Fayard 1988 Fayard, 1988, 440 p., reliure souple éditeur, des plis de lecture sur les plats, coins des plats un peu frottés, bon état pour le reste et intérieur bien propre.
Reference : 110897
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Librairie Diogène
Mme Claire Dulac
29 rue saint jean
69005 Lyon
France
33 04 78 42 29 41
Les ouvrages sont payables à la commande. Nous acceptons les règlements par chèque, virement, ou carte bancaire. Les paiements doivent être effectués en euros. En raison des frais bancaires, les paiements en devises étrangères seront majorés d'une somme de 25 euros. Les frais de port et d'assurance sont à la charge de l'acheteur. En cas d'envoi simple, sans suivi ni assurance, c'est l'acheteur qui est responsable. Une estimation des frais de port peut être faite sur simple demande, pour un ouvrage et une destination donnés. ATTENTION : les livres proposés sur le site ne sont pas directement accessibles à la Librairie. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez les consulter au magasin.
Lyon, Denys de Harsy, 1536. In-4 gothique de CXXXV-(11) ff. (sign. A-R8), feuillets liminaires manuscrits, maroquin brun janséniste, dos à nerfs, frise dorée intérieure, tranches dorées sur marbrure (Chambolle-Duru).
Édition originale gothique établie par Denys de Harsy, sortie des presses d’Antoine Vincent avec sa grande marque typographique au verso du dernier feuillet : S. Pierre et S. Jacques debout, tenant le voile de la Véronique. Colophon : « imprimées à Lyon par Denys de Harsy, l'an Mil.cccccxxxvi au Moys de Mars ».« La véritable édition originale de ces ordonnances, est de Lyon 1535, au mois de mars, par Denys de Harsy, avec privilège pour trois ans, imprimé au verso du titre qui porte la date de 1536, accordé par François Ier au libraire lyonnais A. Vincent » (M. Rouard, Bulletin du bibliophile 1860, p. 1404, "Note sur les éditions de la 'Meygra Entrepriza' d'Antoine Arena"). Recueil d'ordonnances royales pour la Provence qui marquent la fin de l’autonomie de cette province - les ordonnances constituent les lois applicables à l'ensemble du royaume - promulgués par François Ier et ses prédécesseurs rois de France et comtes de Provence, Forcalquier et terres adjacentes dont l’ordonnance d’Is-sur-Tille (l’édit entend enrayer les abus des magistrats provençaux en leur défendant, entre autres, d’user du latin lors des procès. Il prépare l’ordonnance de Villers-Cotterêts), l’édit de Joinville de 1535, l’ordonnance du roi René, comte de Provence, interdisant aux notaires impériaux et apostoliques d’instrumenter s’ils n’étaient pas revêtus de l’investiture royale, l’érection du Parlement de Provence par l’édit de juillet 1501 et sa confirmation par lettres patentes du 26 juin 1502 etc. « Au cours de la période 1481-1596 la Provence est passée de l’union au royaume à la soumission aux Bourbons. Le recueil d’ordonnances royales montre qu’après une période où le pouvoir royal a souhaité ménager les susceptibilités locales en ne modifiant pas les privilèges et les cadres administratifs et judiciaires hérités de l’époque du passage du comté dans l’orbite française, François Ier a fait imprimer à l’intention des praticiens du droit de la province un recueil de lois destinées à rappeler son autorité de roi à la province exposée aux incursions des Charles-Quint et à rapprocher la justice locale des formes communes » (Julien Broch, Aix-en-Provence, 2021).Titre rouge et noir imprimé en caractères romains dans un encadrement à décor Renaissance, lettrines (plusieurs historiées), texte en bâtardes gothiques. On a relié en tête une copie manuscrite de la fin du XVIe sècle (3 ff.) d'une ordonnance de Henri II, promulguée à Compiègne en 1557. Notes manuscrites pâlies au bas de quelques feuillets.Très bel exemplaire, grand de marges, dont la typographie est remarquable d'élégance et d'équilibre. Exemplaire établi par Chambolle-Duru à la demande du bibliophile Raoul-Édouard Cartier (ex-libris sur le contreplat) neveu du bibliographe Alfred Cartier (Bibliographie des éditions des de Tournes, imprimeurs lyonnais 1937-1939).Brunet, II, 387 ; Baudrier, Supp., I-46 ; Bechtel, Catalogue des gothiques français, O-217 ; Catalogue d'un amateur genevois (1974), n°113 (avec reproduction).
, Anvers/ Paris, Fonds Mercator, Albin Michel, 1995, Relie, toile couleur bordeaux, imprint dore, jaquette et cassette illustree, frontispice en couleur, 250 x 335mm., 493pp., illustration tres profonde en couleurs. ISBN ISBN 2226081542.
Portraits et image royale - Le mecenat de Francois Ier - La formation de la collection de Francois Ier - L'Histoire de la collection de peintures de Francois Ier a Fontainebleau - Louis VII, Francois Ier et Leonard de Vinci - Francois Ier et la peinture italienne avant 1520 - Dons diplomatiques a Francois Ier en 1518 - 1521 - Francois Ier et la peinture italienne plus tardive - Francois Ier et rosso fiorentino - Francois Ier et la sculpture florentine - Francois Ier et la sculpture antique - Les tappisseries, la bibliotheque, le cabinet de curiosites et les objets d'art de Francois Ier - Francois Ier, legendaire protecteur des arts. .
, Brepols - Harvey Miller, 2018 Paperback, Languages: French, Italian.308 p., 9 b/w ill. + 29 colour ill., 5 b/w tables, 210 x 270 mm ISBN 9782503581279.
La rencontre entre Francois Ier et l'Italie, Les relations entretenues par Francois Ier avec les etats italiens ne furent pas toujours aussi lineaires et profitables qu'on a pu l'affirmer dans le passe, aussi bien dans les domaines politique que culturel. Les celebrations nationales de 2015, evoquant la victoire a Marignan d?un jeune roi de France fraichement couronne, ont sans doute contribue a renforcer l'image d'un monarque conquerant et puissant au detriment d'une analyse plus lucide et approfondie sur les repercussions, tout au long de son regne, de l'aventure italienne. Les articles figurant dans ce volume explorent differents aspects de l'epopee guerriere et culturelle de Francois Ier en Italie, tout en mettant l?accent sur les reactions suscitees outremonts par la politique royale au fil du temps, mais aussi des succes et des deboires diplomatico-militaires. Si la domination francaise en Piemont-Savoie semble contrebalancer l?echec cuisant d?une implantation durable dans le Milanais, la popularite du monarque resiste surtout dans les milieux hostiles a la suprematie imperiale et chez les fuoriusciti, mais peine a s?affirmer de facon incontestee comme l?attestent le revirement de moults allies, les depeches diplomatiques et les chroniques litteraires de l?epoque. Adule par des lettres et des artistes de renom qui voient en lui un mecene parfois visionnaire, Francois Ier met en ?uvre des reseaux d?influence grace a l?implantation de nombreux Italiens sur des sieges episcopaux du royaume tout en favorisant l?essor d?un italianisme culturel bien au-dela de l?espace raffine de la cour. Tous ces efforts semblent toutefois peu lisibles par les Outremontains qui nourrissent une mefiance envers une politique qui semble osciller entre gallicanisme et accueil des heterodoxes, defense de la Chretiente et entente avec le Turc, velleites hegemoniques et replis soudains. Historiographes et polemistes a la solde des differents etats prennent parti soit en faveur soit contre l?action royale dans la peninsule, tandis que les ecrits litteraires restituent une image quelque peu ecornee du roi de France face a la toute-puissance de Charles V. Table of Contents Jean-Marie Le Gall ? Introduction. L?Italia e Francesco Primo/ Francois Ier et l?Italie Paolo Prodi ? Prolusione. La Ragion di Stato di Leone X e la Ragion di Chiesa di Francesco I Severin Duc ? Possibilites et limites de la Lombardie royale d?apres Claude de Seyssel Paolo Grillo ? Melegnano 1515: una battaglia fra Medioevo e Rinascimento Laurent Vissiere ? L?Italie, tombeau de la noblesse de France (1512-1527) Noemi Rubello ? Bologna, Marsiglia, Nizza: i tre incontri di Francesco I con i pontefici Guido Dall?Olio ? La confessione pubblica di Francesco I a Bologna Matteo Di Tullio ? Finanziare le guerre nel Rinascimento: Francesco I, le finanze francesi e i denari italiani Jonathan Dumont ? Francesco I e il sogno di una Franco-Italia Jean-Marie Le Gall ? Les princes italiens et Francois Ier : 1515-1530 Elena Bonora ? Francesco I di qua dalle Alpi nell?ultima fase delle guerre d?Italia: politica, immagini e linguaggi Nicole Lemaitre ? Les eveques italiens de Francois Ier Giovanni Ricci ? L??«empia alleanza?» franco-ottomana: una prospettiva italiana Maria Giuseppina Muzzarelli ? Mode al tempo di Francesco I Bruno Petey-Girard ? Le roi de France, l?Italie et la culture lettree Chiara Lastraioli ? Della fama del Re Cristianissimo: ascesa, disgrazia e singolarita di Francesco I nelle lettere italiane Laure Fagnart ? Leonard de Vinci et d?autres. Artistes italiens au service de Francois d?Angouleme (et de Louise de Savoie) Luisa Capodieci ? ?« Oh my God ! ?» Genese d?une invention scandaleuse du Primatice Nicolas Cordon ? Trompe-l?oeil merveilleux dans la galerie d?Oiron Dominique Cordellier ? Precisions sur deux tableaux italiens de la collection de Francois Ier : le Saint Sebastien de Pietro Perugino et le Ravissement de Proserpine de Gaudenzio Ferrari
Premier tirage de ces célèbres 210 bois. Lutetiae Parisiorum, Petrus Galterius, 1544. In-folio de (18) ff., 533 pp. et (1) p. d’errata. De nombreux bois dans le texte dont 30 à pleine page, restauration dans la marge des pp. 465 à 520 sans atteinte au texte. Plein veau brun, double encadrement de filets à froid sur les plats fleurdelisés aux angles, dos muet à nerfs. Reliure du XIXe siècle. 337 x 227 mm.
Édition originale de ce « volume peu commun » (Brunet), l’un des plus beaux livres de chirurgie du XVIe siècle, contenant pour la première fois les textes de la Chirurgie grecque d'Hippocrate, de Galien et d'Oribase, en traduction latine. Harvard 542. Il est illustré de 210 magnifiques gravures sur bois, inspirées par des dessins de modèles classiques grecs qui nous sont parvenus par les gréco-byzantins, représentant des opérations de chirurgie, des instruments et des bandages dont 30 figures à pleine page montrant l'utilisation de machines élaborées pour réduire les fractures. «210 figures explicatives dont certaines, à pleine page, exécutées au trait avec une grande élégance. Un de ces bois, p. 175, est marqué de la lettre gothique F, analogue à celle qu’on voit sur quelques figures gravées pour D. Janot. Une autre composition, p. 224, d’une facture plus hésitante, et aux visages grimaçants, est signée d’un monogramme qu’on peut lire APF. Ces figures représentent le plus souvent des machines destinées à réduire les fractures, elles sont intéressantes et les personnages, généralement nus, rendus avec un grand souci d’exactitude anatomique. Certaines s’inspirent des dessins du Primatice et de Jean Santorino se trouvant dans un manuscrit qui fut offert à François Ier, conservé aujourd’hui à la Bibliothèque nationale (Ms. latin 6866).» (Brun, Le Livre français illustré de la Renaissance, 309. L'auteur, Guido Guidi dit Vidius (1500-1569), né à Florence, fut le médecin de François Ier. Le texte s'appuie sur un manuscrit grec de la Bibliothèque de Laurent de Médicis, à Florence. On a longtemps attribué les dessins des bois de cet ouvrage au Primatice, mais depuis l'article de Michel Hirst « Salviati illustratuer de Vidius » (Revue de l'Art, 1969, n°6) ils ont été restitués à Francesco Salviati. Certains des bois portent la croix de Lorraine, d'autres les initiales F. ou ARF. On les donne fréquemment comme étant de François Jollat. (Welcomme I-6596 ; Waller 1960). Francesco Salviati, pseudonyme deFrancesco de’ Rossi(1510àFlorence-1563àRome) est unpeintremaniéristeflorentin. Il tient son nom de son fidèle protecteur, le cardinalGiovanni Salviati, l’oncle deCosmeIer. Il est parfois surnomméCeccoouCecchino Salviati.Giorgio Vasariécrit que Salviati «possédait un plus beau style que tout autre à Florence à son époque.» C'était un portraitiste renommé et un fresquiste admiré pour sa rapidité d’exécution - que Vasari oppose à la lenteur dePontormoet deBronzino- et son habileté à mettre en scène de complexes allégories profanes ou sacrées. De retour à Rome en 1541, Salviati peint pour la Stanza dell’Incendia du Palais du Vatican une fresque (aujourd’hui disparue) représentantRe Pepino(Pépin le bref). La même année, il peintla Sainte Famille au perroquet(aujourd’hui au Musée du Prado). En 1543, il décore la salle de l’Audience (sala dell‘Udienza) duPalazzo Vecchioà Florence. Le programme iconographique illustre les moments de la vie du généralMarcus Furius Camillus, d’aprèsPlutarque: « la prise de Veies » (la Conquista di Veio), «Camillus soumettant les Vosques» (Camillo che sconfigge i Volsci), «la punition du maître de Faléries » (la Punizione del Maestro di Falerii), «le triomphe de Camillus» (il Trionfo di Camillo). Il reçoit le 6 novembre 1544, la commande del’Incrédulité de Saint Thomas(aujourd’hui au Louvre6) pour l’église Notre-Dame de Confort de Lyon. Il peint la grandeDépositionde la chapelle Dini à Santa Croce et à la fin de son séjour florentin, laCharitéde la galerie des Offices. En 1548, insatisfait du traitement qu’on lui fait à Florence, il repart à Rome. Il peint pour le cardinalAlexandre Farnèseles fresques de la chapelle du Pallio du palais de la Chancellerie (Palazzo della Cancelleria). Il reçoit la commande de fresques pour la chapelleSanta Maria dell’Anima(1549-1550). Il reprend en 1550 la décoration de l’Oratorio San Giovanni Decollato. Il y peint deux apôtres, etla naissance de saint Jean-Baptiste. Pour le réfectoire de San Salvatore in Lauro, il exécute lesNoces de Canaet lesScènes de la Genèse. En 1553, il peint lesHistoires de Davidtirées despremieretdeuxième livres de Samuelpour le salon des Mappemondes du Palais Sacchetti, que le cardinal Giovanni Ricci da Montepulciano vient d'acquérir. Il décore pour le cardinal Ranuccio Farnèse la salle des Fasti Farnesianidu Palais Farnèse à Rome. La parenthèse française: Il part pour vingt mois (entre février 1556 et l’hiver 1557-1558) en France, décore pour le compte de Charles de Lorraine, le château de Dampierre. Il ne subsiste malheureusement rien de son travail. Le château Renaissance a été détruit pour faire place à un nouvel édifice construit parJules Hardouin-Mansartdans un style classique en 1683. Nous ne possédons aucune autre trace du travail de Salviati en France, même si un voyageur italien cite, en 1606, dans sa description du Palais Gondi, à Paris, unFrançois Ier et Charles Quint faisant la paixdû à Francesco Salviati, qu'il a peut-être peint pendant son séjour français. «At the suggestion of Ridolfi, Guido Guidi (Vidus Vidius) undertook the translation and by the liberality of François Ier, to whom it is dedicated, he was able to produce this splendid edition. From a preface in Guidi’s Latin MS. it would seem that the drawings, which are such a striking feature of the book, are to be attributed to Francesco Primaticcio and Jean Santorinos. They are modified copies, or interpretations, of the original Greek drawings, with which it is interesting to compare them.» (Bibliotheca Osleriana, n°155) «Volume d’une belle exécution typographique, dédié à François Ier, dont l’auteur, Guido Guidi, fut le premier médecin après la mort de Guillaume Cop. Les 211 figures gravées sur bois dont il est orné nous ont singulièrement frappé; on peut certainement les attribuer à un des plus grands artistes du temps et de l’école florentine. Ce livre rare est peu connu.» (Répertoire universel de bibliographie par Léon Techener, n°934) Précieux exemplaire de l’un des plus beaux traités de chirurgie du XVIe siècle.
Arché Milano 1989 In-12 ( 175 X 125 mm ) de 336 pages, broché sous couverture imprimée. Traduction d'un manuscrit latin avec une introduction et des notes par François SECRET. Suivi du texte latin. Très bel exemplaire, non coupé. +++Le grand orientaliste de la Renaissance Guillaume Postel ne pouvait mieux intituler les Paralipomènes de la vie de François I° ( 1560-1561 ), destinés à combler les lacunes de ses contemporains et, après eux, des historiens modernes qui n'ont pas disposé de ce document. Oeuvre d'un témoin direct qui a bien connu le roi et son entourage, cette histoire inédite, traduite du latin et annotée par F. Secret, n'en présente pas moins le bilan objectif, qui ne doit rien au panégyrique, de trente-trois années d'un règne où la lumière eut sa part d'ombre. Faute d'avoir entendu les avertissements prophétiques de saint François de Paule, réitérés par Postel en personne, et correspondu à sa vocation impériale, François I° inconséquent et influençable, n'a pas toujours su apprécier ses intérêts ni ceux du pays, notamment dans sa politique religieuse, en prenant en Europe la tête d'une réforme de l'Église imposée à la Babylone romaine. Face aux désastres - le concordat de 1516, Pavie en 1525, l'acceptation de la suprématie du pape sur le concile en 1547 - les réussites, qui livrent aussi leur lot d'informations précieuses: les politiques étrangères, en direction de la Turquie, et coloniale, pour jeter en Amérique du nord les bases du premier empire français l'oeuvre culturelle de rassemblement et d'édition de textes, parachevée par la fondation du Collège trilingue, qui deviendra le Collège de France.A travers les jugements de Postel, dont l'illuminisme prophétique n'oblitère en rien la lucidité et la pénétration psychologique, c'est toute la Renaissance qui se regarde jaillir, consciente d'elle-même tout en élaborant ses mythes.Synopsis:L'occasion de la conception du Roi François. La naissance, l'éducation, le caractère et le mariage du Roi François. Le Concile de Tours et ses sanctions. L'avènement de François au trône, et la préparation de la guerre en Italie. Les causes vraies et légitimes de la guerre entreprise par le Roi. Le crime du Concordat avec Léon. La cause du nom évangélique suscité en Allemagne par Martin Luther. La seconde expédition du Roi en Italie et ses causes. Quels avantages ont résulté de la captivité du Roi François non seulement pour la Gaule mais pour le monde entier. La réussite, admirable sur les mémoires de tous les temps, de Charles, Duc d'Alençon, commandant de l'arrière-garde des troupes du Roi François, quand il fut fait prisonnier. Les professeurs au Collège des trois langues créé par le Roi. L'invitation de Philippe Mélanchton, et la lettre que lui envoya le Roi François. Quels savants de grande culture il eut de préférence pour familiers. Le double avertissement fait au Roi divinement et par commandement surnaturel. L'excellence de la typographie du Roi, et sa Bibliothèque. Les biens conquis par François dans la guerre navale et acquis pour le monde entier. Des avantages, acquis par la guerre, au Roi du Portugal et à diverses autres puissances. De l'art militaire restitué sous la conduite du Roi François. La religion de François. De sa générosité. De sa constitution physique et de ses exercices. Quels grands malheurs il subit. La mort de François. Quels vestiges de sa vie il a laissé dans la vie présente. Texte latin.