P., N.R.F., 1925, in-4, br., 253 p. Edition originale. 1/109 ex. de tête réimposé sur vergé pur fil Lafuma-Navarre.
Reference : 451
J.-F. Fourcade - Livres anciens et modernes.
M. J.-F. Fourcade
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France
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État : Bon état - Année : 1984 - Format : in 8° - Pages : 185pp - Editeur : Fayard - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Couv un peu usagée, qqes petits plis sur les plats. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/gustave-thibon/3809-l-echelle-de-jacob?lrb
Cet ouvrage est la reprise, approfondie, de deux volumes précédents (Le Pain de chaque jour et L'Echelle de Jacob). Il nous donne les clefs d'un itinéraire de foi qui va vers Dieu à travers les étapes de la pauvreté, de l'amour, de la douleur, en dépit des obstacles du péché et du mensonge. Il nous explique en fait le sens chrétien de la vie sous tous ses aspects opposés et complémentaires. Dans ce livre, on retrouve le style très particulier de Gustave Thibon: de très courts chapitres, sous forme aphorismes, où tous les mots sont pesés et pensés. Par ce procédé, il provoque la réflexion, donne son point de vue tiré de sa propre expérience et laisse le lecteur apporter les conclusions en se révèlant à lui-même. Trop peu connu, Thibon est sans aucun doute un des grands philosophes du XXe siècle.
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[Librairie Vve Jules Renouard] - BIBLIOPHILE JACOB ; [ LACROIX, Paul ] ; Collectif
Reference : 34516
(1868)
1 vol. in-folio cartonnage éditeur pleine percaline doré, dos et plats (belle plaque au plat sup.), richement ornés, toutes tranches dorées, Librairie Vve Jules Renouard, Editeur, Paris, s.d. (circa 1850), 87 pp. avec 24 belles gravures hors-texte sous serpente. [ Contient : ] Conte de Fées (Jacob) - Mon Village (Eugène Muller) - La Fleur du Sang, Chant de la Sorcière (Jacob) - Madame Andersen (Henry Berthoud) - Les Légendes du Château d'Olipherne (Baron Taylor) - Les Petits Antiquaires (Jacob) - Comme il vous plaira (Hippolyte Lucas) - La Forêt de Milis (Emmanuel Domenech) - Damoclès, cantate (Jacob) - Le Barbier de Goettingue, conte fantastique (Gérard) - Henri IV chez Zamet (Jacob) - Journal de la Comtesse (Marquise de Blocqueville) - Le Pilori (Philarète Chasles) - Le Follet et l'Echo (Jacob) - Vivre aux champs (Jules Janin) - Le Muletier de Sanguessa (Cénac Moncaut) - Un tableau de Rembrandt (Bürger) - Jeux et Festins (Emile Deschamps) - L'Anniversaire (Lacroix) - Le Château d'Usson (Jacob) - Pompéia (Maurice du Seigneur) ; La Providence des pauvres gens (Tullie Blum) - La Folle par amour (Jules Janin) - Une Naissance malheureuse (Comte Apraxine)
Bon exemplaire (coiffe sup. très lég. frottée)
Imp. J.Merlas Bordeaux. 1951. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. Environ 36 pages agrafées - rousseurs sur les plats - deux illustrations en noir et blanc hors texte (un dessin de max jacob - photo de la foire d'octobre de Bordeaux Maurice Sachs,Jean-Loup Simian, Louis Emié, Max Jacob).. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Caricature ou presque par Max Jacob - i, amour du titien - conseils & confidences - quatre méditations chrétiennes - max jacob grand poète - max jacob druidique par Yanette Deltang-Tardif - quand j'écrivains une opérette avec Max Jacob par Henri Sauguet - les pierres de lune par Louis Emié - Max Jacob lampe du soir par Jean Rousselot - propos souvenirs & anecdotes de Max Jacob - prière de Max Jacob par Louis Emié. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Éditions Albert Morancé, 1921. 14 pages. 42 planches. Cartonnage d'éditeur. Demi-toile. Titre doré au dos. Georges Jacob, reçu maître en 1765, est le plus célèbre et aussi le plus prolifique des menuisiers en sièges du xviiie français. Il est le fondateur d'une dynastie ; deux de ses trois fils, Georges II Jacob et François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter, seront menuisiers et ébénistes, puis son petit-fils Alphonse Jacob-Desmalter prolongera la renommée du nom de Jacob jusqu'au règne de Louis-Philippe. C’est aux Frères Jacob que Joséphine Bonaparte commande des meubles délicats, aux formes nouvelles, pour sa maison de la rue Chantereine. Peu après, ils meublent l’hôtel de Madame Récamier, rue du Mont Blanc. Les ateliers de la rue Meslée ont produit un nombre de sièges dont il serait difficile de donner une estimation. Pour bien se rendre compte, il faut savoir qu'au plus fort de son activité, l'atelier de Georges Jacob, dans les années 1780, emploie plusieurs centaines d'ouvriers en même temps et que, sous l'Empire, la compagnie Jacob Desmalter emploie quelque 350 ouvriers.
1947 4 ff. anopistographes (27 x 20 cm, environ 36 lignes par page) densément raturés et corrigés, au verso d'un papier à en-tête du journal "Excelsior" + photocopie de la dernière page du texte (27 lignes). Circa 1947.
Première étape de l'article de Hertz sur Max Jacob, qui fut publié dans les Lettres françaises (n° 179, 1947), puis dans Europe (48:489, janv. 1970, pp. 137-41). La bibliothèque de l'Alliance Israëlite Universelle, où furent déposées une grande partie des archives Henri Hertz, dispose d'une étape plus avancée du manuscrit (également 4 ff. sur le même papier à en-tête, AP 5 / 15). Henri Hertz raconte dans cet article sa rencontre avec Max Jacob, chez Apollinaire, avec lequel il entretint des relations amicales, de même qu'avec Picasso. Sa contribution à la Phalange, ainsi que le mysticisme de ce juif converti au catholicisme sont également évoqués. Henri Hertz (1875, Nogent-sur-Seine, 1966, Paris) n'est pas pour rien dans le lancement de la carrière littéraire de Max Jacob, dont il fut très proche. En 1895, il s'installe à Paris et collabore à la Revue Générale Internationale de Louis Gastine. En 1901, il publie les Contes de la Soif dans la Revue des Indépendants puis entre à la Revue Blanche, dirigée par les frères Natanson. Quelques années plus tard, il se lie d'amitié avec Max Jacob et Apollinaire. En 1909, il publie la pièce Des Mécréants, Grasset, et en 1912, les Apartés, Éditions de la Phalange, recueil de vers bien salué par la critique.Max Jacob a dit de lui que "c'est l'un des écrivains les plus singuliers du moment", et "qu'il y a du dadaïsme, gidisme et tout le naturalisme au complet" dans son oeuvre. Apollinaire le cite dans sa conférence sur la Phalange Nouvelle en 1908. Il est un des collaborateurs de sa revue Le Festin d'Esope. Ami de Jean Royère, directeur de la Phalange, il donnera des textes à sa revue. Il collabore activement, avec Apollinaire, Jacob, Royère, Klingsor, Soupault, Reverdy, Fagus, Valéry, Aragon, Canoudo, Viélé-Griffin, Breton... à la Revue les Trois Roses, fondée à Grenoble, en juin 1918, par Justin-Frantz Simon. Henri Hertz reçoit le Prix Mallarmé pour l'ensemble de son oeuvre en 1928. Bel état.