‎Hiroshige. Introduction et commentaires de Serge Elisséef‎
‎Tôkaidô.‎

‎Hiroshige - Tôkaidô‎

‎ Paris, éditions du Crédit lyonnais, 1960. In-4, 15 pp. 55 pl., en feuilles, couverture éditeur rouge, étui de l'éditeur de toile écrue, deux petits fermoirs en corne, liens rouges. ‎

‎Nouvelle édition de cette relation de voyage en image le long de la route de Tôkaidô par le célèbre graveur et peintre japonais Utagawa Hiroshige. Elle comprend 55 planches en couleurs représentant ses estampes et une carte du chemin parcouru à travers tout le Japon. Bel exemplaire. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

‎Michi la voie. 54 nouvelles stations du Tokaido.‎

‎<div class="productStrate__raw summaryStrate__raw" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Le Tokaido, <i data-mce-fragment="1">la route de la mer de l’Est</i>, est l’une des cinq routes majeures du Japon. Elle puise ses racines à l’époque Heian (794-1195) et constitue toujours l’axe principal qui relie Tokyo à Kyoto.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">Les caractères qui composent le mot Tokaido (<i data-mce-fragment="1">tô/higashi,</i> est – <i data-mce-fragment="1">kai/umi</i>, mer – <i data-mce-fragment="1">dô/michi</i>, voie/route) et plus particulièrement le dernier, <i data-mce-fragment="1">michi</i>, que l’on peut traduire par « la voie », « la route », permettent d’en saisir le sens profond qui va bien au-delà de son acception la plus littérale. Ce terme <i data-mce-fragment="1">michi</i> induit l’idée d’un parcours de vie, d’un apprentissage spirituel ; il est devenu la clé de voûte de ce projet, un concept de travail. Ses différents sens se matérialisent en une multitude de voies de création inscrites autour d’une seule et même ligne, le Tokaido.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">Artistes-voyageurs, Eléonore Levieux et Vincent Rauel ont suivi ce tracé historique à pied et en train, afin de déceler les traces visibles dans le paysage contemporain des 56 stations représentées par Hiroshige, éminent peintre japonais, au xixe siècle.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">De ce jeu de piste territorial, ils ont ramené une documentation riche et conséquente qui leur a permis de réaliser un travail graphique et cartographique illustrant chaque étape de cette route japonaise fondatrice.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">L’ensemble des dessins correspondant aux 56 stations de la route historique du Tokaido a été réalisé avec des outils traditionnels. Chacune des vues modernes a été produite avec un pinceau unique, un bâton d’encre, une pierre à encre, le tout exécuté sur papier washi.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">En résulte ce carnet de voyage, entre immersion historique sur le Tokaido et balade graphique à travers tout l’esthétique japonaise.</p></div> Paris, 2021 Elytis 144 p., cartonnage éditeur. 19,5 x 26,5‎

‎Neuf‎

‎La route du Tôkaidô.‎

‎Paris, éd. Marval, avril 1999, EDITION ORIGINALE, in-4 oblong, cartonnage souple avec un grand rabat éd., couv. texte en noir et rouge sur fond coul. beige éd., 134 pp., papier glacé,très nb. photos et reproductions de documents anciens en coul., carte en coul. sur couv. intérieure, biographie, "Le Tôkaidô, la voie de l'Océan et de l'Est, joint le Kansaï, le pays à l'ouest des Passes, et sa capitale Kyôto, à la plaine du Kantô située à l'est de ces dernières. Là, autour du petit port d'Edo, appelé à devenir plus tard Tôkyô, le pouvoir shôgunal des Tokugawa établit sa capitale politique au début du XVII siècle. Cette voie reliait donc les deux capitales, celle de l'Empereur et celle du Shôgun. Chaque nouveau Shôgun devait l'emprunter pour recevoir l'investiture de l'Empereur. Peu à peu, toute une cohorte de voyageurs, de moines et de marchands profitèrent de la sécurité de cette voie particulièrement bien fournie en relais. Des "guides", illustrés par de nombreux peintres d'estampes tels Utamaro, furent bientôt édités, précisant la qualité des haltes ainsi que les lieux "à voir" tout au long du chemin. Hiroshige se rendit célèbre en faisant éditer les vues des cinquante-trois relais du Tôkaidô en 1834-35. Aujourd'hui, hormis quelques tronçons sauvegardés, l'aspect originel de cet itinéraire est presque totalement effacé, noyé sous l'expansion urbaine, le béton des autoroutes et les voies du train à grande vitesse Tâkaidâ. Thierry Girard a parcouru la route du Tôkaidô et repris le principe des "stations", s'efforçant de trouver tout au long du trajet de s "situations" qui soient comme une sorte d'actualisation du regard d'Hiroshige." Pas courant Très bon état ‎

‎Sur la route de Tokaido: Chefs-d'oeuvre de la collection Leskowicz.‎

‎<span data-mce-fragment="1" itemprop="description">L'apogée du motif du paysage dans l'estampe se développe au Japon au début du XIXe siècle, alors que les voyages deviennent l'un des loisirs préférés des Japonais. L'album de 200 estampes, présenté dans l'exposition, a été réalisé afin de commémorer la procession d'Edo à Kyoto en 1863, par la route du Tokaido, du shogun Iemochi parti présenter ses respects à l'Empereur. Il a été acquis par le grand ethnologue et sinologue Victor Segalen, dès 1900. Cet album, resté intact et dans un état de fraîcheur remarquable, est accompagné d'une sélection d'estampes issues des collections du musée Guimet, réalisées par Utagawa Hiroshige et illustrant le même thème, notamment sa série des Cinquante-trois relais du Tokaido.<br data-mce-fragment="1"> L'ouvrage présente les 65 estampes les plus emblématiques de cette riche production.</span> Paris, 2022 Coédition Rmn-Grand Palais avec le musée national des arts asiatiques - Guimet 96 p., nombreuses illustrations couleur, relié toile. 14,1 x 18,2‎

‎Neuf‎

‎Hiroshige: Les 53 relais du Tokaido.‎

‎<p><meta charset="utf-8"><span>Utagawa Hiroshigeest un nom qui convoque immédiatement un imaginaire foisonnant et caractéristique de l'iconographie japonaise. Artiste prolifique, il y a une série d'oeuvres majeure et déterminante qui se démarque dans son travail du fait de sa popularité et de sa finesse d'exécution. " Les Cinquante-trois relais du Tokaido ", en plus d'être une suite d'estampes douées d'une technique remarquable alliée à un esthétisme stupéfiant, constitue un pan à part de l'histoire du Japon et de l'histoire de l'art.</span><br><span>Retraçant le trajet de Edo à Kyoto, cette route faisait partie d'un ensemble plus grand et indissociable de l'ère d'Edo intitulé le Gokaido. Maître absolu et incontesté de la pratique du Ukyo-e, dont il partage aujourd'hui les canons avec Hokusai, Hiroshige a élaboré 55 estampes au potentiel évocateur inouï, lesquelles n'ont cessées d'influencer les artistes depuis leurs publications jusqu'à nos jours.</span><br><span>Cet ouvrage, dans la continuité de la collection 36 vues, est une invitation au voyage et à la rêverie dans les pas de l'un des plus grands maîtres de l'estampe japonaise. Une expérience artistique comportant de très nombreuses clés historiques, qui permettent d'aborder cette oeuvre mythique à travers les yeux érudits d'un auteur savant, qui propose ici une approche ludique assurément pertinente. Un ensemble incontournable, introduit et commenté par un spécialiste et présenté sous la forme d'un joli livre-cadeau sur papier de création, à prix modique.</span></p> Châteaulin, 2024 Locus Solus 47 p., 53 ill. couleur, broché. 16 x 24‎

‎Neuf‎