Paris, Droz, 1936 ; 2 vol. in-8 - XI-425pp. - 663pp. Broché. Bon état
Reference : 1050
(I)- La vie et ses rapports avec l'oeuvre. La conception de l'oeuvre. (II) - L'élaboration de l'oeuvre. La réalisation de l'oeuvre. De son vivant, Chénier ne publia que des articles et des poèmes. Henri de Latouche, Beq de Fouquières, Gabriel de Chénier neveu du poète éditèrent respectivement en 1819, 1862 et 1874 ses uvres. La veuve de Gabriel Chénier légua à la Bibliothèque nationale de France les papiers dAndré Chénier. C'est déjà Paul Dimoff qui entreprit, en 1903, la publication des uvres complètes du poète. Il arrête malheureusement sa présente étude à l'année 1790, date du retour d'Angleterre de Chénier, et des débuts de son engagement politique. Son opposition aux violences révolutionnaires lui vaut d'être décapité en juillet 1794.
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Paris, Droz, 1936, gr. in-8vo, (25.5x16.5 cm), 425 p. / 663 p., exemplaire non coupé, brochures originales, bel exemplaire.
Édition originale. Tome 1 : La vie et ses rapports avec l’oeuvre. La conception de l’œuvre. Tome 2 : L’élaboration de l’œuvre. La réalisation de l’œuvre. L’ouvrage a été réimprimé à Genève par Slatkine en 1970.Pour l'arracher à un amour malheureux pour une chanteuse de l'Opéra (sa Lycoris), on lui ménagea un stage d'élève officier à Strasbourg en 1782; mais il se vit fermer la carrière militaire comme roturier. Reportant désormais toute son ambition vers la poésie, quoique sans publier, il conçut de grands projets, avec l'espoir de devenir "l’Homère des modernes".Cependant, après un voyage en Suisse en 1784 (chapitre V du T. 1), il composa surtout des Élégies et des Bucoliques, où l'imitation des modèles antiques lui servait l'expression esthétique d'une inspiration orientée par sa passion pour la mondaine Michelle Guesnon de Bonneuil (appelée D'Azan ou Camille), puis par son amitié amoureuse pour la peintre italo-anglaise Maria Cosway née Hadfield, épouse de Richard Cosway, courtisée par l'ambassadeur américain Thomas Jefferson.À partir de février 1787, au retour d'un rapide et mystérieux voyage en Italie, il s'occupa plus activement de poèmes philosophiques et satiriques qui portent la marque du climat idéologique et politique de l'époque pré-révolutionnaire; mais sa situation précaire l'obligea à contenir sa combativité.Engagé comme ambassadeur privé du Marquis de la Luzerne, ambassadeur de France en Angleterre, il partit le 1er décembre 1787 en compagnie de Maria Cosway, qui rentrait à Londres, où il resta en service jusqu'en 1790, tout en disposant chaque été d'un congé à Paris. cf. Reichler & Ruffieux: Le voyage en Suisse, anthologie des voyageurs français et européens, p. 778.
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P;, librairie Droz, 2 volumes, In-4, br., 425 et 663 pp.