1921 Paris Librairie Académique Perrin et Cie 1950 - In-8 broché - Faux-titre, titre, 2 feuillets non chiffrés (dédicace et avant-propos) - Frontispice & Illustrations NB PP HT, soit 12 HT - 451 pages et 2 feuillets non chiffrés (tables des gravures et des chapitres) -.Bel Exemplaire - Envoi rapide et soigné - Réf. 5053
Reference : 5053
- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
A l's.p.rance
Gilles Porcherot
1 rue Magenta
29200 Brest
France
06 81 23 31 48
Emballage gratuit, assurance et frais d'expédition en recommandé à la charge du Client. Toute commande téléphonique devra être confirmé par écrit (lettre ou e-mail sp.rance@orange. fr. Les ouvrages seront expédiés après le règlement de la facture pro-format pour le montant exact de la somme en euros (€). Le règlement peut se faire par chèque ou virement bancaire. PAS DE PAIEMENT PAR PAYPAL. Passé un délai de 15 jours, les ouvrages non réglés seront remis en vente. En cas de litige, seuls les tribunaux de Brest seront compétents. <br />
Paris 1921 Perrin et Cie Mass Market Paperback
De Roi Louis XVII et l'Enigme Du Temple, Perrin et Cie, broché, illustrations b/n, 451 pp, 20 x 13 cm
Perrin, 1932, in-8°, (8)-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, reliure demi-basane fauve éditeur, dos à faux-nerfs orné de fleurs de lys et d'un symbole révolutionnaire, tête dorée, couv. conservées, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Perrin, 1930, in-8°, ii-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, broché, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
1921 1921. G. Lenotre: Le roi Louis XVII et l'énigme du temple/ Librairie Académique 1921
Etat correct
Paris Perrin 1927 -in-8 demi-chagrin un volume, reliure demi-chagrin havane in-octavo Editeur (binding half shagreen in-8 Editor)(20,2 x 13,5 cm), dos 4 nerfs (spine with raised bands), Auteur et Titre frappés "or" (gilt title) avec un filet "or" de part et d'autre, entre nerfs à fer central "or" faisceau de Licteur (emblème révolutionnaire) avec un fleuron à froid de part et d'autre reliés ensemble par 2 filets "or" verticaux, le tout dans un encadrement d'un filet "or" avec fleur de lys "or" aux angles, roulette vaguelette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre et en tête et en pied, papier peigné aux plats (cover with painting paper), tête lisse dorée (gilt top edge), gouttière et tranche de queue non-rognées, marque-page en tissu vert (bookmark in tissue), dos et couverture d'origine imprimés en noir et rouge conservés, orné d'un frontispice et de 5 hors-texte en noir sur papier glacé (dont une planche double + 5 plans hors-texte en noir de la petite tour du Temple + une Elevation des Tours du temple hors-texte en noir, IV + 455 pages, 1927 à Paris Perrin Editeur,
dans sa superbe reliure Editeur ........ RARE ....... en trés bon état (very good condition). en trés bon état