Editions du Livre, Monte-Carlo, 1952, 265 p., broché sous emboitage, environ 23x17cm, illustrations de Dubout, bon état.
Reference : 92159
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1976 1976. Marcel Pagnol: Topaze/ Presses Pocket 1976 . Marcel Pagnol: Topaze/ Presses Pocket 1976
Etat correct
Bravo. 1930. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Agraffes rouillées, Papier jauni. 41 pages. Couverture partiellement désolidarisée. Nombreuses rousseurs. Déchirures. Nombreuses illustrations en noir et blanc, in et hors texte. Nombreuses publicités illustrées en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire: Les propos de Jules Romains ""Topaze""- Les affiches- Marcel Pagnol vu par Becan- Histoire véridique de 'Topaze"" par Marcel Pagnol- Quand Marcel Pagnol était au lycée de Marseille par Marcel Gras- Les guilandes de ""Topaze"" par Pierre Lazareff et Renard de Gabrielli- La classe de M. Topaze- Les mois dramatiques par Robert Kemp- etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Pocket 1978 273 pages 17 8x10 7x1 3cm. 1978. Poche. 273 pages. Poche - 272 pages Résumé : Instituteur à la pension Muche Topaze minable répétiteur incapable de tricher sur les notes de riches cancres est licencié. Réduit au chômage il donne des leçons particulières au neveu de Suzy Courtois une demi-mondaine... Il va alors prendre conscience de la vanité de sa mission éducative et devenir une fripouille cynique
"MERCI DE LIRE L 'ANNONCE JUSQU'A LA FIN" French édition - Le livre présente des marques de stockage et de lecture sur la couverture et les pourtours mais du reste en état correct d'ensemble. Expédition soignée dans un emballage adapté depuis l
Paris, Fasquelle, (20 mai) 1930. 1 vol. (160 x 225 mm) de 284 p. et [2] f. Demi-maroquin vert anglais à coins, titre doré, tête dorée, date en pied, non rogné, couvertures et dos conservés. Édition originale. Un des 75 premiers exemplaires sur japon impérial (n° 43).
« En 1927, le Théâtre des Arts (...) jouait toujours ma seconde pièce, Jazz, et le Theater Guild, de New York, venait d'acheter les droits des Marchands de gloire. J'avais devant moi un capital qui représentait cinq ans d'enseignement à Condorcet. Je demandai donc un congé qui me fut accordé, je décidai de vivre en ermite, et de travailler dix heures par jour pour le théâtre : c'était le moment ou jamais. » C'est dans ces conditions favorables que Pagnol, abandonnant son poste de professeur d'anglais, écrivit Topaze, instituteur pur et savant entraîné sans y rien comprendre dans de louches combinaisons auxquelles il finira par prendre part. « On dit parfois que le personnage de Topaze m'avait été inspiré par mon père, écrit Pagnol dans sa préface. Ce n'est pas tout à fait vrai. En réalité, je l'ai inventé, d'après les conversations que j'ai entendues dans mon enfance entre mon père et ses amis. » Pagnol trouvera ensuite son plus solide promoteur en la personne d'André Antoine, qui l'adressa à Max Maurey, le directeur du Théâtre des Variétés où la pièce, montée le 9 octobre 1928, triomphe. Pagnol, qui avait auparavant adressé son manuscrit à plusieurs directeurs de théâtre sur les conseils de M. Compère, directeur d'une entreprise de copie, eut le luxe, qui n'en fut pas moins un dilemme, de devoir choisir parmi eux, puisque tous voulaient sa pièce. En homme de théâtre avisé qu'il était, Antoine trancha pour lui. Ce n'est que vingt ans plus tard que Pagnol signa lui-même l'adaptation de sa pièce au cinéma.