaire de chirurgie clinique jusqu’à sa mort prématurée en 1811.Relié avec sept autres opuscules médicaux :I. BRESSY (Joseph). Du Suétudisme, ou Puissance de l'habitude. Paris, Rousseau, Dabin, an XI-1803, 28 pp. - II. ROYER (Pierre-François-Joseph et L.). Bienfaisance médicale rurale, ou Institution d'environ cent mille hospices à domicile ou dispensaires ruraux, faciles à desservir, d'après les nouveaux moyens, soit administratifs, soit relatifs à l'art, découverts par l'auteur (...). Troyes, Imprimerie de Vve André-Lefebvre, et Bouquot fils, 1814, titre, 12 pp. . Un seul exemplaire au CCF (BnF). - III. VAUME (Jean-Sébastien). Les Dangers de la vaccine, démontrés sur des faits authentiques, consignés dans quelques mémoires, et dans différentes lettres adressées au Comité médical et central établi à Paris, pour faire des épreuves sur ce nouveau genre d'inoculation. Paris, Petit, germinal an IX [avril 1801], 2 ff.n.ch., pp. 5-48. - IV. VAUME. Nouvelles preuves des dangers de la vaccine, pour servir de supplément et de conclusion à tout ce qui a été publié contre ce nouveau genre d'inoculation. Paris, Petit, prairial an IX [juin 1801], 16 pp. - V. CHEVALLIER (Jean-Gabriel-Auguste). De l'Usage des lunettes. Extrait du Conservateur de la vue. Paris, chez l'auteur, s.d. [1814], 2 ff.n.ch., iv pp., 132 pp. Edition originale séparée (il y a une seconde édition à la date de 1816). Jean-Gabriel-Auguste Chevallier (1778–1848), ingénieur-opticien près du Prince de Condé et fabricant d'instruments, avait publié en 1810 la première édition de son ouvrage Le Conservateur de la vue, d'où sont extraits ces conseils à destination des porteurs de verres, et, en 1818, il commettra aussi un Essai sur l’art de l’ingénieur. Un cabinet d'optique à son enseigne existe encore rue des Pyramides, à Paris. Chevallier était Vénérable de la loge des Admirateurs de l'Univers. - VI. MARQUAIS (Jean-Théodore). Réponse au discours de M. le professeur Hallé, prononcé dans la séance publique de la Faculté de médecine de Paris, le 4 novembre 1815, et aux mémoires publiés et distribués par cette Faculté, sur l'importance de conserver la réunion de toutes les parties de l'art de guérir. Paris, chez l'auteur, Demonville, 1816, titre, 41 pp. - VII. LECOEUR (Jean). Essai sur l'ivrognerie. Paris-Strasbourg, Levrault frères, an XI, 63 pp., manque le faux-titre