Catalogue de l'exposition présentée en 1989 et 1990 au Musée d'Art moderne de Villeneuve d'Ascq, au Centre national des arts plastiques et au Musée des Beaux-Arts de Nantes - Paris : Flammarion, 1989 - un volume 21x23cm sous couverture cartonnée illustrée en couleurs, de 111 pages avec 85 reproductions en noir et en couleurs de peintures, sculptures, dessins et photographies - exemplaire truffé de 2 cartons d'invitation à des expositions Dezeuze en 1998 et 1999 -
Reference : 42271
Le Livre à Venir
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France
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Daniel Dezeuze, La lumière blanche du printemps, poème de Daniel Dezeuze illustré de cinq collages peints originaux de Daniel Dezeuze inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste, Rivières — Sète, avril 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 12,5x12cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires, tous uniques. Exemplaire V/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 435e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 2e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 1er en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et collages peints uniques de Daniel Dezeuze, inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste : "Des sombres futaies longent la rivière. A l'orée viennent les perdreaux attirés par les volières d'un grand mas. Mais ils repartent à tire-d'aile au ras des cistes cotonneux. L'averse se débobine en fuseaux grisâtres et enjambe les bosquets. Qu'égale la pluie qui glisse en biais sur les taillis luisants ? Des sources dégorgent sous les cressons charnus. Le secret de l'herbe ressurgit dans une recrudescence drue et très dévote. Toutes les sèves se nébulisent pour former la lumière blanche du printemps. Les mauvaises herbes pourchassées par le feu et le poison ont caché leurs graines dans les fentes et les replis. Bientôt entre chien et loup vont venir les hirondelles hâtives Et puis quelques chauves-souris, peaux de chamois froissées sur les fusains de la nuit. L'ombre sans cesse talonne le jour qu'elle roule dans un fourreau de sommeil. Les insectes divaguent dans des nuits mi-blanches mi-bleues. Les rêves aussi hors chrysalides. Au loin : des pignons vernissés et des balcons prognathes au-dessus des piscines azurées-chlorées. Plus loin encore : la mer, lame d'acier trempée dans chaque soleil naissant." Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Dires d’un Bonhomme sur le chemin de l’’exil, poème, un grand dessin original sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, mars 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 10 double f., 20x14cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire IX/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 745e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 10e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 6e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et dessin original à double page de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Ces courts poèmes ont été écrits en 1994 et certains fragments ont été publiés sous le titre Relevés & Commentaires aux éditions Tarabuste (Saint Benoît du Sault, 1996) en pensant aux bonshommes cathares fuyant leur pays. Extrait : "La vie est une fuite, ses oeuvres autant d’impedimenta. La forêt pyrénéenne se referme comme des yeux. Paupières, allons, dites-nous nos pleurs. De tout lointain aucune certitude Extraite. Du magma aucun diamant net hors de la gangue où est scellée la lumière originelle. " Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Pour une Dona, avec mandoline, poème, trois collages originaux avec dessins sur papier Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, janvier 2007, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 20x15,5cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire I/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 577e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 7e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 4e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et dessins originaux de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Extrait : " Dona, vous fermez les yeux dans les plaisirs extrêmes, alors que je les garde grand’ ouverts. Vous voulez la pénombre et moi cent lustres clairs. Dans la nuit dense je ne fais que tâtonner puis vous tâte si bien que toujours préférez à l’oeil pervers qui fixe le divaguant toucher. " Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Jardins de contemplation à Kyoto, poème, deux collages originaux de Daniel Dezeuze inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste, Rivières — Sète, octobre 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 21,5x14cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire IX/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 525e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 5e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 3e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et collages peints uniques de Daniel Dezeuze, inspirés de la calligraphie extrême-orientaliste. "Karé-sansui : c'est une planche savonnée pour tous les philosophes, un vrai piège conceptuel, un jardin sec de tout discours. [...] Ici, la lumière crue encadrée par les créneaux tombe dans un grand tiroir où l’on remise les abstractions démises par le martèlement des éléments" Le kare-sansui (jardin sec) est un jardin sans aucun courant d'eau, composé parfois seulement avec des roches et du gravier fin. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons également au catalogue sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
Daniel Dezeuze, Marelle, poème de Daniel Dezeuze, illustré d’un dessin original sur Canson noir de l’artiste, Rivières — Sète, mai 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f., 18,6x13,6cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire III/XII signé par l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 482e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, et le 3e de Daniel Dezeuze chez cet éditeur, le 2e en tant qu'auteur et illustrateur. Magnifique poème et dessin original de Daniel Dezeuze sur Canson noir. Extrait : « Essaims d’aurore, fourmillement de palets, jalons à la craie des marelles : nous voilà partis à cloche-pied vers des hors-jeux certains ou vers ce grand écart pour choir en case CIEL. » Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.