Traduit de l'italien par Hélène Albani, Christian Depuyper et Georges Saro - Présentation de Sergio Caprioglio - Paris : Gallimard (Collection "Témoins"), 1971 - fort volume 14,8x22cm broché sous couverture illustrée en couleurs, 620 pages avec un index in-fine - Edition originale de la traduction française de l'édition italienne de Sergio Caprioglio parue en 1965 : 428 lettres dont 119 inédites - Exemplaire en bon état -
Reference : 42561
La pensée de Gramsci étant indissociable de sa vie et de son engagement politique, il est impossible de faire abstraction de ce lien à l’expérience vécue. Les formes dans lesquelles Gramsci a consigné ses idées témoignent de cette solidarité entre la pensée et la vie : articles de journaux, manifestes ou tracts politiques, notes dans des carnets d’écoliers, lettres rédigées depuis la prison. La pensée de Gramsci s’inscrit donc à même les évolutions de sa vie.
Le Livre à Venir
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Editions Galilée , Coup pour Coup Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1977 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur noire et blanche, illustrée d'un portrait de Blanqui en noir et blanc grand In-8 1 vol. - 382 pages
1ere édition chez cet éditeur, 1977 Contents, Chapitres : Introduction - Note pour la présente édition - Projet d'une proclamation révolutionnaire, 1830 - Aux étudiants en médecine et en droit, décembre 1830 - Déclaration politique du 22 janvier 1831 - Le procès des Quinze, défense du citoyen Louis Auguste Blanqui devant la Cour d'assises, janvier 1832 - Allocution devant la Société des Amis du Peuple, 2 février 1832 - Qui fait la soupe doit la manger, 1834 - Propagande démocratique, 1835-1836 - Affaire dite des Poudres, audience du 10 août 1836 - Formulaire de réception à la Société des Saisons, 1837 - Appel du comité de la Société des Saisons au peuple de Paris, 12 mai 1839, aux armes citoyens - Douze lettres de Blanqui à F. Girard écrites à la prison du Mont Saint-Michel, août 1840 - novembre 1841 - Pour le drapeau rouge, février 1848 - Adresse de la Société Républicaine Centrale au gouvernement, mars 1848 - Première pétition pour l'ajournement des élections, mars 1848, deuxième pétition - Adresse au gouvernement, mars 1848 - Aux clubs démocratiques de Paris, mars 1848 - Profession de foi, mars 1848 - Réponse aux accusations du document Taschereau, avril 1848 - Adresse au gouvernement provisoire, avril 1848 - Les massacres de Rouen - L'invasion de l'Assemblée nationale - Proclamation du 15 septembre 1848 - Toast au banquet des travailleurs socialistes, décembre 1848 - Déclaration lors du départ des prisonniers de Vincennes, janvier 1848 - Interrogatoires et déclarations au procès de Bourges, mars 1849, Défense au procès de Bourges - Sur la révolution, 1850 - Notes inédites sur Roberspierre, 1850 - Avis au peuple, février 1851 - A propos des clameurs contre l'Avis du Peuple, avril 1851 - Sept lettres de prison, novembre 1848 à mai 1852 - Lettre à Maillard, juin 1852 - Récit de la tentative d'évasion de la prison de Belle-Ile, 1853 - Louis-Auguste Blanqui, dit Auguste Blanqui, surnommé « lEnfermé », né le 8 février 1805 à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes) et mort le 1er janvier 1881 à Paris, est un révolutionnaire socialiste français, souvent associé à tort aux socialistes utopiques. Il défend pour l'essentiel les mêmes idées que le mouvement socialiste du XIXe siècle. Il fait partie des socialistes non-marxistes. L'historien Michel Winock le classe comme un des fondateurs de l'ultragauche française qui s'oppose aux élections démocratiques, les considérant comme « bourgeoises », et qui aspire à l'« égalité sociale réelle ». Après 1830, encore étudiant, Blanqui fait le constat que la révolution ne pourra traduire la volonté du peuple que par la violence : « l'interdiction politique » qui place le peuple sans garantie, sans défense, devant « l'odieuse domination des privilégiés », conduit fatalement à la lutte. Il fut, en conséquence de ses tentatives insurrectionnelles, emprisonné une grande partie de son existence, ce qui lui a donné le surnom de « lEnfermé ». Il est à l'origine du blanquisme. En 1880, il publie le journal Ni Dieu ni maître dont le titre est devenu une référence pour le mouvement anarchiste. "couverture à peine jaunie, legere trace de pliure au dos, intérieur frais et propre, quelques rousseurs sur la tranche centrale n'affectant pas l'intérieur, cela reste un bon exemplaire, tome 1 des Oeuvres complètes, complet en lui-même, Ecrits sur la révolution - Il n'y a pas de tome 2 publié ; dans le tome 1, les textes publiés s'arrêtent à l'année 1853, selon Wikipedia"
Paris Gallimard 1998 In-8, broché, couverture imprimée.Edition originale de cette émouvante correspondance écrite en prison. Céline envoya quelques 200 lettres à Lucette, lors de son séjour en prison à Copenhague, du 17 décembre 1945 au 24 juin 1947. Puis, affaibli et après plusieurs séjours à linfirmerie ou à lhôpital, il eut en juin 1947 lautorisation de rejoindre Lucette à Copenhague, rue Kronprinsessegade, sur la promesse de ne pas quitter le Danemark. Elle-même avait été emprisonnée du 17 au 28 décembre 1945. Pour faciliter leurs échanges, Céline envoyait ses lettres destinées à Lucie, officiellement à maître Mikkelsen (1885-1962) qui avait réussi à légaliser la présence de Céline au Danemark, dès juin 1945, avant son emprisonnement. Ces lettres témoignent du génie littéraire de Céline, par leur vaillance, leur poésie et leur drôlerie. Un des 111 exemplaires numérotés sur vélin pur chiffon de Lana, seul tirage sur grand papier. Neuf, non coupé.
1970 in-8 broché - 1970 - 139 pages - Editions du Seuil
assez bon état (couverture légèrement défraichie)
Copenhague (Liège): , 1945 (1984) in-8, 24 pages en feuilles sous couverture imprimée. Tirage limité à 53 exemplaires dont 50 hors commerce, bon état. Edition originale contenant les fac-similés de trois lettres de Céline adressées à Bente Johansen, la jeune danoise qui avait recueilli Bébert, peu après l'arrestation de ses maîtres. Suivi du Synopsis de ballet d'après une idée de Ferdinand Céline raconté pendant son séjour à Copenhague en 1945. Jean-Pierre Dauphin et Pascal Fouché, Bibliographie des écrits de Louis-Ferdinand Céline, 84B1.
Lettres de prison, suivi d'un synopsis de ballet inédit. (Copenhague (Liège): 1945 (1984)). [M.C.: littérature, Céline]
Editions du Rocher, 2008, in-8°, 135 pp, 4 pl. de documents in fine, biblio, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s. (nom du destinataire effacé)
En 1976, Jacques Mesrine désigne maître Martine Malinbaum pour être l'un de ses avocats. Elle a vingt-six ans. Lui en a presque quarante. Il est à la prison de la Santé. On le désignait alors sous le nom d' "Ennemi public n°1". Son évasion spectaculaire, en mai 1978, renforce sa légende, dont le cinéma s'est emparé depuis. Entre-temps, de parloirs en procès, de détention classique en "Quartier de haute sécurité", le prisonnier le plus célèbre de France se livre à sa jolie avocate. Elle lui rend visite. En retour, il lui déclare sa flamme et ses souffrances à travers une quarantaine de lettres, rédigées d'une écriture appliquée, aussi tendres que poétiques. Jamais elle ne répond, pas même à ses poèmes. Elle confesse aujourd'hui avoir été émue de recevoir cette correspondance à la fois pudique et troublante. Martine Malinbaum avait oublié ces lettres, mais la fièvre médiatique ramenant le nom de Mesrine à l'affiche ravive en elle l'envie de les relire. Une émotion vraie la conduit à vous les soumettre, dans leur intégralité et leur vérité d'époque. Car derrière ces textes écrits au cœur de l'enfermement, on découvre un Mesrine différent, un Mesrine intime qui, au seuil de sa cellule, aurait laissé tomber son manteau d'orgueil.