Genève, Skira 1981, 345x315mm, 151pages, reliure d'éditeur sous jaquette. Bel exemplaire.
Reference : 50786
photos couleurs et n/b, richement illustré,
Bouquinerie du Varis
M. Daniel Monney
Route de Léchelles 36
1773 Russy
Canton de Fribourg Switzerland
41 26 323 23 43
Nous expédions les livres dès réception de votre paiement. Vous avez la possibilité de nous retourner les livres commandés. Aux conditions suivantes: • Si le titre ne correspond pas à votre commande. • Si l’état du livre ne correspond pas à la description que nous en avons faite. • Si le retour est fait dans les 15 jours. • Si le retour est fait dans le même emballage, comme vous l’avez reçu. • Si le retour est accompagné d’un écrit mentionnant les motifs. Ces conditions étant remplies, nous nous engageons à rembourser au client le prix des livres, sans les frais de port. Uniquement pour la Suisse, possibilité de payer sur facture sous 30 jours dès réception de la commande. Lieferkonditionen Wir versenden die Bücher nach Eingang Ihrer Zahlung. Sie können die Bücher zurückbeordert. Die folgenden Bedingungen: • Wenn der Titel nicht mit Ihrer Bestellung. • Wenn sich der Zustand des Buches nicht mit der Beschreibung entsprechen wir gemacht haben. • Wenn die Rückgabe innerhalb von 15 Tagen. • Wenn die Rückgabe im gleichen Paket gemacht wird , wie Sie haben es empfangen. • Wenn die Rückkehr erfolgt durch schriftliche Erwähnung der begleitet Gründen. Diese Bedingungen sind erfüllt, werden wir dem Kunden den Preis der Bücher erstatten, ohne Porto. Nur für die Schweiz können die Rechnung innerhalb von 30 Tagen nach Erhalt der Bestellung zu bezahlen. Terms of Delivery We ship the books upon receipt of your payment. You can return the books ordered. The following conditions: • If the title does not match your order. • If the book's condition does not match the description we have made. • If the return is made within 15 days. • If the return is made in the same package as you have received it. • If the return is accompanied by a written mentioning the reasons. These conditions are fulfilled, we will refund the customer the price of books, without postage. Only for Switzerland can pay the invoice within 30 days upon receipt of the order. Terminos de envio Enviamos los libros a la recepción de su pago. Puede devolver los libros ordenados. Segun las siguientes condiciones: • Si el título no se corresponde con su pedido. • Si la condición del libro no coincide con la descripción que hemos hecho. • Si la devolución se hace dentro de 15 días. • Si la devolución se hace en el mismo paquete que se ha recibido. • Si la devolución se acompaña de un escrito mencionando los motivos. Estas condiciones se cumplen, se reintegrará al cliente el precio de los libros, sin gastos de envío. Sólo para Suiza pueden pagar la factura dentro de los 30 días tras la recepción de la orden. Os termos de evnio Nós enviamos os livros após o recebimento do seu pagamento. Você pode devolver os livros encomendados. As seguintes condições: • Se o título não corresponde ao seu fim. • Se a condição do livro não corresponder à descrição que fizemos. • Se o retorno é feito no prazo de 15 dias. • Se o retorno é feito no mesmo pacote como você o recebeu. • Se o retorno é acompanhado por uma escrita mencionando as razões. Estas condições são cumpridas, iremos reembolsar o cliente o preço dos livros, sem portes. Apenas para a Suíça pode pagar a fatura no prazo de 30 dias após o recebimento da ordem.
Paris, Réunion des musées nationaux, 1981 ; in-8 carré, environ 264 pp., broché. Exposition qui s'est déroulée au Grand Palais, du 30 janvier au 27 avril 1981. Jacob-Abraham-Camille Pissarro, dit Camille Pissarro, né à Saint-Thomas (Îles Vierges), le 10 juillet 1830 et mort à Paris, le 13 novembre 1903, est un peintre impressionniste puis néo-impressionniste français, d'origine danoise. Connu comme l'un des «pères de l'impressionnisme», il a peint la vie rurale française, en particulier des paysages et des scènes représentant des paysans travaillant dans les champs, mais il est célèbre aussi pour ses scènes de Montmartre, et ses scènes autour du Louvre et des Tuileries, où il descendait. À Paris, il eut entre autres pour élèves Paul Cézanne, Paul Gauguin, Jean Peské et Henri-Martin Lamotte.
S.n., Paris 1928, 16x24,5cm, broché.
Edition originale de ce catalogue de la deuxième partie de la vente de la collection Camille Pissarro qui s'est déroulée les vendredi 7 et samedi 8 Décembre 1928. Ilustrations hors-texte. Piqûres sur les tranches, dos et plats légèrement et marginalement passés sans gravité, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (23 janvier 1894), 22,6x17,5cm, 2 pages sur un double feuillet déplié.
Lettre autographe signée de Paul Signac adressée à Camille Pissarro, rédigée à l'encre noire sur deux pages et signée d'un monogramme de l'artiste. Cette lettre a été retranscrite dans l'article de Pierre Michel et Christian Limousin intitulé "Octave Mirbeau et Paul Signac - Une lettre inédite de Signac à Mirbeau" (inCahiers Octave Mirbeau, n° 16, mars 2009, pp. 202-210). "Mon cher Maître, Cela vous ennuirait-il [sic]d'écrire à Mirbeau qu'un Signac, à votre avis, ne ressemble pas plus à un Seurat qu'un Hokousai à un Hiroshigé... si toutes fois (sic) le reproche d'imitation dont il cherche à m'accabler vous semble injuste. L'amitié que vous m'avez toujours témoignée et les compliments que vous avez bien voulu faire de mes toiles, m'autorisent à vous demander ce service. Cordialement. PS" Belle lettre dans laquelle Paul Signac cherche l'appui de son maître Camille Pissarro après une critique acerbe publiée par Octave Mirbeau dansL'Echo de Paris. Dans ledit article, le premier à la Une de L'Echo de Paris du 23 janvier 1894, Octave Mirbeau n'épargne en effet pas Signac: «M. Signac a voulu continuer Seurat. Je ne puis me faire à sa peinture. Je ne méconnais pas ses qualités mais elles disparaissent sous l'amoncellement de ses défauts. Ce qu'on admettait de Georges Seurat [...] on le comprend moins chez M. Signac qui n'en est que l'adepte trop complaisant et trop littéral. Et puis cette continuelle sécheresse me choque. M. Signac fait la nature immobile et figée. Jamais le vent n'a secoué la surface inerte de ses mers, ni tordu les branches de ses pins, ni animé l'éternelle fixité de ses nuages, la raideur cartonnée de ses ciels. Il ignore le mouvement, la vie, l'âme qui est dans les choses. [...] Il serait peut-être temps, pour notre joie, que M. Signac voulût bien nous donner du Signac. Je crois qu'il le peut.» Pourquoi cette obsession pour Seurat? «En ce début d'année 1894, la position de Mirbeau, de Geffroy, de Pissarro et que quelques autres, est de considérer que le néo-impressionnisme est bel et bien mort en 1891 avec la disparition de Seurat.Le regard rétrospectif qu'ils jettent sur cette aventure artistique les conduit à penser qu'il ne s'agissait nullement d'un prolongement, d'une continuation de l'impressionnisme par des voies nouvelles (scientifiques), mais bien d'une réaction contre lui, voire d'une liquidation pure et simple du mouvement.» (Cahiers Octave Mirbeau). La réponse de Pissarro à Signac, elle-même transcrite par Michel et Limousin, ne se fait pas attendre: cela «[l]'ennuirait d'écrire ce que vous me demandez à Mirbeau, et cela pour plusieurs raisons. [...] Premièrement parce que je suis en froid avec lui, vous le savez bien. Deuxièmement parce que, pour vous-même, il ne sied pas de discuter l'opinion d'un critique, même étant persuadé d'être dans le vrai, et, si vous voulez franchement ma façon de penser et que je suis heureux d'avoir l'occasion de vous exprimer, je trouve que la méthode même est mauvaise. Au lieu de servir l'artiste, l'ankylose et le glace. Si je vous ai fait des compliments cette année, c'est parce que j'ai trouvé vos dernières toiles mieux que celles que vous aviez exposées aux Indépendants, mais je suis loin de trouver que vous êtes dans la voie qui convient à votre tempérament essentiellement peintre et si, jusqu'à présent, je ne vous ai rien dit à ce sujet, c'est parce que j'étais sûr de vous être désagréable et, somme toute, mes convictions peuvent ne pas être partagées par vous. Réfléchissez mûrement et voyez si le moment n'est pas venu de faire votre évolution vers un art plus de sensation, plus libre et qui serait plus conforme à votre nature.» «Dépité, et privé de l'autorité d'un maître vénéré par le critique, Signac en est réduit à élaborer lui-même, et sans plus attendre, la réponse à adresser à Mirbeau [...]» (ibid.) Cette réponse prend la forme d'une longue lettre rédigée le même jour que celle que nous proposons et aujourd'hui conservée au Harry Ranson Center de l'Université d'Austin (Texas): «Je reconnais hautement que c'est Seurat qui a instauré la technique néo-impressionniste et lui en laisse toute la gloire mais il me serait facile de vous prouver par la suite de mes tableaux qu'il n'y a jamais eu chez moi transition brusque causée par l'influence de Seurat, mais bien une logique d'évolution qui m'a amené à le rencontrer. Nous sommes arrivés à ce carrefour par des voies bien différentes.[...] Mais, c'est plein d'ardeur, qu'encouragé par les compliments que le cher Camille Pissarro m'a bien voulu faire sur mes derniers envois, et par la petite fleur d'espoir que vous voulez bien laisser percer sous vos critiques je me remets au dur et bon travail. » (23 janvier 1894). Et Signac se «remet au travail»: «il saura parfaitement rebondir et tirer son épingle du jeu. Peu à peu, à Saint-Tropez où il s'est installé, sa technique évolue. Grâce à la pratique de l'aquarelle (conseillée par Pissarro...), il rompt avec les formes trop strictes du pointillisme et trouve la spontanéité qui lui faisait défaut. En 1895, sa touche s'élargit, il abandonne le point.[...] Quant à Mirbeau, il ne restera pas insensible à l'évolution de Signac. En 1905, il loue ses « frémissantes aquarelles» et range le peintre parmi ceux qui, bien qu'ignorés par l'Etat et réprouvés par l'Institut, «maintiennent intacte la réputation artistique de la France». » (ibid.) Document capital pour la compréhension de l'uvre de Signac et précieux témoignage d'une importante période transitionnelle pour l'artiste. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[Camille Orovida Pissarro] - Pissarro, Ludovic Rodo and Lionel Venturi
Reference : 036698
(1939)
Pissarro, Ludovic Rodo and Lionel Venturi: Camille Pissarro. Son art - son oeuvre. 2 vols. Paris: Rosenberg, Paul, 1939. I: Texte. 344pp; II: Planches. 1632 monochrome illustrations. Hardback. 31x24cms. Original edition of the catalogue raisonné, listing 1668 paintings, gouache and tempera paintings, pastels, fans and paintings on faience, and giving exhibitions, bibliography and provenance where appropriate. With extensive bibliography, list of collections. Text in French.
Original edition of the catalogue raisonné, listing 1668 paintings, gouache and tempera paintings, pastels, fans and paintings on faience, and giving exhibitions, bibliography and provenance where appropriate. With extensive bibliography, list of collections. Text in French
Paris, Paul Rosenberg, 1939 2 vol. in-4, XII pp., pp. 13-342, un f. n. ch. de table ; [3] ff. n. ch., 312 planches réunissant 1668 figures, un f.n.ch., toile bleue, premières couvertures conservées (reliure de l'éditeur). Première couverture du vol. I détachée.
Un des 1000 exemplaires numérotés à la presse (791/1000). Première tentative de catalogue raisonné des oeuvres de Camille Pissarro (1830-1903).Ludovic-Rodolphe, dit Ludovic Rodo Pissarro (1878-1952), un des fils de l'artiste, fit également une carrière de peintre et de graveur, comme la plupart de ses frères et soeurs. De plus, il consacra particulièrement vingt années de sa vie à classer et conserver les archives paternelles (comme la correspondance échangée par Camille Pissarro et Théo van Gogh, propriété de Ludovic-Rodo avant son transfert au musée Van Gogh d'Amsterdam), constituant simultanément le catalogue raisonné de l'œuvre de son père. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT