PARIS, Aubier Montaine - 1980 - In-4 carré - Reliure éditeur - Nombreuses illustrations dans le texte et hors texte noir et blanc - 118 pages - Bon exemplaire
Reference : 20077
ISBN : 2700702107
- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
A l's.p.rance
Gilles Porcherot
1 rue Magenta
29200 Brest
France
06 81 23 31 48
Emballage gratuit, assurance et frais d'expédition en recommandé à la charge du Client. Toute commande téléphonique devra être confirmé par écrit (lettre ou e-mail sp.rance@orange. fr. Les ouvrages seront expédiés après le règlement de la facture pro-format pour le montant exact de la somme en euros (€). Le règlement peut se faire par chèque ou virement bancaire. PAS DE PAIEMENT PAR PAYPAL. Passé un délai de 15 jours, les ouvrages non réglés seront remis en vente. En cas de litige, seuls les tribunaux de Brest seront compétents. <br />
s.d. (1938), Carton : 31,8x39,5cm / photographie : 27,4x35,2cm, une photographie contrecollée sur carton.
Portrait photographique original de Sigmund Freud, réalisé par Engelman en 1938, tirage argentique de l'artiste d'après le négatif original retrouvé en 1952. En effet, après la Nuit de Cristal, le jeune photographe juif Edmund Engelman (1907-2000) s'enfuit aux États-Unis laissant derrière lui les précieux mais compromettants négatifs de cette séance photographique clandestine. Il ne les récupérera qu'après la Seconde Guerre mondiale, en 1952, auprès de la fille du psychanalyste, Anna Freud. Envoi autographe signé du photographe Edmund Engelman en marge basse du cliché?: «?à Nadine Nimier. Cordialement Edmund Engelman.?» Nadine Nimier fut l'épouse de l'écrivain Roger Nimier. Elle anima «?Les Après-midi de France Culture?», émission dans laquelle elle reçut certaines éminences de la psychanalyse notamment Jacques Lacan et Françoise Dolto. C'est le 20 janvier 1980 qu'elle interviewa Edmund Engelman, alors en visite à Paris pour l'exposition de ses photographies à la galerie Erval. Très beau portrait du fondateur de la psychanalyse, réalisé en mai 1938, peu de temps avant son départ de Vienne vers Londres. Cent-six clichés furent réalisés lors de cette visite clandestine d'Engelman à Freud au 19 de la rue Berggasse à Vienne. Parmi celles-ci, on connaît beaucoup de photographies représentant le cabinet et les uvres d'art du psychanalyste, mais l'artiste ne réalisa que quelques portraits du maître. Cette séance photographique fut réalisée à la demande d'August Aichhorn et témoigne des derniers instants du berceau de la psychanalyse, discipline désormais interdite sous le régime nazi?: «?Le dimanche 13 mars, une séance du comité de direction de la Société Viennoise de Psychanalyse a lieu et deux décisions sont prises?: tous les membres de la Société doivent quitter le pays le plus rapidement possible et le siège de la Société devra se trouver à l'endroit où Freud s'installera.?» («?August Aichhorn et la figure paternelle?: fragments biographiques et cliniques?» in Recherches en psychanalyse n°1, 2004) Edmund Engelman dans son ouvrage intitulé La Maison de Freud Berggasse 19 Vienne paru en 1979 raconte?: «?Je me rappelle à la fois ma surexcitation et ma peur, ce matin pluvieux de mai 1938, comme je marchais dans les rues désertes de Vienne en direction du 19, Berggasse. Je transportais mes appareils, mon trépied, mes objectifs et mes pellicules dans une petite mallette qui paraissait s'alourdir à chacun de mes pas. J'étais persuadé que n'importe qui saurait à me voir que j'allais chez le Dr Sigmund Freud, pour accomplir une mission dont les nazis n'auraient guère apprécié la teneur. [...] J'avais peur qu'il n'y eût pas assez de lumière pour bien photographier l'intérieur de la maison de Freud. Recourir au flash ou aux projecteurs était hors de question, puisque la Gestapo maintenait la maison sous surveillance constante. Ce document unique sur l'endroit où Freud avait vécu et travaillé au cours des quarante années passées, il faudrait l'exécuter sans éveiller le moindre soupçon. Je craignais pour ma propre sécurité comme pour la vie des Freud, et ne voulais pas me compromettre par un faux pas, alors qu'ils étaient si près de quitter Vienne sains et saufs. [...] Un week-end de 1933, j'eus le plaisir de rencontrer dans la résidence d'été d'un ami, en dehors de la ville, un certain August Aichhorn qui s'intéressait de près au champ extrêmement controversé de la psychanalyse et était, à ma vive curiosité, un intime du célèbre professeur Freud. [...] Nous fûmes très vite bons amis. [...] Il me confia que Freud, après un terrible harcèlement (perquisition des nazis chez lui, détention de sa fille Anna), avait finalement reçu la permission de partir pour Londres, grâce à l'intervention de hautes personnalités et de diplomates étrangers. Les Freud, me dit-il, se mettraient en route dans les dix jours. Le célèbre appartement et ses bureaux allaient être bouleversés à l'occasion du déménagement et du départ des propriétaires. Nous tombâmes d'accord sur le fait qu'il serait du plus grand intérêt pour l'histoire de la psychanalyse de réaliser un témoignage précieux et détaillé de l'endroit où elle avait vu le jour, afin, selon l'expression courageuse d'Aichhorn, qu'«?on puisse ériger un musée quand l'orage des ans sera dissipé?». [...] Connaissant mon intérêt et ma qualité de photographe, il me demanda si je m'estimais en mesure de prendre des clichés de la maison de Freud. Je fus enthousiasmé [...] Par-dessus tout, j'étais impatient de connaître Freud qui s'était alors retranché dans sa vie privée et entretenait peu de relations avec le monde extérieur.?» (Engelman, La Maison de Freud Berggasse 19 Vienne, 1979) Le photographe explique ensuite que Freud, très affaibli par la maladie, était censé être absent lors de la séance photographique, pourtant «?Le lendemain - troisième jour - tandis que je m'apprêtais à prendre quelques clichés complémentaires du bureau (éprouvant là pour la première fois un sentiment de routine), j'entendis de petits pas rapides se rapprocher. C'était Freud. Il avait modifié son trajet habituel inopinément et, revenant dans sa pièce de travail, m'y avait trouvé. Nous nous regardâmes avec un égal étonnement. J'étais troublé et confus. Il parut inquiet, mais demeura calme et placide. Je ne savais tout simplement pas quoi lui dire et restai muet. Fort heureusement, Aichhorn parut alors dans la pièce, et jaugea tout de suite la situation. Il expliqua à Freud l'objet de mon travail et me présenta. Nous nous serrâmes la main, évidemment soulagés. [...] Je lui demandai si je pouvais le photographier. Il y consentit gentiment et me pria de continuer mes prises de vue comme il me plairait. [...] Je proposais même, si ce pouvait être utile, et pour éviter tracas ou perte de temps, d'exécuter les photos nécessaires aux passeports. [...] Freud à ma demande, regarda légèrement de profil, ôta ses lunettes, et réagit par un sourire à l'une de ces remarques que font les photographes lorsqu'ils se préparent.?» La photographie décrite par Engelman est sans conteste celle que nous proposons. Malgré la description très détaillée de cet inhabituel cliché, il n'a pas été conservé pour l'illustration de l'ouvrage. Ce très rare portrait photographique du fondateur de la psychanalyse, pourtant pris quelques jours avant son exil et laissant apparaître les stigmates d'un cancer qui lui sera fatal, est l'unique image de lui laissant apparaître un sourire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Preses universitaires de France. 1956. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos fané, Papier jauni. 455 pages. Jaquette abîmée. Quelques rousseurs. Coins frottés. Quelques annotations.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire: Hommage à Sigmund Freud- Rapport sur mes études à Paris et Berlin (1886) par Sigmund Freud- Deux penseurs devant l'abîme- Extrait de ""La vie et l'oeuvre de Sigmund Freud"" par E. Jones- Essai psychanalytique sur l'argent par A. Amar- Freud et la dialectique de l'exogène et de l'endogène par C. Baudoin- La contribution de la psychanalyse à la psychologie génétique par Anna Freud-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Revue Française de psychanalyse - Revue Bimestrielle - Organe officiel de la Société Psychanalytique de Paris
Reference : 17601
(1977)
1977 N° 3, Tome XLI - mai-juin 1977 - Presse Universitaire de France - 153 pages
bon état
Freud Z. Leibin V.M. Sigmund Freud and Psychoanalysis in Russia: Works on Psychoanalysis. Freud and Russia. In Russian (ask us if in doubt)/Freyd Z. Leybin V.M. Zigmund Freyd i psikhoanaliz v Rossii: Raboty po psikhoanalizu. Freyd i Rossiya.. Series: Library of Psychoanalytics. Moscow Voronezh Moscow Psychological and Social Institute NGO MODEK. 2000. 528s. SKUalbe6d2fc98a14e28e7.
Sigmund Freud: Basic Psychological Theories in Psychoanalysis. In Russian (ask us if in doubt)/Freyd Zigmund (Sigmund Freud). Osnovnye psikhologicheskie teorii v psikhoanalize.. Collection of Articles). From the series Psychological and Psychoanalytical Library. Edited by Professor Yves D. Ermakov. Translated by Dr. M. V. Wolf introductory article by I. D. Ermakov M.-Petrograd State Publishing House 1923. 136 p. SKUalbaabe11e22c992d48.