P., Léon Pichon, 1923 ; in-4 en feuilles sous couverture souple rempliée. XXIV-137pp.-3ff. Illustré d'un frontispice et de 6 vignette gravés sur bois par Alfred Latour. Frottement avec petit manque de papier à la "coiffe" supérieure, si non bon état.
Reference : 6803
Traduction par Henry Cochin. Edition limitée à 475 exemplaires, un des 32 sur papier Japon de Shidzuoka contenant une suite d'épreuves du frontispice et des six bandeaux tirés sur Chine. Alfred Latour (1888-1964) est un artriste peintre, graveur, graphiste, photographe, qui à aussi touché à la publicité, et a longuement contribué aux catalogues des vins Nicolas.
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[ J. Techener] - DE L'ORME, Philibert ; (CHEVALIER, Abbé C.) ; GALITZIN, Prince Auguste
Reference : 63746
(1864)
5 vol. in-8 reliure demi-basane marron, dos à 2 séries de nerfs, super libris du Château de Lauzun en mors, couverture conservée, coll. Archives Royales de Chenonceau, J. Techener, Paris : ] Pièces historiques relatives à la Chastellenie de Chenonceau sous Louis XII, François Ier et Henry II, Diane de Poitiers et Catherine de Médicis, publiées pour la première fois d'après les originaux, et avec une introduction par l'abbé C. Chevalier, 1864, clxxix-198 pp. avec frontispice [ On joint : ] Debtes et créanciers de la Royne Mère Catherine de Médicis. 1589-1606. Documents publiés pour la première fois d'après les Archives de Chenonceau, avec une introduction, par M. l'abbé C. Chevalier, 1862, lxix-136 pp. [ On joint : ] Comptes des receptes et despences faites en la chastellenie de Chenonceau par Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois, dame de Chenonceau et autres lieux, 1864, 312 pp. [On joint : ] Inventaire des meubles, bijoux et livres estant à Chenonceaux le huit janvier MDCIII, précédé d'une histoire sommaire de la vie de Louise de Lorraine, Reine de France, suivi d'une notice sur le château de Chenonceau. Paris, Techener, 1856, XIV-77 pp. avec un portrait en frontispice, [Suivi de : ] Les Triomphes faictz Les Triomphes faictz à l'entrée de Françoys II et de Marye Stuart au chasteau de Chenonceau le dymache, dernier jour de mars MDLIX, 1850, viii-20 pp. [ On joint : ] Lettres et Devis de Philibert de l'Orme et autres pièces relatives à la construction du Château de Chenonceau, 1864, 241 pp. et 1 f. avec 1 gravure du château en frontispice
Rare exemplaire bien complet réunissant les 6 titres de cette belle édition soignée et imprimée sur un très beau papier vergé, publiée par l'abbé Casimir Chevalier. Ce dernier avait été sollicité par René de Villeneuve pour l'inventaire et la publication des archives de la seigneurie de Chenonceau ; cachées lors de la Révolution par l'abbé Lecomte, elles avaient été retrouvées en 1859, parfaitement conservées. Bon ensemble (dos un peu passé, mouill. dans le volumes des "Debtes", bon exemplaire par ailleurs, ex-libris aux armes échiquetées du Comte Folchi).
, , 1749-1750. 2 vol. in-12 à 15 lignes par page, texte encadré, de (8)-554 pp. ; (4)-509 pp., veau brun glacé, filets dorés sur les plats, dos orné à nerfs, pièce de titre "Oeuvres de H.M.R.D." en maroquin fauve, gardes de papier dominoté, tranches dorées (reliure de l'époque).
L’ensemble des quatre romans inédits d'Honoré Marie Regnier du Tillet s'inscrit dans le cadre d'une expérience littéraire singulière, née d'une mission administrative ordinaire, mais marquée par une réflexion profonde sur le genre du récit et la dynamique du sentiment dans la littérature. À vingt ans, l’auteur fut chargé de rédiger un « journal du voyage fait par la Maison du Roi » pour accueillir la Dauphine, Marie-Thérèse d'Espagne, en 1745, un événement diplomatique crucial sur la Bidassoa, à la frontière franco-espagnole. Ce journal, rédigé sous le regard d’un jeune fonctionnaire, ne possédait, selon ses propres termes, qu’un « intérêt sec » et un attrait limité à l’événement qu’il documentait. Cependant, le manuscrit initial, jugé trop austère, suscita l’intervention de la duchesse de Brancas, dame d'honneur de la dauphine, qui conseilla à l'auteur de romancer son récit en y introduisant deux histoires de sa propre invention, afin d’ajouter un « intérêt plus vif » au texte.L’auteur soumet son manuscrit aux conseils avisés de la marquise de Gomez, romancière de son époque, qui y apporta des ajustements stylistiques et structurels. Ce geste transformera un simple document administratif en un outil de création littéraire, donnant naissance à deux premiers romans sentimentaux : Le Prix de la vertu et Le Généreux armateur, datés du 1er janvier 1749. Ces romans, en dépit de leur naissance dans l'univers de la fonction publique, sont empreints d’une forte composante émotionnelle, reflet d’une société qui valorisait la sensibilité et la galanterie. L’épître dédicatoire qui accompagne ces ouvrages est révélatrice du lien entre l'écrivain et sa marraine littéraire, soulignant l’importance de l’échange intellectuel dans la construction de son oeuvre.Dans Les Vrais triomphes du sentiment, Regnier du Tillet s’engage dans une critique acerbe du roman de Jean Galli de Bibiena, Le Triomphe du sentiment, publié en 1750. Ce geste critique témoigne de la réflexion de l’auteur sur le rôle de la littérature sentimentale dans la société de son époque, et sur la manière dont les auteurs manipulent les affections humaines pour les inscrire dans un cadre moral. Le roman Relache à Malaga, né d’une traversée maritime ennuyeuse, illustre la manière dont l’écriture peut se nourrir des expériences quotidiennes et banales, donnant naissance à un genre littéraire qui s'inscrit dans le prolongement de la culture de la mer et de l'administration navale.Par la suite, Regnier du Tillet poursuivit une carrière dans l’administration de la Marine, avant de devenir un membre respecté de l’académie royale de marine et un acteur politique en Corse, où il fut élu député suppléant à l'Assemblée législative. Loin d’être seulement un écrivain, Regnier du Tillet incarne un homme de son époque, mêlant devoir administratif et ambition littéraire. L’influence de ses expériences de fonctionnaire, de marin et de critique littéraire se fait sentir tout au long de son œuvre, qui, tout en restant ancrée dans les préoccupations de la société de son temps, trouve une dimension universelle dans ses questionnements sur le sentiment et la vertu.Précieux recueil des oeuvres manuscrites restées inédites d'Honoré Marie Regnier Dutillet dont aucun des titres n'apparaît au catalogue de la BnF. Manuscrit calligraphié orné à l'encre noire de bandeaux, 2 frontispices (68 x 125 mm) et 7 en-tête (68 x 35 mm). Ex-libris "G.O." non identifié.[Regnier du Tillet] Doneaud Du Plan (Alfred), Histoire de l’Académie de Marine, Paris, Berger-Levrault, 1878.
S.l. [Paris], s.d. (1807) in-8, [3] pp. n. ch., couvertes d'une écriture moyenne et lisible (environ 30 lignes par page), nombreuses ratures et biffures, en feuille.
Brouillon d'une recension critique d'un recueil de pièces en vers éminemment flatteurs publié en août 1807 : Les Triomphes, et la paix. Son auteur, Jean-Baptiste "Publicola" Chaussard (1766-1823), fils d'un architecte connu, ancien commissaire de la Convention en Belgique, puis chef des bureaux du Comité de salut public, avait été un des protégés de La Reveillière-Lépeaux et adhéra à la théophilanthropie. Il fallut bien le recaser sous le Consulat et l'Empire : ses amis le firent nommer, en 1803, professeur au collège de Rouen, d'où il passa, l'année suivante, à celui d'Orléans. En 1805, il obtint la place de professeur de poésie latin à l'Académie de Nîmes ; et deux ans après, il fut autorisé par Jean-Pierre Louis de Fontanes, Grand-Maître de l'Université, à rester à Paris, comme chargé de travaux classiques, en conservant son traitement et son titre.Quant à l'auteur de la critique, qui signe la pièce, il s'agit de Pierre-Nicolas André-Murville (1754-1815), gendre de Sophie Arnould, et qui déploya une grande activité littéraire dans les deux domaines de l'art dramatique et de la poésie. Ce qui n'a pas empêché les contemporains de le juger en-dessous du médiocre et lui-même de mourir dans l'indigence. Nous ignorons pour quelle revue cette critique a été composée, et si même elle a connu une publication.Quérard II, 164 (pour le recueil de Chaussard). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
# AUTEUR: Pétrarque # ÉDITEUR: Perrin Didier # ANNÉE ÉDITION: 1903 # COUVERTURE: impr. rouge et noir # DÉTAILS: In 12° broché XXIV + 323pp. Traduction nouvelle avec introduction et notes par Fernand Brisset. Cette oeuvre, que l'on s'accorde à nommer depuis longtemps le ”Canzoniere”, est divisée en quatre parties: poésies à Laure vivante, à Laure morte, poème en douze chants intitulé Triomphes, et poésies diverses.( préface) # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: Très bon état, en partie non coupé
, Paris, Leon Pichon, 1923.**, Relie de l' epoque, demi - maroquin rouge, fil.a froid sur les plats, plats marbre rouge, dos a nerfs (5), piece de titre dore, plats de papier marbre 21x26,5cm, couverture d' editeur, 127pp (6), illustre par Latour.
Traduits par Henry Cochin et orne de vignettes gravees sur bois par Alfred Latour. N?° 174 de 444 exemplaires numerote sur verge a la forme des papeteries d' Arches.