Traduit de l'américain par Lucienne Escoube - Paris : Gallimard ("Du monde entier"), 1954 - in-8 broché de 474 pages - couverture poussiéreuse sinon bon état -
Reference : 30854
Le Livre à Venir
Mme et Mr. Florine et Richard Jaillet
41 Place de l'Oscambre
03140 Chantelle
France
06 44 78 76 58
Règlement accepté : chèque, paypal, virement bancaire ou mandat. Nous garantissons l'état de nos livres conformes à la description donnée sur nos notices. Envoi de photographies sur demande. Les prix indiqués sont nets, port en sus à la charge de l'acquéreur. A réception de votre commande, vous recevrez une demande de règlement détaillée. Nous envoyons les ouvrages dans un délai de trois jours maximum, à réception de votre règlement par chèque,paypal, espèces ou virement bancaire. <br />
Paris, Gallimard, "Du monde entier", 1954 1 volume 14,3 x 20,7cm Broché. 473p., 3 feuillets. Bon état.
Edition originale tirée à 66 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma-Navarre - exemplaire justifié n°25 - de la traduction de l'américain, par Lucienne ESCOUBE, de "The Eyes of Reason", roman de Stefan HEYM, pseudonyme de l'écrivain allemand Helmut Flieg (ou Fliegel) qui émigra en Tchécoslovaquie en 1933 puis aux États-Unis en 1935, et s'installera en RDA en 1952 (1913-2001): une peinture réaliste de la Tchécoslovaquie de 1945 à 1948 (le travail dans les verreries et leur nationalisation, les élections de 1946, la crise politique et les grandes manifestations de 1948, etc), où les crises politiques et sociales mettent devant des choix difficiles et divisent 3 frères, tous 3 combattants de la "liberté" pendant l'occupation; mais l'ex-aviateur de la R.A.F. est un industriel dépossédé quand l'un de ses frères, médecin militant de la Résistance de retour de Buchenwald, soigne ses ouvriers; quant au troisième, écrivain, ex "porte-parole" aux Etats-Unis de la "Tchécoslovaquie libre", pourra-t-il, dans les contradictions du moment, trouver éditeur à son "Essai sur la Liberté" ? un personnage qui rappelle l'auteur, trop communiste aux Etats-Unis et trop critique pour les staliniens...
GALLIMARD .. 1954.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 473 pages.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Traduit de l'américain par Lucienne Escoube. 8 ème édition : année de l'édition originale. Roman. Du monde entier. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Paris, Gallimard, Collection Du Monde Entier, 1954. In-8, broché, 473 pp.
Edition originale française. Un des 66 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. Photos sur demande.
2 pièces autographes signées à savoir: 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»
Belle réunion de deux très intéressantes pièces autographes signées de l’écrivain Georges d’Esparbès (1863-1944). Fréquentant le Chat Noir, ami de Léon Bloy ou de Jean Moréas, Georges d’Esparbès exaltera l’héroïsme militaire. On joint une troisième pièce signée par son fils Robert (dit Asté d’Esparbès).
Rédaction Administration. 1950. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Papier jauni. 96 pages. Nombreuses photos/ illustrations en noir et blanc, in et hors texte. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Barrer la route à la guerre- L'espoir des peuples- La constitution stalinienne- L'ère de la raison- La Russie vue de nos propres yeux- Le sommeil, traitement d'avenir- etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues