Ajaccio, Imprimerie Nouvelle Jean Zévaco, 1897, 1 volume de 165x250 mm environ, 382 pages, demi basane à coins bleue pétrole, dos à 4 nerfs soulignés de filets dorés, titres dorés, cuir soulignée d'un filet doré sur les plats, gardes de couleurs. Petites taches sur la tranche et la page de titre, des frottements sur le cuir, cartonnage décoloré par endroits, 1 coin voilé, sinon bon état.
Reference : 70261
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Librairie Diogène
Mme Claire Dulac
29 rue saint jean
69005 Lyon
France
33 04 78 42 29 41
Les ouvrages sont payables à la commande. Nous acceptons les règlements par chèque, virement, ou carte bancaire. Les paiements doivent être effectués en euros. En raison des frais bancaires, les paiements en devises étrangères seront majorés d'une somme de 25 euros. Les frais de port et d'assurance sont à la charge de l'acheteur. En cas d'envoi simple, sans suivi ni assurance, c'est l'acheteur qui est responsable. Une estimation des frais de port peut être faite sur simple demande, pour un ouvrage et une destination donnés. ATTENTION : les livres proposés sur le site ne sont pas directement accessibles à la Librairie. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez les consulter au magasin.
Paris Etienne Chiron sans date (1934). In-8 broché couverture illustrée 253pp. Rares et pâles rousseurs par endroits, bien complet.
La vendetta, le tourisme, l'économie, la politique, le sport et toutes les beautés de la Corse.
Paris: Klincksieck, 1966 in-8, 96 pages, illustrations. Index, bibliographie. Cartonnage illustré d'éd., très bon état.
La Corse avant l'histoire. Monuments et art de la civilisation mégalithique insulaire du début du IIIè à la fin du IIè millénaire avant notre ère. (Paris: Klincksieck, 1966). [M.C.: Corse, préhistoire, archéologie, mégalithes]
2 placards format 25,5 x 21, De l'Imprimerie de Cherche, A Amiens, et format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : [Lot de 2 placards : ] Déclaration de la Garde Nationale d'Amiens, affichée à Amiens, Beauvais et autres villes de Picardie "Buonaparte dit que les Bourbons amènent les étrangers en France. Eh ! s'il n'étoit venu venu souiller notre sol, nous serions en paix avec l'Europe. Sébastiani est venu pour nous faire prendre les armes. Nous jurons tous que, si ce vil satellite de Buonaparte vient dans nos murs avec l'intention et les pouvois proconsulaires [ ... ] il y trouvera le châtiment de ses crimes [... ] [On joint : ] Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. " Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste) "
Rare réunion de 2 placards royalistes publiés à Amiens pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.
1966 Paris, Klincksieck, 1966, in 8°, cartonnage illustré de l'éditeur, 95 pages ; très importante iconographie. Et : Sartène, Centre de Préhistoire Corse (Collection "Promenades Archéologiques"), 1974, plaquette in 8° brochée, 32 pages ; illustrations ; couverture illustrée.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.