à l'époque des émirs (1635-1841) . 1955 . Beyrouth , In 8° br. IV , 486 pp.12 planches en hélio (Couverture effrangée,la carte manque) .
Reference : 27471
Partiellement non coupé .
Librairie Crespin
Jean Claude Crespin
31 rue de Montescourt
02440 Clastres
France
Nos prix sont nets. Le port est à la charge du destinataire. Nos factures sont établies en Euros. Payables en cette monnaie. Nous acceptons les paiements par Chèque pour la France, virement postal. mandat national et international. Les ouvrages voyagent aux risques et périls du destinataire . En cas de litige le tribunal de Saint-Quentin sera seul compétent . Le fait de passer commande entraine l'acceptation pleine et entière des clauses ci-dessus .
Fayard, 1997, gr. in-8°, 528 pp, une carte, chronologie, biblio, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Soumis depuis l’Antiquité à de multiples dominations étrangères et en dernier lieu à celle des Turcs, le Liban voit s’éveiller un sentiment particulariste dès le XIXe siècle. Ainsi une partie de la population, refusant la conquête de la Syrie et du Liban par l’Egypte de Méhemet Ali, se soulève-t-elle en 1840. Une période de troubles débouche sur les massacres de 1860 et provoque l’intervention des puissances européennes. La paix est rétablie, mais le Liban est réduit à sa Montagne. Au Levant, chez les chrétiens comme chez les musulmans, le nationalisme se développe à mesure que décline la puissance du sultan ottoman : l’action souterraine des sociétés secrètes se conjugue avec la lutte ouverte de groupes politiques ou intellectuels formés par des émigrés établis au Caire, à Paris ou en Amérique. Les nationalistes entendent en revenir aux « frontières historiques » du pays. En 1919, quand la Porte – qui fait partie des vaincus de la Première Guerre mondiale – se voit éliminée des pays arabes par la conférence de la paix, et quand Londres et Paris se partagent l’« influence » au Proche-Orient, un « Grand Liban » est créé et placé sous mandat français. Une nouvelle bataille commence alors, à l’intérieur même du pays, entre ceux qui soutiennent le nouveau régime et ceux qui veulent le rattachement à la Syrie. Le rejet du mandat et la revendication de l’indépendance apparaissent quelques années plus tard. La Seconde Guerre, la défaite française, le conflit entre Vichy et la France libre, enfin la rivalité de celle-ci avec la Grande-Bretagne accélèrent et favorisent la fusion des diverses composantes – politiques, religieuses, etc. – de la nation libanaise pour aboutir à la pleine souveraineté en 1943. Nourri des travaux historiques les plus solides et éclairé par les dizaines d’entretiens obtenus par l’auteur durant les années 1970 et 1980 de la plupart des grands acteurs de cette histoire, cet ouvrage constitue un récit précis et vivant, riche en détails inédits, de la marche du Liban vers l’indépendance.
Beyrouth, Imprimerie Catholique 1955 In-8. Broché, IV + 486 pp., 1 tableau synoptique dépliant, XII planches en noir hors texte, 1 carte dépliante du Liban in fine. Pliures sur le dos, coupes de la ouverture légèrement effrangée, intérieur légèrement jauni, sinon bel exemplaire.
L’histoire du Liban sous les émirs reste un des chapitres les plus originaux de l’histoire de la Méditerranée orientale, annonçant les guerres balkaniques du XIXe et du début du XXe siècles, ainsi que la prise de conscience par les Turcs de leur destin au sein d’une communauté politique républicaine. Bon état d’occasion
Paris Librairie orientale et américaine G.P. Maisonneuve, M. Besson 1955 in-8 broché Paris, Librairie orientale et américaine G.P. Maisonneuve, M. Besson, 1955. 23,5 x 18,5 cm, XXIII - 230 pp., broché.
ENVOI autographe signé de l'auteur à un ami. Usures au dos sinon un bel exemplaire. Bon
Fayard, coll. « Biographies Historiques » 1997 In-8 cartonnage éditeur souple 23,5 cm sur 15,3. 530 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion