Nice, Z'étions , 1997, in-8, broché, 76 pages. Bon état.
Reference : 3897
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Flammarion "Idées et Recherches" 1997, in-8 broché, 365 p. (bel état ; épuisé dans la collection) Cahier de 195 reproductions et index. Etude originale sur le thème de l'échelle céleste que le chrétien est appelé à gravir pour se rapprocher du ciel et qui fut abondamment représentée dans l'enluminure, la fresque, la sculpture et la gravure médiévales.
Librairie Armand Colin Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1974 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu-gris In-8 2 vol. - 282 pages
5 planches volantes dans le tome 2, numérotées A à E (normalement complet) Tome 1 (1966, 1ere édition) - Tome 2 (1974, 5eme édition) Contents, Chapitres : Tome 1, 190 pages - Tome 2, 92 pages - Tome 1. Historique et méthodologie - Construction de l'échelle 1966 - Résultats et étalonnages - Commentaires sur les épreuves - Derniers conseils - Annexe : Références données dans les chapitres II, III, IV, table des échelles et des tableaux - Tome 2. Introduction - Consignes pour l'application : Sondage - Autres subtests - NB : On joint 5 planches volantes numérotées A, B, C, D, et E qui étaient dans le tome 2 - Alfred Binet et Théodore Simon proposent, en 1905, la première échelle métrique d'intelligence. Cette échelle de développement sert à estimer le degré de développement intellectuel de l'enfant. Les items visent à mesurer le développement mental, sans faire appel aux connaissances de l'enfant. En 1916, le test de Stanford-Binet introduit la notion de quotient intellectuel, ou QI. Puis, en 1966, le psychologue et universitaire français René Zazzo introduit une « nouvelle échelle métrique de l'intelligence » (NEMI). - En 1945, soutenu par Henri Wallon, René Zazzo est sollicité pour fonder les premiers services de psychologie scolaire, prolongeant ainsi l'uvre d'insertion de la psychologie dans l'éducation entamée par Alfred Binet, dont il développe les travaux entre 1946 et 1966, date à laquelle il publie la nouvelle échelle métrique de l'intelligence (NEMI). Cependant, son souhait est de prévenir l'échec scolaire plutôt que de dépister les enfants déficients. - Selon René Zazzo, « Si Piaget n'est plus, on parle plus que jamais cependant des fonctions cognitives : le cognitivisme est dans le vent, et contre-vent d'ailleurs, en contrepartie de courants obscurs qui gagnent tout aussi bien la physique que la psychologie ». Zazzo a tort de mettre dans le même sac Jean Piaget et le cognitivisme. En effet, si le cognitivisme (empiristes comme le « réformiste » Frank Ramus) et les néo-Piagétiens (pragmatistes comme le « radical » Howard Gardner) dénient la dialectique dans leurs objets d'étude dont l'intelligence et la cognition, Jean Piaget la met en lumière et l'exploite. Il use d'ailleurs abondamment du terme de « dialectique », bien plus qu'Henri Wallon, même si selon Tran-Thong sa dialectique est plus hégélienne que marxienne. Cependant, il est vrai, que si l'école « classique » est accusée de « racisme » et de « réductionnisme », l'école « réformiste » née de la cybernétique influencée par l'empirisme pur reste en vogue aujourd'hui notamment grâce à l'intelligence artificielle. Il y a encore aujourd'hui un déni des écoles « radicales » qui mettent en avant non pas UNE intelligence mais DES intelligences dont René Zazzo. (source : Wikipedia) 2 volumes homogènes mais d'éditions différentes, 1966 pour le tome 1 et 1974 pour le tome 2, mais, sauf erreur, le texte est le même dans les différentes éditions (même nombre de pages), couvertures à peine jaunies. Tome 1 : Petite tache rouge au bas du plat inférieur affectant à peine le bas des 6 premières pages - Tome 2, bord gauche du plat supérieur un peu insolé. L'intérieur des deux tomes est sinon frais et propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire - NB : Il existe un 3eme fascicule de planches, le test Binet-Simon, 21 planches sous chemise, absent ici, nous proposons uniquement les 2 volumes de texte seuls, 1 et 2 (avec les 5 planches volantes du tome 2)
K221- ROLLAND d’ERCEVILLE ( Barthélémy Gabriel), MEURGEY de TUPIGNY (Jacques) : Le « Typus religionis ». Description d’un tableau conservé au Musée de l’Histoire de France. Avant-propos de Charles BRAIBANT. Paris, Imprimerie Nationale, 1956.
Reference : K221
(1956)
TEXTES : l’ouvrage débute par un « Avant-Propos » par Charles BRAIBANT (Villemomble [93], 1889 - Paris [XVI°], 1976), archiviste-paléographe (1914), directeur des Archives de France depuis 1948. L’essentiel de l’ouvrage porte sur le « Rapport » présenté au Parlement de Paris, le 15 juillet 1763, par le Président ROLLAND, suivi de la « Description du tableau ». Les pages liminaires (« Typus Religionis », Histoire du tableau, [notice sur] le président Rolland) et les dernières (Appendice [ traductions en français], Conclusion et Bibliographie), sont de J. MURGEY de TUPIGNY. PRÉCISIONS SUR L’AUTEUR : né Jacques-Pierre MEURGEY (Paris, 1891-1973), diplômé de l’École des Chartes en 1924, spécialiste reconnu en sigillographie et en généalogie, à l’époque directeur-adjoint des Archives Nationales ; il sera Commandeur de la Légion d’Honneur en 1961 ; par ailleurs, Chevalier de l’Ordre souverain de Malte [NOTE4]. Accessoirement adoubé dans l’Ordre Francisquin, dans les années 40 : dans la liste alphabétique, il est inscrit entre le docteur Ménétrel et François Mitterrand. Son patronyme devient MEURGEY de TUPIGNY [NOTE 5] par décret du 22/12/1954 ; parfois qualifié de « baron » (NOTE6], comme cela figure, par anticipation, sur deux modèles de son ex-libris, l’un daté de 1947, dessinés par Robert LOUIS, artiste auquel on doit les séries de timbres-poste relatifs aux provinces et villes de France. Par ailleurs, les Archives parisiennes nous apprennent que ses bisaïeux étaient « négociants » ; une de ses tantes avait épousé le fils de Félix Potin , épicier, fondateur de la célèbre enseigne éponyme. Dans son arbre généalogique, il y a donc plus d’épiceries de quartier que de quartiers de noblesse. Et pourtant, dans son volumineux « Armorial de la Généralité de Paris » (Mâcon, 4 vol.,1965-1967), J. M.de T. écrit dans sa préface : « Comme on le croit souvent à tort, et non plus que la particule devant le nom, les armoiries ne sont preuves de noblesse » (Georges Cerbelaud-Salagnac, dans son commentaire sur l’Armorial , in www.erudit.org).
BILLOM COMMUNAUTÉ... TYPUS REVISIONIS...On peut voir à Billom (Puy- de- Dôme), dans la Mairie, une copie du tableau. Une petite plaquette informative, éditée par « Billom Communauté » (de communes), quelques pages illustrées en quadrichromie, dans la série « Focus », est mise à la disposition des visiteurs. Disponible sur Internet (https://billomcommunaute.fr), sous-titrée (Google) « Un guide explicatif dédié au « Typuse ( sic !) Religionis ». Cela commence bien. J’ai pu relever une vingtaine de fautes, imprécisions, omissions, etc. dont voici un aperçu : - sur la date : « dernières années du XVI° siècle », contredit quelques lignes plus loin par cette phrase d’une lourdeur exceptionnelle : « Cependant, on ne peut pas non plus affirmer que ce ne soit pas Ravaillac » [1610] (en bon français, deux négations qui se suivent, relatives à un même objet égalent … une affirmation). Il en résulte que ce sont bien les régicides Clément et Ravaillac qui sont accueillis sur le vaisseau… Éventuellement, le cas échéant, si, sur cette échelle - et à côté-, ce ne sont point des régicides et leurs maîtres à penser, qui donc sont ces personnages ? Décidément, ce tableau est incontestablement « mystérieux », - ce fragment étonnant, le plus important de ce texte : « La lecture du tableau faite en 1763 par le président Rolland est erronée car elle est anecdotique, le sens général du tableau n’a pas été compris ». Anecdotique, la scène la plus importante du tableau ? En son centre, le navire ; sur le pont, au mitan de celui-ci, Loyola exhibe ostensiblement le sceau des Jésuites « IHS » ; toujours au centre de l’image, l’échelle recevant ces personnages … En revanche, le Pape est relégué, en contrebas, dans une barque, attelée à l’arrière du navire. Le Pape montera donc après assassins et complices. Ce tableau n’est pas, paraît-il, un tableau d’église, mais un objet « didactique », aujourd’hui on dirait « pédagogique », dont le but était d’inculquer à ces chers petits les bases de la Religion catholique romaine : cette vision de la Papauté est certainement…anecdotique. - L‘auteur – anonyme - de la plaquette a eu, malgré tout, une intuition géniale, quoique … anecdotique, au sujet de Jacques Clément et de François Ravaillac escaladant une échelle, accueillis à bras ouverts par le jésuite Varade ; « Peut-être le peintre s’est-il amusé (…) ». Allégoriquement, peut-être voulait-il simplement nous « mener en bateau » ? [NOTE7] - ce tableau , empli de figures, d’images, accompagnées, de bulles (censuré par le Vatican), de nombreux cartouches, dans sa version gravée à l’eau-forte, le « Typus Religionis » est, au même titre que la Tapisserie de Bayeux, un ancêtre de la B.D. En fin de compte, ce « travail » anonyme [NOTE 8] me paraît être de la bouillie (pardon, de la mauvaise potée auvergnate) pour touristes. À ce TYPUS REVISIONIS, il ne manque que l’Imprimatur. Avec un pape jésuite, tous les espoirs sont permis. IN FINE, je citerai un auteur , sortant certes de l’ordinaire, qui porte un jugement impartial sur le rôle des Jésuites dans les affaires de régicides : « Si les Jésuites ont été innocents des crimes de Jacques Clément, de Barrière, de Châtel et de Ravaillac ; s’ils ne furent pour rien dans les nombreuses conjurations ourdies contre la vie d’Élisabeth et de Jacques d’Angleterre, des princes de Nassau et de tant d’autres, il faut avouer qu’ il est bien étrange de rencontrer toujours dans ces faits quelque Jésuite confident du coupable. On se demande naturellement comment ces confesseurs, si habiles à s’emparer de l’esprit de leurs pénitents, n’ont jamais pu réussir à empêcher ces attentats dont ils avaient connaissance », tome I, 4. de l’ Histoire des Jésuites composée sur documents authentiques en partie inédits. Paris, Huet, 1858-1859, 3 vol. et Paris, A. Sagnier, 1870 (2° édition). [BNF, 305534**]. Il s’agit de René-François GUETTÉE [Blois, 1816- Ehnen ( Luxembourg], 1892], prêtre catholique de tendance gallicane voire janséniste, qui n’aimait pas les ultramontains : il se convertit à l’orthodoxie (1861), version russe, ultra Vistula , et se fera désormais appeler Wladimir ; marié civilement, ce prêtre hétérodoxe, embrassa l’orthodoxie et , sur un plan différent, sera « hétéro ».// [NOTE 1] Dans la « Bibliographie » [p. (45)], d’une part, sont citées deux gravures différentes du tableau, annoncées avec les « légendes en français » (sic)… Dans la première, jointe à la plaquette (1783), toutes les légendes sont en latin. D’autre part, est mentionnée « La Galère jésuitique » datée de 1826, avec « une estampe différente (…), avec les légendes en français », Paris, L’Huillier, 1826 (BNF, 36345639); il existe, une deuxième édition, parue la même année (BNF, 36345640). Par ailleurs un « Précis de l’histoire des jésuites (…),par Gabriel-Jean CHARVILHAC, accompagné d’une estampe du tableau trouvé (etc.…), paru à Paris, dès 1820, chez le même L’Huillier, montre une gravure qui semble identique à celle de 1826 [BNF 36345591, avec planche et (30226122), sans mention de planche ; photos visibles sur Bibliorare. com et LRB] [NOTE 2] Barthélémy-Gabriel ROLLAND, président du Parlement de Paris, premier comte de CHAMBAUDOIN par érection de la seigneurie en comté (par lettres patentes de Louis XV de janvier 1770, était seigneur d’Allainville, Annemont, Ardouville, Aubreuil, ERCEVILLE, Fontferrière, Gloriette, Judinville, La Muette, Trémeville, et Samois. Cette liste de fiefs, longue comme le bras, malgré l’acte de salubrité publique effectué trente ans auparavant, ne contribua certes pas à lui sauver la vie : il fut guillotiné le 20 avril 1794. [NOTE 3] « imposante peinture sur bois » (sic !), commentaire sur un concert (07/17/2009) dans l’hôtel de Soubise (« concertonet.com », longtemps « dissimulée derrière[sic!] une cimaise » . [NOTE 4] « l’ordre dit de Malte sous-entend noblesse, on y entre pour paraître noble sans l’être le moins du monde et ceci, en France tout particulièrement », l’admission dans cet ordre est devenue « principalement le refuge de la fausse noblesse » ou encore « en 1957, qui est noble va à l’ANF [Association d’entraide de la Noblesse Française], qui voudrait l’être va à Malte » (in Philippe du Puy de Clinchamps, Paris, P.U.F., « Que sais-je ? », La Noblesse, 1959 et La Chevalerie, 1966). [NOTE 5] de Tupigny, famille picarde éteinte depuis très belle lurette (fin du XVII° siècle); absente à l’ANF. [NOTE 6] rien sur son apparition (sur la toile, que des répétitions serviles, ce qui est bien dommage pour un « noble »). [NOTE 7] « mener en bateau », synonyme de «amuser» (CNRTL ). [NOTE 8] anonyme, néanmoins avec la caution morale de l’historien Bernard DOMPNIER (cité en exergue) , qui, entre autres, est « membre du Comité pontifical des sciences historiques (Vatican), membre de l’Accademia Ambrosiana, consultore storico auprès de la Congrégation romaine des Causes des saints » (« chec.uca.fr »). Espérons que la rédaction de ce torchon a été faite à son insu. Sinon… Cette fiche est un extrait d'un texte plus important, avec références bibliographiques, justificatifs et autres commentaires. DISPONIBLE en PDF sur simple demande.
Marseille (1852) Format (42 x 54 cm) sous vitre et baguette de bois (50 x 64 cm). Papier légèrement jauni.
Plan dessiné par Ginoux et lithographié par F. Raibaud. Table alphabétique des noms de rues de part et d'autre du plan.
Colmar, Préfecture du haut-rhin 4e division - service de la carte géologique d'alsace et, 1955; grand in-8, 30-1, broché. Bon état - manque la carte.
Bon état - manque la carte.