Paris, Rivages, 1993, poche, broché, 139 pages. Bon état.
Reference : 70142
ISBN : 9782869306394
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Grand in-8, broché, VIII, 698 p., non coupé, portrait frontispice en héliogravure. Paris, Plon-Nourrit, 1912.
Edition originale. Bibliographie. Index. Bon exemplaire, non coupé.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Plon, 1896, in-8°, xv-(1)-448 pp, index, reliure demi-chagrin vert, dos à 5 faux-nerfs, titres et caissons dorés, tranches dorées (rel. de l'époque), bon état
"Le livre s’ouvre à la mort du Grand Roi. Louis XIV, en disparaissant, laissait la politique extérieure de la France dans une passe difficile : nos alliées coutumières, la Suède, la Turquie, la Pologne, étaient lasses de combattre ou penchaient vers la décadence, tandis qu'une jeune puissance, la nation moscovite, grandissait auprès d'elles et s’accroissait à leurs dépens. Pour retrouver notre équilibre et faire contrepoids à l'Allemagne, fallait-il nous tourner résolument vers la Russie, sacrifier les vieilles amitiés aux ambitions de la nouvelle venue, ou bien resserrer, au contraire, les liens traditionnels, refouler la Russie du côté de l’Asie et « lui fermer l'accès du monde civilisé ? » La France, pendant tout le XVIIIe siècle, eut à choisir entre ces systèmes opposés. La Russie, disons-le, nous fit toutes les avances, Pierre le Grand le premier, et après lui sa fille Élisabeth, arrivée au pouvoir suprême grâce aux conseils, à la direction avisée de l’envoyé français, le marquis de la Chétardie, éprise d'ailleurs, sur la foi d'un portrait, de Louis le Bien-Aimé, et poussée vers l'alliance française par des raisons sentimentales. Louis XV, comme le prouve Vandal, ne comprit pas clairement l’importance de l’atout qui tombait ainsi dans son jeu. Il ne sut point prendre parti franchement, et chaque pas qu'il fit en avant fut suivi d’un pas en arrière. Sa politique, du début à la fin, n’est qu’une longue suite d'oscillations, rapprochemens passagers auxquels succèdent des refroidissements sans rupture..." (Marquis de Ségur, Revue des Deux Mondes)
Tallandier. 1970. In-4. Broché. Bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1065 à 1092 - nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs dans le texte. Texte sur trois colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Staline contre Trotski, les marins de Cronstadt, les Montparnos, la famine en Russie - La Russie des années 20, d'après J.F.N. Bradley - La révolte de Cronstadt, J.N. Westwood et Ph. Masson - Le triomphe de Staline, d'après A.J.P. Taylor et H. Shukman - Les dernières années par Stepan Titarenko - Les ""Montparnos"" par Pierre Cabanne - Calendrier : le chemin de Damas de Joseph Goebbels. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Au bureau du journal. 31 mai 1902. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 382 à 400 - avec couverture et pages publicitaires.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
"SOMMAIRE : Gravures: le voyage du président en Russie, après le déjeuner du ""Montcalm"" (23 mai), le Président reconduit LL.MM. le Tsar et l'Impératrice Marie à l' ""Alexandria"" (photo de Gaumont) - la revue de Krasnoé-Sélo (21 mai), défilé des troupes de la Garde par Scott - panorama de Saint-Pierre vue du mouillage du Suchet, le 10 mai 1902, quarante-huit heure apres l'eruption, d'apres un dessin d'un officier du Suchet, M.Marc Legrand, enseigne de vaisseau / Articles: le président en Russie par Gustave Babin - Saint-Pierre de la Martinique après l'éruption du 8 mai, photographie de M.Cunge. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon"
Plon, 1929, gr. in-8°, xi-618 pp, un portrait d'après une miniature du temps en frontispice, biblio, broché, bon état
"Catherine II a fait la grandeur et elle reste l'orgueil du peuple russe. Le mois prochain,un écrivain français, pour qui les langues du Nord n'ont pas de secret et que de longues études ont familiarisé avec l'histoire de la Pologne et de la Russie, M. Waliszewski, doit faire paraître à la librairie Plon, avec ce titre : Le Roman d'une Impératrice, un volume qui contiendra le dernier mot des archives officielles et privées sur la moderne Sémiramis. Une commmunication amicale m'a permis de parcourir l'ouvrage qui est à l'impression : rien de plus attachant et de plus instructif. La première question qui se pose à propos de Catherine II est celle-ci était-elle vraiment jolie ? « A dire la vérité, lit-on dans ses Mémoires, je ne me suis jamais crue extraordinairement belle, mais je plaisais, et je pense que cela était mon fort. » Les contemporains dans leurs adulations allèrent toujours bien au delà de ce jugement, qui doit être l'expression de la vérité. Ils l'ont comparée tour à tour à Cléopâtre, à Pallas, à Vénus. Ils ont tellement perdu leur sang-froid en la contemplant, qu'ils lui ont prêté une stature élevée et dominant les foules, alors qu'elle était, d'après M. Waliszewski « de taille au-dessous de la moyènne, avec une tendance précoce à l'embonpoint » ils n'ont même pas su se mettre d'accord sur la couleur de ses yeux, que les uns ont vus bleus et les autres bruns. Pour accorder tout le monde, Rulhière, qui avait fait partie de l'ambassade de Breteuil en qualité de secrétaire, les dépeignit bruns avec des reflets bleus. Elle avait un art suprême pour faire illusion aux hommes, même à l'âge où les artifices des femmes ne les trompent plus guère. Ségur est envoyé auprès d'elle en 1785, en qualité de ministre de France. L'Impératrice compte déjà cinquante-six ans : le diplomate, qui est un cavalier charmant et l'ami de Grimm, n'en a pas plus de trente-deux. Eh bien ! en lui remettant ses lettres de créance, Ségur se trouble, oublie l'allocution qu'il avait préparée à loisir, et se trouve obligé d'en improviser une autre. Ce qui l'avait frappé, c'était la blancheur et l'éclat de son teint..." (Whist, Le Figaro)