‎NOURY Pierre .‎
‎NOS DRAPEAUX .‎

‎Quelques Drapeaux françois, Dessinés et coloriés par Guy Arnoux.‎

‎ Edité par Devambez, à Paris, sans date (1917), grand in-folio de 485x330 mm environ, une chemise cartonnée illustrée avec dos toilé, fermée par un ruban tricolore, contenant 10 illustrations légendées pleine page couleurs de Guy Arnoux. Exemplaire N°16/500, un des 14 exemplaires numérotés de 12 à 25, sur papier Impérial du Japon avec un grand dessin original sur double-page et un petit dessin original au bas du justificatif de tirage. Couverture un peu salie avec petites rousseurs, intérieur bon état.‎

‎Guy Arnoux, né le 26 août 1886 à Paris 7e et mort le 5 août 1951 à Ardon (Loiret), est un artiste, illustrateur et graphiste français. Il a illustré près de quatre-vingts livres dont plusieurs grands formats d'une remarquable qualité d'impression chez Devambez (1917 : Quelques drapeaux français ; 1918 : Tambours et trompettes). À l'issue de la Guerre de 1914-18, il participe à de charmants petits livres pour les enfants : Le bon Anglais, Carnet d'un permissionnaire, Nos frères d'Amérique... Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

‎Nos drapeaux. Introduction du chef d'escadrons G.Demange et Préface de M. Le Maréchal Franchet d'Espérey‎

‎ 59 pages in-8. Sans date. 59 pages. In-8 59 pp.; Demi-cuir rouge à coins titre au dos en lettres dorées tranche sup. dorée. Bel ouvrage sur les drapeaux anciens contenant XXIX planches en couleurs tirées en lithographie chez Mourlot frères. Charnière fendillée sur toute la longueur plats frottés (passablement) intérieur très propre‎

‎DRAPEAUX , ECUSSONS, ORIFLAMMES, GUIRLANDES, ILLUMINATIONS ET TOUS ARTICLES POUR FÊTES, DRAPEAUX DE SOIE, BANNIERES, INSIGNES POUR SOCIÉTÉS (catalogue géneral).‎

‎Just-drapeaux-Paris (ancienne maison Just Boudvillain, Paris, 1926‎

‎Un catalogue in-8°, couverture souple éditeur, 1er plat orné d’un ensemble de drapeaux en couleurs, 32 pages. C’est un ensemble complet de drapeaux, pavillons pour toutes circonstances, d’oriflammes, de pavillons-réclames, d’écussons de toutes sortes, de lances, de hampes, d’enseignes sur calicot,d’écharpes pour Maires et adjoints, de bustes de la République, de tapis de tables, de draps mortuaires d’articles d’illuminations, de lanternes, de ballons en papier, de guirlandes en tous genres, de bannières pour fêtes et concours, de drapeaux riches pour sociétés diverses, de fanions , d’insignes en tous genres, de rubans, de décorations, de coiffures, d’articles divers pour fêtes, de spécialités pour carnaval et cotillon etc...Exemplaire portant quelques rares marques d’usage , présentant un grand nombre de modèles tantôt en noir, tantôt en couleurs. Avec de discrètes marques de manipulations mais globalement en TRES BON ETAT. ‎

‎Collection des drapeaux de l’armée nationale parisienne faits dans les districts de Paris en juillet 1789. Les drapeaux des districts de Paris dessinés par Moreau le Jeune‎

‎Les drapeaux de 30 districts de Paris dessinés par Moreau le Jeune dans la nuit du 18 juillet 1789. s.l.n.d. [Paris, 1789].Grand in-4 composé de 30 planches à pleine page montées sur onglets. Veau marbré, plats richement décorés de fleurons d’angle et roulettes dorées, dos à nerfs orné, roulette intérieure dorée. Reliure postérieure. 273 x 215 mm.‎

‎Le plus rare des livres français illustrés du XVIIIe siècle, de la plus grande rareté en coloris de l’époque. Cohen 248. Le présent exemplaire comporte la première des deux suites finement exécutées par Moreau le Jeune et imprimées successivement. Elle est composée de 30 planches, avec autant de drapeaux, dont la hampe est tenue par un garde national ; les planches sont numérotées 1 à 30. Les 30 planches sont ici en état avant la lettre, avec les légendes manuscrites. L’exemplaire Destailleur, le seul autre répertorié, possédait les légendes imprimées. On sait que ces estampes, « l’un des plus rares et jolis produits de la Révolution », auraient été dessinées, imprimées et coloriées en une seule nuit, le 18 juillet 1789 et que les dessins seraient l’œuvre de Moreau le Jeune. Les visages des gardes nationaux sont très bien dessinés et d'une grande diversité ; ils n'apparaissent qu'ici et ont été supprimés dans la réédition de 1790 qui ne présente que les drapeaux seuls. L'improvisation est évidente pour ces 30 planches qui constituent la première suite et dont les légendes sont manuscrites. Les drapeaux sont classés par bataillons et divisions. Ils rendent parfaitement l’esprit, la contingence, l’enthousiasme et la fébrilité des heures qui suivirent la prise de la Bastille. Précieux volume dont les 30 estampes dessinées par Moreau le Jeune ont été finement mises en couleurs à l’époque. L'exemplaire Destailleur, avec la lettre et non colorié, le seul répertorié par Cohen, fut adjugé 710 F or en 1891 (Vente Destailleur, N° 180) contre 150 F or pour l'exemplaire de la réédition de 1790 (Vente Destailleur, 1891, n° 181). Provenance : de la bibliothèque R. A. Chermside M.D. (ex-libris gravé).‎

‎Drapeaux d'ordonnance flammés des Régiments suisses de ligne permanents au Service de France de 1672 à 1792, précédés des drapeaux des deux premiers corps suisses permanents levés avant 1672.‎

‎ Lausanne, Delachaux et Niestlé, 1994, in-4°, 215 pp, préface de Jean-René Bory, très nombreuses illustrations en couleurs, la plupart en couleurs, répertoire des sources, biblio, index, reliure simili-cuir de l'éditeur, gardes illustrées, jaquette illustrée, bon état. Texte bilingue français-allemand‎

‎Le désir de Michel Rochat de mieux connaître les drapeaux flammés des régiments suisses au service de France et de perpétuer leur mémoire l'a conduit à établir tout d'abord l'ordre de succession des quelques 70 régiments les ayant arborés puis de procéder à leur recherche proprement dite. Celle-ci s'est révélée ardue car il en reste bien peu de ces drapeaux ! En France un seul apparemment au Musée de l'Armée à Paris ; en Suisse deux ou trois dans d'anciennes familles et moins de 10 dans des musées helvétiques, souvent mal ou pas identifiés. Par chance, au cours du XVIIIe siècle plusieurs artistes français se sont attachés à peindre les drapeaux de tous les régiments d'infanterie et ceux des régiments suisses y figurent en bonne place. Puisse cet ouvrage contribuer à donner une image de ces drapeaux flammés aussi juste que possible. ‎