Sans lieu (Toulouse) : Parc, sans date (1982) - un volume 25x17,4cm en feuilles, couverture en papier gaufré imprimé, 12 feuillets in-quarto sur papier BFK de Rives, avec une aquarelle originale de Mathias Perez - texte imprimé de Jean-Claude Hauc sur la peinture de Mathias Perez - exemplaire signé et numéroté par l'artiste -
Reference : 41829
Le Livre à Venir
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3 lettres autographes signées [ Détail : ] 1 L.A.S. de 2 pp. datée de Chateau-Thierry le 12 août 1931 : "Chère amie, c'est aujourd'huy seulement que je commence à croire que je vais mieux, mais j'ai été bien malade. J'ai repris goût à la lecture mais pas encore à la peinture. Moi qui ai tant aimé les chemins, j'ai des jambes qui se dérobent ne voulant plus me porter [ ... ] Le Colonel a dû vous dire qu'il m'avait vu effondré sur un banc du Luxembourg. Je suis un peu moins décrépit mais pas encore beaucoup. Vous devez voir à mon écriture tremblottante l'aveu d'une faiblesse [... ] Où sont les environs du bel âge où on frisait la quarantaine ! Le portrait de Suzanne, les [... ]de l'Affaire Dreyfus : que de disparus avec les années ! L'amitié reste et c'est le principal. [... ] dites à May et à Bob le cordial souvenir de nos bonnes séances de pose et de causerie. J'ai été enchanté du résultat moral du portrait de May, du moins de ce que l'on m'en a dit. Dès mon retour le tableau sera chez eux [ ...]". - 1 L.A.S. de 3 pp. [ non datée, il prie la Baronne de continuer à être "soeur de Charité" auprès de Thadée, malade ] - 1 L.A.S. d'une page, non datée : "Chère Madame, Je ne m'étais plus souvenu en vous priant de venir ce matin que je devais aller voir les tableaux de Mme Samarine. [ il évoque ensuite une Mme Michout et Mme Desgranges ]".
Ces trois lettres autographes signées sont très vraisemblablement adressées par le peintre Edmond Aman-Jean (1858-1936) à la baronne Pierlot (vers 1852-1941) qui fut une grande amie de Paul Claudel. Thadée Caroline Jacquet était la femme de l'artiste.
Selon Cohen, ce recueil vaut 30 fois le prix des Fables de la Fontaine illustrées par Oudry en 4 volumes in-folio, Paris, 1755-1759. A Paris, Fixé à cent exemplaires de pres épreuves. Imprimez sur grand papier. 2 volumes grand in-folio, vers 1735. 261 planches gravées. - Vol. 1 : 1 titre gravé, 1 f. de texte gravé, 1 frontispice gravé. 38 planches ; Figures de mode, dessinées et gravées à l’eau forte par Vatteau (sic). Paris : Duchange et Jeaurat, s.d. : 1 titre gravé, 11 planches ; Figures Françaises et comiques, nouvellement inventées par M. Watteau. Paris, Duchange et Jeaurat, s.d. : 1 titre gravé, 7 planches. Autres vues. Paris Duchange, Gautrot et Joullain, s.d : 52 planches dont 8 doubles. - Vol. II : Œuvres des estampes gravées, d’après les tableaux et dessins de feu Antoine Watteau. Quatrième et dernière partie. Paris, Gersaint, s.d. : 1 titre gravé et 153 planches. Soit un total de 261 gravures. Reliure en veau marbré, triple filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs et caissons ornés, pièce de titre rouge et tomaison citron. Reliure de l’époque. Provenances : Comte Henry Greffulhe (1848-1932) (ex-libris gravés à ses armes) ; André Langlois (ex-libris). 637 x 468 mm.
Edition originale. « Ce somptueux recueil en deux volumes est un des livres les plus beaux et les plus rares du XVIIIe siècle. Des cent exemplaires qui furent tirés, à peine une trentaine existe encore aujourd’hui (en 1910, il y a 109 ans) les autres ayant été cassés par les marchands d’estampes. » (Cohen). Il est à observer que le Tome I contient uniquement des pièces à regarder en hauteur et le tome II des pièces à regarder en largeur. Quand il y a deux pièces sur la même planche, au tome I, ce sont donc des pièces en largeur au tome II, des pièces en hauteur. - [Avec] : WATTEAU, Antoine. Figures de différents caractères de Paysages & d’Etudes dessinées d’après nature, par Antoine Watteau. Peintre du Roy en son Académie Royale de peinture et Sculpture, Gravées à l’Eau-forte par des plus habiles Peintres et Graveurs du temps, tirées des plus beaux cabinets de Paris. A Paris, chez Audran, graveur du Roy en son Hôtel royal des Goblins et chez F. Chereau, graveur du Roy, rue Saint-Jacques, aux deux pilliers d’or, Roland scrips. F. Baillieul l’aisné sculpsit, s.d. (vers 1735). 2 tomes reliés en 1 volume grand in-folio. Tome I : (7) ff. gravés (titre, portrait de Watteau par lui-même gravé par Boucher, Vie, 2 ff. ; épitaphe, 2 ff., préface 1 f. et 132 sujets sur 101 planches. Tome II : (3) ff. (titre, avertissement, frontispice par Boucher) et 120 (ou parfois 121) ff. contenant les sujets 133 à 350. Reliure en veau marbré, aux armes de Samuel Bernard (OHR, 1043), triple filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs, caissons ornés, pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge, roulette sur les chasses, tranches rouges. Provenance : Samuel Bernard, comte Coubert (1651-1739). Reliure armoriée de l’époque. 509 x 337 mm. Edition originale de ce précieux recueil publié par les ordres de M. de Julienne qui, selon Mariette, grava lui-même les n°221 et 222. Les aquafortistes des autres planches sont Jean et Benoît Audran, Boucher, Cars, Caylus, Cochin, Desplaces, Lépicié, Sylvestre et Carle Vanloo. Cette édition, la seule bonne est fort rare. Cartonné, non rogné, 1 500 fr. OR, catalogue Fontaine 1874, n°2493. En veau ancien, 2 500 frs Or Bulletin Morgand (1891), n°20348. En demi-reliure de Pagnant 3 000 frs Or, Bulletin Morgand (1899), n° 35457 ; en feuilles, 3 500 frs Or ibid. n°36821. Soit de 18 000 à 23 000 F Or pour les deux œuvres en 1912 selon Cohen soit 30 fois la valeur de la grande édition des Fables de La Fontaine illustrées par Oudry en 4 volumes in-folio, Paris 1755-1759 dont un bel exemplaire de premier tirage en maroquin se vend aujourd’hui 30 000 €. L’œuvre de Watteau est le plus rare des recueils de gravures du XVIIIe siècle. Il a été formé par les soins de Jean de Jullienne, ami et protecteur de Watteau, et tiré chez lui, à la manufacture des Gobelins, à cent exemplaires. Nous résumons brièvement, d'après les précieuses recherches de MM. Dacier et Vuaflart (Jean de Jullienne et les graveurs de Watteau), l'historique de cette magnifique entreprise. Le travail de gravure débuta en 1717, soit quatre ans avant la mort d'Antoine Watteau, et se continua jusqu'en 1735. Pour ces gravures, M. de Jullienne sut faire appel aux meilleurs artistes du moment : Jean Audran, Desplaces, Dupuy, Cochin père, Edme Jeaurat, Benoît Audran, fils de Jean, Siivestre, Laurent Cars, Bernard Lépicié, Carle Vanloo, Trémolières, François Boucher, alors âgé de dix-neuf ans, Jean de Jullienne lui-même, son ami le comte de Caylus et un anonyme qui signe M et pourrait être M. de Montullé, cousin germain de Jullienne, Tardieu, Maurice Baquoy, Louis Crépy, Nicolas de Larmessin, Thomassin, Jean Moyreau, Gabriel Huquier, spécialiste des arabesques, Bernard Baron, François Joullain, les frères Liotard, de Genève, Aveline, François Chédel, Jacques Ph. Le Bas, Marie-Jeanne Renard du Bos, Louis Jacob, Etienne Fessard, soit en tout trente-six artistes. Watteau lui-même a gravé dix pièces qui furent retouchées par les graveurs professionnels. « En 1716 Watteau céda aux instances de Crozat et vint s'installer chez le célèbre collectionneur. Crozat possédait, rue de Richelieu, au coin des boulevards un magnifique hôtel avec parc. Il avait à Montmorency un château somptueux. Watteau bénéficia de ce luxe, mais pas longtemps. La brillante société qui fréquentait chez le financier lui prenait beaucoup trop d'instants qu'il eut préféré consacrer aux commandes dont il était surchargé. Il quitta Crozat pour aller chez Sirois dont il accepta l'hospitalité, défendant qu'on fit connaître sa demeure à ceux qui la demanderaient. » « C'est à partir de cette époque que Watteau se libéra des manières et des influences précédentes et trouva définitivement et l'esprit et la technique qui allaient constituer cette poésie qui est si particulière à son œuvre. Quant à l'esprit, il abandonne les scènes de mascarades du répertoire de Gillot, et se consacre désormais aux manèges de l'amour, depuis les jeux retenus des premières rencontres : « La proposition embarrassante », jusqu'aux ultimes passes d'armes : « La surprise ». Il aime aussi à décrire les plaisirs de la musique : « Les Charmes de la vie ». Il isole parfois des personnages dans le but d'approfondir leur portrait psychologique : « La Finette » et « L'indifférent », tous deux au Louvre, « Le donneur de sérénades » de Chantilly. Mais c'est peut-être encore plus la technique picturale nouvelle qui constitue la grande originalité de l'art de Watteau dans sa brève maturité : d'une part il ne met plus en scène des personnages détachés devant un fond de décor, au contraire, par une touche hachurée, il fait un tout des personnages et de l'espace dans lequel il se meuvent ou se situent, s'imbriquant dans les herbes, les branchages, la brume légère. S'il avait été auparavant sensible aux exemples des peintres de genre flamands, la pratique des collections de Crozat lui permet de découvrir ses véritables sources avec le sens de la grande décoration, l'aisance du dessin, des raccourcis, des arabesques élégantes, chez Véronèse, et le sens de la pâte picturale généreuse et sensuelle, la traduction voluptueuse de la lumière dorée enveloppant les beaux corps chez Titien. Cependant, il n'avait toujours pas peint son morceau de réception pour l'Académie, qui l'avait accueilli en quelque sorte sur parole, et qui commençait à s'impatienter. Ce fut en 1717 que Watteau lui présenta enfin « L'embarquement pour Cythère », qui lui valut aussitôt le titre de « peintre des fêtes galantes ». Ce titre bien que justifié ne traduit que le côté le plus anecdotique du talent de Watteau. En fait on aurait pu mieux le dire « peintre de la nostalgie des fêtes galantes », ce qui aurait traduit plus justement le climat poétique propre aux prétendues fêtes de Watteau. En outre, par-delà le sujet, si prenant soit-il, c'est bien plus le rythme de la composition, la gamme colorée, chaude et dorée, la technique, légère et nerveuse, par petites touches spirituelles, entrecroisant les tons, le dessin, alerte, éblouissant, des personnages et du paysage, l'accord, la fusion, entre êtres et choses, acteurs et décor, personnages et nature, qui créent la poésie chez Watteau. » Précieux exemplaire de l’un des plus beaux livres illustrés par un peintre au XVIIIe siècle. Les exemplaires complets de toutes leurs planches, comme celui-ci, sont rarissimes : du tirage originel à cent exemplaires en 1735, un nombre infime a échappé aux marchands d'estampes qui ont souvent préféré vendre les gravures à part. (Cohen-de Ricci, col. 1053-1065).
Maison de la bonne presse. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 226 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 54-Almanach
Sommaire : La belle époque de la peinture, Photo : tout est deja inventé, Enseignement : pas encore obligatoire par Nicole Mauvoisin, Le temps de Zola et d'Hector Malot par Lucien Guissard, Le yachting a la belle époque par Yves Gaubert, Transports, la vraie révolution du XIXe siècle, Mode : entre les sonnettes et les parapluies par Juliette Gallet Classification Dewey : 54-Almanach
Paris Jean-François Bastien 1776 2 forts vol. in-8 veau fauve marbré, dos lisses cloisonnés et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison cerise, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges [Rel. de l'époque], coins et coupes frottés
1) Peinture : 2 ff.n.ch., xvj pp., 653 pp., 3 pp.n.ch. de privilège. - 2) Peinture et sculpture : 4 ff.n.ch., 716 pp., un f.n.ch. de corrigenda.Quérard VI, 459. Cioranescu, 48 429. Unique édition de cette compilation bien dans le genre du polygraphe Nougaret (1742-1823). Deux premiers volumes de cette série, qui sera ultimement complétée par un troisième, paru seulement en 1780 (Sculpteurs et architecture) et très rarement joint. Quant au quatrième volume, projeté, il n'est jamais paru
ROEDERER, GUYON, LASSUS, FOURCROY, DARCET, GUYTON, VIEN, DAVID, DUFOURNY, MONGEZ, LEBLOND, ANDRIEUX, CLOUET, FRANCOIS (Ministre de l'Intérieur), TREVILLIERS, QUINETTE, CREUZE LATOUCHE, SINCLAIR (Sir John), VAN SWINDENBRONGNIART, VOLTA, BONAPARTE, LEVEQUE, TOULONGEON, DROZ, ACHARD, LABERGERIE, CUVIER, etc.
Reference : 12689
Paris, Imprimerie de la République, Baudouin ; Londres, Bulmer ; etc., 1795 - An XI (1803). Grand in-8, pagination séparée pour chaque fascicule, reliure de l'époque plein veau, dos orné, tranches mouchetées (dos un peu frotté).
Réunion de plus de 50 fascicules, mémoires et rapports qui constituent les Rapports et Travaux pour 1803 de l'Institut national des Sciences et des Arts. Illustré de 13 planches (dont sur les incendies). * Voir photographies / See pictures. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.