Gallimard, 1969, 1 volume de 125x200 mm environ, 180 pages, broché. Exemplaire N° 125, un des 105 sur vélin pur fil Lafuma-Navarre numérotés de 36 à 140. Très bon état.
Reference : 84619
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Librairie Diogène
Mme Claire Dulac
29 rue saint jean
69005 Lyon
France
33 04 78 42 29 41
Les ouvrages sont payables à la commande. Nous acceptons les règlements par chèque, virement, ou carte bancaire. Les paiements doivent être effectués en euros. En raison des frais bancaires, les paiements en devises étrangères seront majorés d'une somme de 25 euros. Les frais de port et d'assurance sont à la charge de l'acheteur. En cas d'envoi simple, sans suivi ni assurance, c'est l'acheteur qui est responsable. Une estimation des frais de port peut être faite sur simple demande, pour un ouvrage et une destination donnés. ATTENTION : les livres proposés sur le site ne sont pas directement accessibles à la Librairie. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez les consulter au magasin.
Paris, Gallimard, (17 février) 1967, (6 février) 1968 et (19 mai) 1969. 3 vol. (125 x 200 mm) de 197 p. et [1] f. ; 210 p. et [2] et 1 f. ; 179 p. et [2] f. Brochés. Édition originale. Un des 40 ou 35 premiers exemplaires sur vélin de Hollande van Gelder (n° 34, 4 et n° 7).
" Respectivement datés de 1967, 1968, 1969, Courir les rues, Battre la campagne. Fendre les flots figurent parmi les derniers ouvrages de Raymond Queneau, comme le rappelle Claude Debon dans sa fort minutieuse préface. La réunion en un même volume de ces trois recueils poétiques souligne autant leur particularité individuelle que la continuité qui les unit. Dans cette trilogie, où les pochades de Courir les rues laissent la place aux souvenirs et aux questions de Battre la campagne puis aux poèmes plus savants de Fendre les flots, se retrouvent la modestie, le goût du jeu, et la science aussi, d'un auteur qui a toujours choisi de travailler « dans le petit », sans pour autant renoncer à se dire et à dire le monde. Toujours pudique et souvent drôle, cette poésie cache une sensibilité et une profondeur émouvantes et secrètes ". Cantaloube-Ferrieu Lucienne, in Raymond Queneau, Courir les rues, Battre la campagne, Fendre les flots, préface de Claude Debon, 1980, In: Littératures 4, automne 1981. p. 147.
Meudon 1954, 20,7x26,8cm, une page sur un feuillet.
Manuscritautographesignéde Louis-Ferdinand Céline rédigé au stylo à bille bleusur un feuilletde papier blancnuméroté 565 au coin gauche. Une pliure transversale. Quelques trous d'épingles en marge haute,stigmates de l'organisation des manuscrits céliniens en «paquets». « torrents de phosphore jaillir des brèches ! ... et les avions foncer, charger, fendre ces flots ! les "forteresses" ! aller et retour ! et que c'est le Jules le crime » Le passage de notre feuillet est conformeà la version éditée. Publié en 1954, Normance est une suite directe de Féérie pour une autre fois paru deux ans auparavant. Les deux parties ont été rédigées durant les années d'exil et de prison de Céline au Danemark. A son retour en France en 1951, Céline entreprend un travail de «polissage» et fait paraître de manière indépendante ces deux textes titanesques au départ envisagés comme un seul. «Céline, tandis qu'il y travaillait, pensait à ce roman comme un second Voyage au bout de la nuit, de nature vingt ans après à étonner le public autant que le roman de 1932.» (Henri Godard) - Photos sur www.Edition-originale.com -
GALLIMARD-NRF 1992 Soft Cover New
COLLECTION POESIE-350 PAGES FORMAT 11 CM X 18 CM-COUVERTURE ILLUSTREE-(16B)
Paris, Gallimard - NRF, 1969, 178 pp. In-8 broché, quelques rousseurs
Édition originale dont 105 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma-Navarre (n°105) Non coupé.