Editions Alsatia / Signe de piste n° 102 de 1957. In-8 broché de 182 pages au format 19 x 14 cm. Superbe jaquette illustrée par Pierre Joubert avec petits frottis. Dos bien carré. Plats et intérieur très frais. Illustrations en noir hors texte de Pierre Joubert. Edition originale en bel état de fraicheur.
Reference : 25020
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Parenthèses Editions Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1979 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une photographie d'un combattant armé à genoux avec un turban grand In-8 1 vol. - 207 pages
1ere traduction en français, 1978-1979 "Contents, Chapitres : Note au lecteur et notice biographique, bibliographie, par L. Ketcheyan (20 pages) - Sur le chemin de la liberté - Préface - Le Khai - L'honneur - Cesse donc de prier - La mère - Un levain maudit - En prison - Dchavo - L'achough - Le pèlerin - La voix du sang - Le champ - Vazrik - Hazré - Notre chemin - Grégoire le sacristain - L'esprit de liberté - Sur le champ de bataille - Le nouvel an d'un haïdouk - L'aube - Sous des horizons étrangers - Le porteur de Flambeau - Tu mérites le respect - Avétis Aharonian, né le 9 janvier 1866 à Igdir et mort le 20 avril 1948 à Marseille, est un écrivain, journaliste et homme politique arménien. - Avétis Aharonian est né à Igdirmava, petit village proche du bourg d'Igdir à l'époque sous domination russe. Vers 1855, ses parents avaient émigré du village de Haftevan (district de Salmast) pour fuir le joug mahométan et se réfugier dans la Russie orthodoxe. Son père, Arakel, était forgeron et illettré. Au contraire de sa mère Zartar, qui apprend à lire et à écrire non seulement à ses propres enfants mais aussi à ceux des environs. C'est dans ce foyer que l'esprit de l'enfant se forme. Aharonian rapporte lui-même ses souvenirs dans son ouvrage autobiographique In Guirke (Mon livre). Le milieu rural, avec toute sa diversité, ses murs anciennes, ses contes et ses coutumes, ses saisons bonnes ou mauvaises, marque son esprit. Enfant attentif et sensible, il écoute déjà les bruits de la nature. Son attention est attiré par les incidents et les événements, par les gens et leurs caractéristiques morales et cela le fait réfléchir. C'est auprès de sa mère que le jeune Avétis reçut les premiers éléments de son instruction. Ses parents voulaient en faire un prêtre. Il fait ses études au Séminaire théologique Gevorkian d'Etchmiadzin, puis à l'université de Lausanne (philosophie et histoire) et enfin à la Sorbonne (littérature). - Après son retour, il adhère à la Fédération révolutionnaire arménienne et collabore avec Trochak (Drapeau), le journal du parti. Il collabore à plusieurs journaux ou périodiques (Mourdj, Haratch, Alik). Entre 1907 et 1909, il est le directeur (ou peut-être seulement conseiller d'éducation) de l'Académie Nersissian à Tiflis. Il est arrêté par la police tsariste en 1909, mais s'échappe de sa prison deux ans plus tard et s'exile en Suisse. Avétis Aharonian retourne dans le Caucase en 1916. Il participe à la formation du Congrès national arménien et prend en 1917 la tête du Conseil national arménien, qui fonde la Première République d'Arménie. Le gouvernement du nouvel État en fait l'un des visages principaux du pays sur la scène internationale, notamment du fait de ses qualités littéraires et de sa connaissance du français. Ainsi, il dirige la délégation arménienne envoyée à Istanbul en 1918 chargée de régler la question de la frontière entre l'Arménie et l'Empire ottoman ; Avétis Aharonian rencontre un certain nombre de personnalités, dont Talaat Pacha et Enver Pacha. En décembre 1918, il ensuite nommé par le parlement arménien à la tête de la délégation envoyée à la conférence de paix de Paris (1919), mais il découvre à son arrivée que son pays n'a pas sa place à la table des négociations. Il reste dans la capitale française et est l'un des signataires du Traité de Sèvres en août 1920. Cependant, ce traité, qui reconnaît l'Arménie en tant quÉtat indépendant, n'a que peu d'impact du fait de l'invasion soviétique qui a lieu quelques mois plus tard. Avétis Aharonian s'installe alors en France et continue de représenter les intérêts arméniens jusqu'au Traité de Lausanne en 1923, qui enterre définitivement les espoirs arméniens à l'autodétermination. Il vit ensuite à Marseille. Le 11 février 1934, lors d'une conférence organisée par Hamazkaïne, il souffre d'un AVC en plein discours devant une assemblée de 2 000 personnes. Il vit ensuite 14 ans dans la ville phocéenne, incapable de parler ou d'écrire, et y meurt le 20 avril 1948. (source : Wikipedia)" "couverture à peine jaunie avec d'infimes traces de pliures aux coins du plat supérieur, sinon très bon état, intérieur frais et propre, cela reste un bon exemplaire de ces 22 nouvelles écrites entre 1898 et 1902, ""elles composent une vaste fresque sur la vie quotidienne dans les villages arméniens où apparaissent déjà les signes précurseurs du premiers génocides du XXe siècle. Cette traduction constitue un précieux témoignage et donne accès à un texte où se mêlent des éléments poétique, historique, sociologique voire ethnologique et qui sous-tend un appel à la résistance de tout un peuple ""vers le chemin de la liberté"". (4eme de couverture)"
CEGES/BNF. 2017. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages environ - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans le texte + avec des documents en fac-similé. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
"Sommaire : 18 janvier 1952 : la Tunisie sur la voie de l'indépendance - Chronique du nationalisme tunisien : le long chemin de la liberté - Passe d'armes entre éditorialistes : l'Empire français, ce colosse aux pieds d'argile - Bizerte 1961 : la ""der des ders"" coloniale de la France - Assassinats commandités par l'état : les noires besognes de la main rouge - Lisez : Le Figaro du lundi 21 janvier 1952 ; Le populaire de Paris du mardi 22 janvier 1952 Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945"
Philosophie magazine. 2018. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 214 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleur, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 190-Philosophie occidentale moderne
Sommaire : La vie au grand air, extrait de Henry David Thoreau - La marche, un chemin vers la liberté, par Jean-Paul Kauffmann - Dans la forêt nord-américain avec Tarzan, extrait d'Alexis de Tocqueville - etc Classification Dewey : 190-Philosophie occidentale moderne
Paris : 1652 In-4, 24 pages. Broché.
« Le chemin de la liberté, c’est le transfert de l’autorité souveraine au Duc d’Orléans. L’auteur veut que le prince soit élu roi. » Moreau 1534.
Bureau du journal. 30 mars 1952. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Le train fou, M. Pinay constate la baisse, Pour leur frère de 96 ans, ces triplés sont des gamins, Le chemin de la liberté était trop étroit, Jean Dehays libéré : mon calvaire est fini, Le général Guillaume a changé de tenue, L'opéra de M. Com craint la pluie Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux