BEL EXEMPLAIRE in-8 de 220 pages préfcé par Eugène Canseliet édité par Le Courrier du Livre
Reference : yam0688
La Yamouna
M. Stéphane Roussel
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56000 Vannes
France
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OGAM - Tradition celtique 1965 in8. 1965. Broché. illustrations en noir et blanc
couverture défraîchie bas de couverture abîmée intérieur propre
grand format, couverture souple. 96 pages. Bon état 1967 OGAM. Tradition celtique
Grande Loge Nationale Francaise - Loge Villard de Honnecourt - Claude Charbonniaud, Frédérick Tristan et Roland Fournier, eds. - Yves Trestournel - Professeur Jean E. Murat - Simone Vierne - Jean-Bernard Lévy - Dov Bezman - Jean-François Blondel - Claude Tresmontant - Jean-François Faugères - Jacques Lutfalla - Edmond Mazet
Reference : 91300
(1996)
Grande Loge Nationale Francaise , Travaux de la Loge nationale de recherches Villard de Honnecourt Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1996 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur noir, illustrée d'une figure noir et blanche grand In-8 1 vol. - 272 pages
1ere édition, 1996 Contents, Chapitres : T.R.F. Yves Trestournel : Allocution - 1. Travaux et conférences : Professeur Jean E. Murat : Etre et temps - Simone Vierne : Les romans de Jules Verne, une uvre initiatique - Jean-Bernard Lévy : La tolérance - Dov Bezman : Aperçus sur les traditions celtiques - 2. Etudes : Jean-François Blondel : Les compagnons passants tailleurs de pierre d'Avignon - Claude Tresmontant : Qui était Jean ? - Jean-François Faugères : La pensée de Teilhard de Chardin, avatar de la tradition celtique - Jacques Lutfalla : Dieu créateur, G.A.D.L.U. et physique mathématique - Jean-Yves Legouas : Les statuts de la société des philosophes inconnus - 3. Comptes rendus, par Jean E. Murat et Jacques-Noel Peres - 4. Lectures d'instruction : Yves Trestournel : Introduction - Edmond Mazet : Notions de rite en Franc-Maconnerie bon exemplaire, frais et propre - Travaux de la Loge nationale de recherches Villard de Honnecourt n° 32 - 2eme série - 1er semestre 1996
Grande Loge Nationale Francaise - Loge Villard de Honnecourt - Claude Charbonniaud, Frédérick Tristan et Roland Fournier, eds. - Yves Trestournel - Professeur Jean E. Murat - Simone Vierne - Jean-Bernard Lévy - Dov Bezman - Jean-François Blondel - Claude Tresmontant - Jean-François Faugères - Jacques Lutfalla - Edmond Mazet
Reference : 81165
(1996)
Grande Loge Nationale Francaise , Travaux de la Loge nationale de recherches Villard de Honnecourt Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1996 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur noir, illustrée d'une figure noir et blanche grand In-8 1 vol. - 272 pages
1ere édition, 1996 Contents, Chapitres : T.R.F. Yves Trestournel : Allocution - 1. Travaux et conférences : Professeur Jean E. Murat : Etre et temps - Simone Vierne : Les romans de Jules Verne, une uvre initiatique - Jean-Bernard Lévy : La tolérance - Dov Bezman : Aperçus sur les traditions celtiques - 2. Etudes : Jean-François Blondel : Les compagnons passants tailleurs de pierre d'Avignon - Claude Tresmontant : Qui était Jean ? - Jean-François Faugères : La pensée de Teilhard de Chardin, avatar de la tradition celtique - Jacques Lutfalla : Dieu créateur, G.A.D.L.U. et physique mathématique - Jean-Yves Legouas : Les statuts de la société des philosophes inconnus - 3. Comptes rendus, par Jean E. Murat et Jacques-Noel Peres - 4. Lectures d'instruction : Yves Trestournel : Introduction - Edmond Mazet : Notions de rite en Franc-Maconnerie dos à peine jauni, plats de la couverture à peine empoussiérés sans gravité, sinon bon état, intérieur frais et propre - Travaux de la Loge nationale de recherches Villard de Honnecourt n° 32 - 2eme série - 1er semestre 1996
Le Courrier du livre, 1975, in-8°, 190 pp, avant-propos de Maxime Gorce, préfaces d'Eugène Canseliet, nouvelle édition revue et corrigée, nombreux dessins et figures dans le texte, une carte, broché, couv. illustrée (lég. salie), bon état
"Une expérience millénaire avait légué aux druides de sérieuses notions sur la formation de l'univers, l'importance des minéraux et de leurs radiations, le mouvement des astres et leurs effets, les solstices, les equinoxes, les mesures du temps, les lois d'attraction, de gravitation, de rayonnement, la science des nombres. Ils ne dévoilaient leurs secrets qu'à un nombre limité d'initiés, pour lesquels ils donnaient la clé des symboles, souvent très simples, bien qu'incompréhensibles au vulgaire. Il y eut dès les origines du christianisme des affinités certaines avec le druidisme ; opposés farouchement à l'invasion romaine, les druides semblent avoir favorisé la religion nouvelle qui sapait le matérialisme dispensé par Rome. Les anciens symboles de la tradition primitive se superposent quelquefois d'une façon suggestive ; par exemple, l'iconographie chrétienne ne représente-t-elle pas Saint-Jean tenant en main une coupe d'où se dresse un serpent ? N'est-ce pas là un des plus vieux symboles : la coupe, symbole du cœur et de la vie physique, l'ancien chaudron de Koridwen où se préparait la mutation des mondes, devenue par la suite le Graal du Christianisme, d'où sort le serpent, cette grande figuration ancienne de lumière créatrice de vie, matérielle et spirituelle. Notre civilisation a su conserver dans ses cathédrales et ses plus modestes églises les premiers et puissants symboles qui ont guidé l'humanité. C'est ainsi que l'art roman, lorsque il prit sa personnalité, puis s'imposa dans l'édification des églises, recourut volontiers, lui aussi, aux symboles empruntés à diverses influences, et même il adopta ceux du druidisme qui pouvaient être utilisables pour des fins chrétiennes. L'auteur a découvert cette influence celtique en de nombreux monuments romans, notamment dans le Bourbonnais, l'Auvergne et le Berry ; par cette influence peut être expliqué le sens symbolique des sculptures ou chapiteaux énigmatiques. La démonstration et l'argumentation de l'auteur nous offrent des aperçus fort intéressants : les fonctions mystiques du compagnonnage, les tracés régulateurs des édifices (exemple la crypte romane de Sainte-Bénigne à Dijon), les lois des nombres, le Nombre d'Or, le symbolisme de certains nombres (l'octogone et la croix à huit branches). La construction romaine semble basée sur la connaissance et l'application de la science des Nombres. Mais il y a plus, les vieux symboles de la civilisation des dolmens, tels que la croix, la fleur de lys, le coq, le cœur, le cheval et le serpent, réapparaissent étroitement unis avec la même signification dans l'Art roman. En définitive, il semble que le Christianisme n'ait pas cherché à abolir les mystères anciens, mais plutôt à les réexpliquer, en les sortant de l'idolâtrie dans laquelle ils avaient sombré ; et l'auteur conclut que l'Art roman est un art ordonné et dirigé, profondément symbolique, dont une partie de la grandeur vient précisément de ce qu'il a, au maximum, tiré parti de ses possibilités symboliques." (Revue archéologique du Centre de la France, 1964)