Paris, C. Marpon & E. Flammarion éditeurs 1885. In-8 relié de 36 pages au format 24 x 18,5 cm. Sobre et élégante reliure demi toile rouge avec plats en papier marbré. Dos rond avec pièce de titre, fleuron, filets et date en pied, gravés et dorés. Titre partiellement effacé. Lettre-préface de Jules Claretie. Couverture ( conservée ) et superbes Illustrations de A. Guillaumot fls tirées en bistres. Petites rousseurs intérieures éparses. Petits frottis aux coin des plats. Rare édition originale en très bel état général de ces poèmes à la gloire de la danse et des danseuses.
Reference : 14353
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Paris, Gallimard, (septembre) 2023. 1 vol. (145 x 215 mm) de 96 p. et [4] f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 230 premiers exemplaires sur vélin rivoli des papeteries Arjowiggins (n° 196).
La Danseuse est le dernier roman de Modiano, et l'une de ses fictions les plus courtes. Mais pas l'une des moins intéressantes. A parution en octobre dernier, l'auteur confie au journaliste du Monde : «J'ai l'impression d'écrire toujours le même livre, de manière discontinue(...) Certains noms passent d'un roman à l'autre, et je serais incapable de dire dans quels romans précis on retrouve chacun d'entre eux.» Dans ce vaste livre en plusieurs tomes, sans doute Dora Bruder (1997) et Un pedigree gardent une place à part : La Danseuse les rappelle par moment. De la brume émergent toujours des détails réalistes : des noms, des adresses, des extraits de rapports de police. Et la danse. Modiano l'évoquait dans Un pedigree, et il revient en force dans La Danseuse : le spectacle de George Balanchine La Somnambule (1946) lui a causé une « grande émotion » quand il l'a applaudi, enfant. « C'était la première fois que je voyais un ballet, se souvient-il. Je serais incapable de dire pourquoi j'ai éprouvé un tel choc quand cette danseuse [Maria Tallchief] se déplaçait un long moment en silence, comme une somnambule (...) Les hasards de la vie ont fait que j'ai côtoyé le monde de la danse très jeune et que j'éprouvais la plus grande admiration pour le travail des danseuses et des danseurs, répond l'intéressé. Rien à voir avec ma mère, qui n'a jamais été danseuse. Tout juste simple «figurante» dans deux revues à Bruxelles quand elle avait 18 ans. » On retrouve également le fameux « Auteuil 15.28 », ce numéro qui revient dans tant de romans : Modiano l'avoue enfin : « c'est un numéro imaginaire qui n'a jamais sonné et auquel personne n'a jamais répondu dans la vie réelle », affirme-t-il.
TRÈS RARE BILLET DE LA CÉLÈBRE DANSEUSE AMÉRICAINE CONSIDÉRÉE COMME LA MUSE DE LA BELLE-ÉPOQUE :...Venez au Figaro demain a 5 heures et demander pour moi. Je suis la - Entendu pour jeudi prochain, Gab nous emmene j'espère...Cest en 1892 que Loïe Fuller débuta à Paris aux Folies Bergères où elle devait connaître un très grand succès pendant dix ans. Le peintre Toulouse-Lautrec, fasciné par les tourbillons hypnotiques des voiles de la danseuse, en fera plusieurs portraits restés célèbre Dans ses chorégraphies, Loïe Fuller offre des représentations enveloppée dans de longs voiles quelle agite au moyen de baguettes tout en tournoyant sur une dalle de verre rétroéclairée par des faisceaux lumineux de différentes couleurs, tandis que des miroirs fort habilement disposés reflètent son image à linfini. Son corps et les voiles ne font plus quun.Par sa créativité et son intelligence dans lutilisation des progrès technologiques, elle fascina aussi bien des poètes symbolistes comme Mallarmé que des sculpteurs, des cinéastes ou des scientifiques. Loïe Fuller entretint une relation amoureuse avec Gabrielle Bloch, dite « Gab », une de ses admiratrices. Elles partageront leurs vies jusquau décès de la danseuse.
Paris Pierre Petit Photographe 31, place Cadet 1865 une photographie originale "CARTE DE VISITE" albuminée en noir, format : 5,6 x 9,2 cm pour la photo, 6,3 x 10,5 cm avec le carton ou la photo est contrecollée, Année : Circa 1865, Paris Pierre Petit Photographe 31, place Cadet,
Pierre Petit, Paris, PORTRAIT (vintage albumen print) PORTRAIT DE MARIE TAGLIONI, COMTESSE DE GILBERT DE VOISINS, DANSEUSE ..... Pierre Lanith Petit, né le 15 août 1831 à Aups (Var) et mort le 16 février 1909 à Paris, est un photographe français, il apprend la technique photographique avec Eugène Disdéri, l'inventeur de la photo carte de visite. Il est surnommé « Collodion le chevelu». Il installe ses studios à Paris, en 1858 au no 31 rue Cadet................TRÉS RARE................en trés bon état ( very good condition). en trés bon état
2001 2001. Joseph-Arthur de Gobineau: La danseuse de Shamakha/ Maxi-Livres 2001 . Joseph-Arthur de Gobineau: La danseuse de Shamakha/ Maxi-Livres 2001
Très bon état
Elle se mettra entièrement à sa disposition du compositeur dès son retour de convalescence où elle sera à Nice. « …et pour le pas de deux avec ma gentille camarade Rouvier et aussi (puisque vous me l’avez offert) pour travailler avec Ricotti. Je crois qu’à nous deux, on fera pas trop mal surtout que je me ferai faire un costume allant avec le sien. Si vous avez quelque chose d’urgent à me communiquer, écrivez-moi. Poste restante à Nice… ». La seconde lettre, celle de Blanche Guillemin est également adressée au compositeur William Marie, elle est datée de Paris, le 14 janvier 1915, et est relative à son intention de danser « les danses militaires avec ma camarade Sauvageau à une prochaine matinée du théâtre Antoine très probablement. J’espère que vous n’y voyez aucun inconvénient et vous me feriez plaisir en venant à une de nos répétitions… ».