Paris, Perrin, 1890. 2 vol. in-8 de III-XVI-596-(1) pp., table ; (4)-596 pp., table, demi-marqouin aubergine, dos à nerfs, pices de titre et de tomaison en maroquin vert (reliure de l'époque).
Reference : 12800
Édition originale. Portrait de Marie-Antoinette en frontispice. Très bon exemplaire.
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La Haye, Giunta d'Albani, 1814, petit in 12 broché, 158 pages ; taches et rousseurs ; couverture grise de parution défraichie avec petits manques. Exemplaire de travail.
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Paris, G. Charpentier 1878 In-4 29 x 21 cm. Reliure demi-chagrin havane à coins, VIII-512 pp., tête dorée, ouvrage orné à chaque page par Giacomelli, au frontispice, portrait de Marie-Antoinette gravé en couleur par Bonnet d'après le tableau de Krausinger, 12 planches hors texte, reproductions d’originaux du XVIIIe siècle, d'après P. Duflos junior, dessinées par Lespinasse, gravées par Th. Chaivel, et Prieur, notes en bas de page, table des matières.
Bon état d’occasion
Tours, Mame, 1897, in 8° cartonnage rouge très décoré de l'éditeur, 240 pages ; coiffes usées.
Orné d'illustrations hors-texte. Bon exemplaire. PHOTOS SUR DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Ernest Flammarion, Eugéne Fasquelle, 1925, 416 pages, in 12 broché, état moyen.
Paris Editions François Bourin 1990 1 vol. Broché in-8, broché, couverture illustrée d’un portrait en couleurs d’après Kucharsky, 307 pp. La préface s'attache à évaluer le travail d'historien des Goncourt, en particulier sur le XVIIIe siècle, le rôle de la femme en ce temps-là, plus important dans cette société aristocratique que dans la société bourgeoise du XIXe siècle. Au passage, Robert Kopp explique la misogynie des frères, assez commune de leur temps, et la compare à celle de Baudelaire et de Flaubert. Il reconnaît que la documentation réunie par nos historiens sur Marie-Antoinette et son temps est "vaste et variée", et que le résultat est une "immense tapisserie dans laquelle on voit évoluer toute la cour de France, mais aussi tous les écrivains et tous les artistes de l'époque". Mais ce "défilé de masques bariolés" finit en "danse macabre".