Paris, L. de Potter, 1842. 3 volumes in 8°, demi-percaline à coins verte, pièces de titre en maroquin prune, fleuron et titre dorés, couvertures imprimées jaunes conservées, non rognés. [2 ff.], IV-311 pp. ; [2 ff.], 346 pp. ; [2 ff.], 346 pp., [2 ff.] catalogue.
Reference : AMA-472
EDITION ORIGINALE. Le seul roman parisien de George Sand. L’action s’y passe en 1832 au moment du massacre de la rue Saint-Merry. George Sand y oppose Horace, jeune intellectuel égoïste et froid, le narrateur, Théophile un étudiant en médecine qui vit en union libre avec une vertueuse grisette, et Paul Arsène, ouvrier héroïque et généreux. Le roman fut la cause d’une brouille de près de 20 ans avec Buloz qui exigea des corrections pour le publier dans la Revue des Deux-Mondes, corrections que George Sand refusa de faire. En 1832, la romancière vivait avec Jules Sandeau dans une mansarde du quai Saint-Michel, fréquentait de nombreux étudiants qui prirent part de juin 1832 et lui racontèrent certainement des scènes qui s’y déroulèrent, de telle sorte que les épisodes qu’elle raconte semblent avoir été croquis sur le vif. (Colin, 51).
Librairie Les Amazones
Mme Chantal Bigot
33 (0)6 08 03 44 17
Sauf mention contraire, nos livres sont complets et en bon état. Nos prix sont nets. Règlement sur pro-forma. Frais de port en recommandé et d'assurance à la charge du destinataire. Les livres voyagent aux risques et périls du client. Pour nos clients étrangers les virements ou les chèques en devises doivent être majorés de 25 euros.
Hachette 1871 in12. 1871. reliure demi-basane. 416 pages. Etat Correct d'usage reliure passable qq rousseurs en l'etat
Fontemoing 1905 in12. 1905. Broché. 441 pages. Etat Passable de la couverture avec leger manque au dos et traces de sctoch
depuis Comte d'Orford, écrites dans les années 1766 à 1780, auxquelles sont jointes des lettres à Voltaire, écrites dans les années 1759 à 1775, publiés d'après les originaux déposés à Strawberry-Bill. Nouvelle édition augmentée des extraits des lettres d'Horace Walpole. complet en 4 vols gd in8, 225x145, jolies reliures cuir, frottements, ( sans le portrait annoncé ), bon état intérieur, 405, 437, 432 & 445pp A Paris, Chez Ponthieu, Libraire 1824 Les "Lettres de la Marquise du Deffand à Horace Walpole" sont une correspondance échangée entre Marie de Vichy-Chamrond, Marquise du Deffand, et Horace Walpole, un écrivain, homme politique et collectionneur britannique. Ces lettres ont été écrites entre les années 1766 et 1780. La Marquise du Deffand était une femme de lettres et une figure influente dans les cercles intellectuels et politiques de son époque en France. Horace Walpole, quant à lui, était un écrivain renommé et un important collectionneur d'art. Ces lettres reflètent une amitié épistolaire entre la Marquise du Deffand et Horace Walpole, ainsi qu'une correspondance intellectuelle et littéraire. Les sujets abordés dans les lettres sont variés et incluent des discussions sur la littérature, la politique, la société et les événements contemporains. Les "Lettres de la Marquise du Deffand à Horace Walpole" offrent un aperçu intéressant de la vie intellectuelle et sociale de l'époque, ainsi que des personnalités et des idées qui ont marqué cette période. Elles témoignent également de la relation particulière entre la Marquise du Deffand et Horace Walpole, deux figures importantes du monde littéraire et culturel du XVIIIe siècle.
P., Michel Lévy, 1864, in-12, 409 pp, nouvelle édition, reliure demi-toile verte, dos lisse avec titres dorés et filets à froid (rel. de l'époque), bon état (Oeuvres de George Sand)
Théophile, étudiant en médecine et narrateur de cette histoire, vit maritalement avec Eugénie, une ouvrière. Pas question de la considérer comme une grisette ! Les jeunes gens suivent les idées saint-simoniennes qui rendent leur union aussi sacrée et respectable que s'ils étaient officiellement mariés. Théophile rencontre un jour un autre étudiant, Horace, originaire comme lui d'un milieu bourgeois de province. Les parents d'Horace ont sacrifié la dot de leur fille pour que leur fils puisse venir étudier à Paris. Théophile est tout de suite séduit par Horace. Pourtant, il se rend également immédiatement compte de ses défauts. Horace a des ambitions démesurées dans divers domaines, droit, littérature... Il pense que la gloire lui sera offerte sans qu'il ait besoin de faire le moindre effort. Il n'a pas vraiment de goût pour le travail... — "Il faut croire qu'Horace représente un type moderne très fidèle et très répandu, car ce livre m'a fait une douzaine d'ennemis bien conditionnés. Des gens que je ne connaissais pas prétendaient s'y reconnaître, et m'en voulaient à la mort de les avoir si cruellement dévoilés. Pour moi, je répète ici ce que j'ai dit dans la première préface ; je n'ai fait poser personne pour esquisser ce portrait ; je l'ai pris partout et nulle part, comme le type de dévouement aveugle que j'ai opposé à ce type de personnalité sans frein. Ces deux types sont éternels, et j'ai ouï dire plaisamment à un homme de beaucoup d'esprit, que le monde se divisait en deux séries d'êtres plus ou moins pensants : les farceurs et les jobards. C'est peut-être ce mot-là qui m'a frappée et qui m'a portée à écrire Horace vers le même temps. Je tenais peut-être à montrer que les exploiteurs sont quelquefois dupes de leur égoïsme, que les dévoués ne sont pas toujours privés de bonheur." (G. S.)
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Né en 1789 au Louvre, Horace Vernet est le petit-fils du peintre Joseph Vernet et fils du peintre de chevaux Carle Vernet. Malgré un échec au Prix de Rome, il s'attire très tôt les faveurs de Napoléon Ier. Evoluant d'abord au sein du cénacle romantique des années 1820, il développe une manière facile et séduisante et s'initie à la lithographie. Il devient le peintre favori du duc d'Orléans, futur Louis-Philippe.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Le catalogue met en lumière l'importance des voyages d'Horace Vernet, notamment en Italie et en Algérie. Nommé directeur de l'Académie de France à Rome en 1829, Horace Vernet découvre les grands modèles classiques italiens et s'essaye à la peinture d'histoire. En 1833, il découvre l'Algérie et se concentre sur une peinture orientaliste, alternant les sujets civils, religieux et militaires. Deux ans plus tard, il est chargé de représenter les conquêtes militaires par les héritiers de Louis-Philippe dans les salles d'Afrique du château de Versailles.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Le temps des grandes commandes est ponctué de nombreux voyages en Orient et en Russie. Sous le Second Empire, il voit sa carrière saluée lors d'une rétrospective de son oeuvre à l'Exposition universelle de 1855. Il meurt en 1863 après avoir reçu l'insigne de Grand officier de la Légion d'honneur. Peintre prolixe, encensé ou conspué par la critique, Horace Vernet n'a pas laissé ses contemporains indifférents.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">L'exposition montrera la facilité de la manière du peintre et la richesse de ses sujets de prédilection, révélant son amour pour les chevaux et la chasse, son attachement à l'épopée napoléonienne et aux faits d'armes, son goût pour la littérature romantique et Lord Byron, ou encore pour la mise en scène de ses origines familiales. Peintre complet, Horace Vernet s'illustre dans tous les genres. Plus de quarante ans après la dernière exposition consacrée à Vernet, cette rétrospective d'environ 200 oeuvres sera l'occasion de découvrir de nombreux chefs-d'oeuvre inédits, accompagnés d'esquisses et de dessins témoignant de la méthode de travail de l'artiste.</span> Paris, 2024 Faton/Chateau de Versailles 448 p., illustré, cartonnage éditeur. 24,6 x 27,7
Neuf