PARIS, Ed. France-Empire - 1973 - In-12 - Broché - Couverture rempliée illustrée en couleurs - Illustrations NB HT - 334 pages - Très propre, bon exemplaire
Reference : 16611
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Albin Michel, 1985, in-8°, 244 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 5 cartes et plans, glossaire, chronologie, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Le 7 mai 1915, le “Lusitania”, un des plus beaux paquebots de l’époque, est torpillé par un sous-marin allemand au large de l’Irlande. Près de 1200 personnes disparaissent dans le naufrage, dont 124 citoyens américains ; l’émotion est considérable dans le monde entier. Depuis, le naufrage du “Lusitania” n’a cessé de susciter les plus vives passions et la curiosité des historiens et des chercheurs ; deux commissions d’enquête n’ont pu dissiper un authentique parfum de mystère. Le “Lusitania” a-t-il été victime, sinon d'une machination, tout au moins d’une négligence calculée de l’Amirauté britannique, désireuse de créer un fossé infranchissable entre l’Allemagne et les Etats-Unis ? La présence, soigneusement dissimulée, de munitions et d’explosifs à bord n’explique-t-elle pas que le navire ait coulé aussi rapidement, en moins de vingt minutes ? Certes, le torpillage du “Lusitania” n’a pas été la cause immédiate de l’intervention des Etats-Unis. Mais, dans un conflit passionnel, où la propagande jouait le rôle d’une véritable arme de guerre, il en a jeté les bases psychologiques. Au lendemain du drame du 7 mai 1915, l’opinion américaine avait acquis la conviction que l’Allemagne était porteuse des forces du mal. — "C'est la tragédie du 7 mai 1915 que retrace Philippe Masson dans cet ouvrage, avec une précision dans les détails qui en font un véritable reportage. Mais surtout il la replace dans le cadre général de la Grande Guerre : « Le plus beau paquebot du monde » finit torpillé en vue des côtes méridionales de l'Irlande par le sous-marin allemand U 20 que commandait le lieutenant de vaisseau Schwieger, entraînant la mort de 1198 passagers et hommes d'équipage – dont 128 Américains. Chiffre considérable certes, mais qui correspond à peine à une journée et demi des pertes subies quotidiennement par les armées francaises (environ 860 morts par jour). Or l'émotion et la réprobation sont si considérables que l'Allemagne doit limiter étroitement la guerre sous-marine. Comment les expliquer ? Elles naissent évidemment de la vision de la mort de civils engloutis dans des conditions souvent atroces, mais aussi du mouvement de rejet plus ou moins étendu, plus ou moins marqué qui accompagne l'apparition d'une arme nouvelle. Or le sous-marin semble d'autant plus inhumain que, contrairement aux règles anciennes, il ne peut pas, par nature, garantir le sauvetage des passagers et des équipages. Comment expliquer qu'un tel risque ait pu être pris, surtout à l'égard des Etats-Unis ? Philippe Masson étudie en profondeur les questions délicates que pose le “Lusitania”. Non seulement l'absence d'escorte et les étranges retards apportés à le secourir, mais aussi le rôle exact du paquebot. Classé comme croiseur auxiliaire, il transportait des munitions – 4200 caisses – ce qui explique et certaines explosions anormales et la rapidité du naufrage (p. 186) – et aussi peut-être des volontaires. Les autorités britanniques ont fait courir, sciemment ou par négligence, des risques au paquebot, et elles ont donné des arguments à l'adversaire pour justifier le torpillage. La question a même été posée d'une décision délibérée pour créer les conditions d'un grave incident germano-americain (p. 188 et s.). De toute manière il y a eu une véritable ironie tragique : la rencontre entre l'U 20 et le Lustania a été due à une manoeuvre soudaine du commandant Turner (p. 184) et le lieutenant Schwieger n'a découvert que pendant le naufrage le nom du navire qu'il venait de détruire... Ce livre remarquable par une érudition méticuleuse qui ne laisse aucun point délicat dans l'ombre se lit avec un intérêt qui ne faiblit jamais." (Guy Pedroncini, Guerres mondiales et conflits contemporains, 1987)
Un ouvrage de 334 pages, format 140 x 190 mm, illustré, broché couverture couleurs, publié en 1973, Editions France-Empire, bon état
Le torpillage du Lusitania par un sous-marin allemand en 1915
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Albin Michel 1985 256 pages 14x22x2cm. 1985. Broché. 256 pages.
Bon Etat intérieur propre
Impresso em Rouam [Rouen], por Laurens Maurry, 1649, in-8, [26] 381 [1] pp, portrait, Maroquin noir du XIXe siècle, dos à nerfs orné, roulettes et filets d'encadrement dorés et à froid, roulettes sur les coupes et en bordure des contreplats [Livraria Moraes], [Signatures: ã8-~e5 A-Z8 2A7] Édition originale de ce long poème nationaliste, rédigé à la gloire de Jean IV de Portugal par le poète marrane Manuel Tomás (1585-1665), illustré d'un titre-frontispice aux armes du Portugal et d'un portrait gravé de l'auteur. Ouvrage très rare. Nous disposons de peu d'information sur Manuel Tomás; il naquit à Guimarães et vécut presque toute sa vie sur l'île de Madère, dans un quasi isolement. Néanmoins, il participa à la propagande littéraire précédant la guerre d'Acclamation (guerre de la Restauration de l'Indépendance). Il fut assassiné à l'âge de 80 ans par le fils d'un forgeron. Cette édition a été mise en oeuvre par le capitaine Manuel Fernandes de Vila Real (1608-1652) : cet homme de lettres né à Lisbonne dans une famille de marchands d'origine judaïque, vécut en France pendant plus de dix ans; il y entra au service du comte da Vidigueira, ambassadeur du Portugal à Paris 1644. Manuel Fernandes était entièrement dévoué à la "cause lusitanienne", pour laquelle il écrivit et traduisit un grand nombre de pamphlets, publiés sans nom. À son retour à Lisbonne, il fut arrêté par l'Inquisition portugaise, qui l'accusa d'être l'un des personnages les plus actifs de la Nação portuguesa, la "nation juive portugaise", communauté juive regroupant des Portugais exilés en France. Manuel Fernandes de Vila Real joua un rôle important dans la diffusion de la littérature ibérique et fut au centre d'une intense activité éditoriale en France dans les années 1640, notamment à Rouen, où il organisa l'impression de plusieurs ouvrages; son dernier grand travail de publication est la présente édition de O Phaenix da Lusitania, en 1649, qu'il fit publier par son imprimeur de confiance, Laurent II Maurry. Quelques annotations marginales anciennes, un peu rognées. Une annotation ("estaõ emmendadas") ajoutée devant l'erratum final. Feuillets rognés court. Réparation en pied du portrait et à un feuillet (V3), petites galeries de vers en tête et en pied de quelques feuillets, sans toucher le texte, auréoles marginales claires. Coins usés. Au demeurant, agréable exemplaire, dans une intéressante reliure portugaise du XIXe siècle. Jaime Galbarro García, "Manuel Fernandes de Vila Real : la difusión de las letras castellanas y lusitanas en la corte de Ana de Austria", e-Spania, 27 | Juin 2017 [En ligne]. USTC n° 5022550. Couverture rigide
Bon [26] 381 [1] pp., portrait
Masson et cie. 24 mars 1923. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 177 à 192. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES
Sommaire : Le rendement des armes à feu au tir sur des êtres vivants par P. Medinger, Le celtium par A.T, Comment on pense relever le paquebot Lusitania par Sauvaire Jourdan, Le lézard par Alex. Feuillée-Billot, Les salses ou les petits volcans fangeux par J. Emile Barbier, Nettoyage et restauration des objets de collection par AB. Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES