Tiré à part de la nouvelle revue encyclopédique, avril 1847 - in-8 - broché - Pagination 33 à 47 - Exemplaire non coupé - Propre - Envoi rapide et soigné
Reference : 26972
Guillaume du Vair : Paris, 7 mars 1556 , Tonneins, 3 août 1621 - Prélat, homme politique et écrivain moraliste français. Considéré par un grand nombre de ses contemporains comme le magistrat le plus éloquent du siècle. Garde des sceaux sous Louis XIII. Traducteur d'Épictète, il prônait l'acceptation stoïque de « la condition humaine ». Fâce à un monde corrompu, il préférait le devoir civique au retrait monastique, comme il la dit dans son Exhortation à la vie civile - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
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Paris, Société francaise d'imprimerie et de librairie, s.d. (vers 1907); in-8, 463 pp., br. Broché en bon état ptes usures envoi a son fils(signé)Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907. 464 pp, biblio, index, broché, bon état. Edition originale Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908).
Broché en bon état ptes usures envoi a son fils(signé)Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907. 464 pp, biblio, index, broché, bon état. Edition originale Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908).
Sirey, 1915, 255 p., in-8 rel. 1/2 toile verte, ouvrage édité par Jacques Flach et F. Funck-Brentano, un portrait de Guillaume Du Vair, reliure neuve, couvertures conservées, dos muet, très bon état
L'éminent magistrat Guillaume Du Vair s'évertue de faire entrer la morale dans la politique de son temps
Paris, Librairie de la Société du Recueil Sirey, 1915. "14 x 18, 255 pp., broché, état moyen (couverture défraîchie; dos abîmé)."
Orné d'un portrait de Guillaume du Vair.
P., Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907, gr. in-8°, 464 pp, biblio, index, reliure demi-chagrin bleu nuit, dos à 5 nerfs, tête dorée, bel exemplaire. Edition originale, envoi a.s.
Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908)
P., Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907, gr. in-8°, 464 pp, biblio, index, broché, bon état. Edition originale
Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908)