Paris, Del Duca, Histoire de la littérature française, 1962, Broché. Couverture défraichie. Quelques passages fortement annotés au crayon. Bon exemplaire de travail., 470 pages.
Reference : 58907
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État : Bon état - Année : 1931 (édition de 1919) - Format : in 12° - Pages : 547pp - Editeur : Calmann-Lévy - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Couv un peu frottée et salie. Dos arrondi avec légers plis de lecture. Intérieur bien propre (papier légèrement jauni). - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/pierre-lasserre/10059-le-romantisme-francais?lrb
Essais sur la révolution des les sentiments et dans les idées au XIXe siècle. Nouvelle édition augmentée d'une préface. Cet essai, mise en forme de sa thèse de 1907, est une réfutation et une condamnation sans appel, mais parfaitement argumentée, du Romantisme français dont il démontre les effets néfastes sur la pensée politique et morale pendant tout le XIXe siècle. C'est un livre capital pour comprendre la pensée ˮcontre-révolutionnaireˮ du XXe siècle. Ce livre a beaucoup influencé Maurras mais aussi Massis et bien d'autres. «Il s’agissait pour nous, écrira Maurras, de dire non à tout. Il s’agissait de contester toutes les évidences et d’opposer à celles qui s’imposaient (y compris les mathématiques) les rebellions de la fantaisie, au besoin, de la paresse et de la l’ignorance… Un à quoi bon? Réglait le compte universel des personnes, des choses et des idées. C’était le néant même, senti et vécu.» (Charles Maurras parlant du romantisme)
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Verviers, Editions Gérard/Marabout, 1968. 11 x 18, 351 pp., nombreuses illustrations, broché, bon état.
Paris, Flammarion, 1968 14 x 21, 216 pp., illustrations N/B, broché, très bon état
Hachette Réalités 1980 . In-4 32 x 27,5 cm. Reliure de l’éditeur pleine toile rouge sous jaquette illustrée en couleurs, 318 pp., nombreuses reproductions en couleurs et en noir. Exemplaire en bon état.. Poids sans emballage : 2350 grammes. L’ouvrage analyse la production des années 1760 à 1848, quitte à remonter plus avant dans le XVIIIe siècle pour examiner certaines anticipations du romantisme. La démarche se termine jusqu’au second romantisme des années 1860, voire jusqu’au symbolisme.
L’ouvrage analyse la production des années 1760 à 1848, quitte à remonter plus avant dans le XVIIIe siècle pour examiner certaines anticipations du romantisme. La démarche se termine jusqu’au second romantisme des années 1860, voire jusqu’au symbolisme. Bon état d’occasion
Ramsay, 1980, in-8°, 170 pp, broché, couv. illustrée, bon état, bande éditeur conservée
Rahel Varnhagen von Ense, née Rahel Levin, est une écrivaine allemande de l'époque du romantisme, née le 19 mai 1771 et décédée le 7 mars 1833 à Berlin. À l’aube du romantisme, Rahel assiste à la naissance du nationalisme allemand et participe à son renouveau culturel. Elle tient un salon littéraire à Berlin et connaît, reçoit ou rencontre Goethe, Hegel, Louis-Ferdinand de Prusse, Beethoven et Heine, qu’elle influence. Déjà, elle plaide pour la liberté et l’égalité des femmes et en « héroïne » romantique, aime jusqu’au délire avant de rencontrer celui qui l’acceptera totalement : Auguste Varnhagen. Avec lui, elle voyage en France, en Hollande... À travers la vie de Rahel Levin qu’elle dépeint avec passion et talent, c’est aussi d’elle et de notre époque que nous parle Clara Malraux. — "Le titre donne déjà le ton de l'œuvre, soulignant le rapport privilégié de l'auteur avec son personnage mais aussi la singularité d'une approche dont l'auteur ne cache pas les tendances « exhibitionnistes » (p. 76). En s'attachant à faire revivre la figure de Rahel Levin-Varnhagen (1771-1833), Clara Malraux s'avoue tout d'abord fascinée par l'évident sentiment d'identité intérieure que peut avoir cette femme dans un milieu qui lui est à bien des égards hostile. Mais, comme par ses origines, sa condition de femme et sa volonté d'être sans cesse en prise sur son temps, l'auteur n'a de cesse de s'identifier à son personnage, ce livre qui au départ se voulait un « livre de complicité » (p. 11) devient au fil des pages un livre-prétexte où les « Revenons à Rahel » jalonnent une réflexion sur soi-même. Certes, nous apprenons sur Rahel, Berlin, les milieux juifs et intellectuels du début du XlXe siècle nombre de détails intéressants : évolution de la condition juive et, parallèlement, de celle des femmes, rapports neufs du social et du politique, élaboration d'une sociabilité nouvelle etc., mais le tout reste dominé par un souci permanent d'identification qui étouffe jusqu'à la superbe évidence à soi qui caractérise Rahel (« Toute ma vie je me suis prise pour Rahel et rien d'autre », cité p. 12). Certes cette identification a l'avantage de souligner l'actualité de certains problèmes, l'ampleur de certains changements dans les mentalités comme dans les mœurs, mais elle présente aussi l'inconvénient de pousser parfois jusqu'à l'absurde l'éclairage modernisant braqué sur le personnage. De plus, elle finit par isoler Rahel de cette période de transition – temps de la Philosophie des Lumières, temps de la Révolution française – qui constitue le véritable terreau du Romantisme allemand. C'est finalement à une analyse à rebours des mouvements littéraires du début du XIXe siècle qu'aboutit cette approche singulière. (...) Dans ce livre écrit avec passion et partialité, il est un point cependant où la volonté identificatrice de l'auteur fait merveille, c'est la description de la nouvelle sociabilité, l'analyse des nouveaux rapports amoureux. Là, le regard, le langage, l'écriture du XXe siècle finissant permettent de saisir un phénomène de société en pleine mutation : inversion des rôles, bouleversement des rapports homme- femme, importance de contacts sociaux si bien décrits et mis en pratique par Rahel («J'ai fait du talent de vivre ma principale étude »), valeur enfin reconnue du témoignage au féminin que sont le salon, la correspondance et le journal intime. Bref, du titre à l'index des noms cités, Rahel, ma grande sœur... reste un livre subjectif, attachant par les deux figures qui l'animent, l'auteur et son personnage." (Marie-Claire Hoock-Demarle, Romantisme, 1982)