1884 1 page in-8 et 1 page in-12 à son monogramme gaufré (Paris, 30 octobre 1884 et s.l.n.d.). Demande de place pour un confrère "rédacteur en chef du premier journal du Canada, La Minerve". Dans le second courrier (traces d'encre au monogramme et au dos), il recommande un auteur "indignement traité par l'Odéon".
Reference : 96563
Vignes Online
M. Henri Vignes
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2 pages in-8, à son adresse imprimée, 16 juin 1910 et 28 novembre 1910. Concernant sa pièce Après moi, il propose une lecture chez Jules Claretie plutôt qu'au Théâtre français où ils pourraient être dérangés. En novembre, il assure que M. "D." assurera la mise en scène et conclue sur un "votre bien fatigué et profondément dévoué". La création de la pièce le 20 février 1911 à la Comédie Française provoquera de vives réactions chez les antisémites, dont celle de Léon Daudet qui reproche au Français de soutenir un auteur juif et un déserteur (Bernstein ayant déserté lors de son service militaire).
2 pages in-8, s.l., "samedi" (feuillet effrangé) et 17 février. Il doit rencontrer Jules Claretie pour lui présenter sa pièce : "j'espère encore, je compte sur vos lumières, et sur votre justice qui ne traitera pas un coupable en 5 actes comme un coupable vulgaire". Dans la seconde lettre, il le remercie pour un article bienveillant et flatteur : "Vous savez combien un auteur, un peu en retard comme moi, doit tenir à l'opinion d'un jeune et vaillant lutteur comme vous".
1 page in-16 et 1 page in-12, Paris, 4 mars et 24 mai. Évoquant un dîner où il fut question de Shakespeare : "L'ombre de Shakespeare, si longtemps incompris en France, a dû tressaillir de joie en se sentant si justement et si noblement admiré" ( 4 mars). A propos d'un pièce de Jules Bois qu'il recommande (24 mai).
2 pages in-8 à l'en-tête imprimé de la Revue des Deux Mondes, 15 mai et 10 juin 1894. Il demande une loge pour assister à la prochaine représentation d'Adrienne Lecouvreur d'Eugène Scribe. Dans la seconde lettre, il le remercie de son mot.
1 page in-12, s.l., 1er mars 1913 et 1 page in-12 s.l.n.d. Il s'engage à faire une lecture de La Marche Nuptiale qui sera reprise en juillet 1913 à la Comédie Française. Il demande une loge pour assister à la pièce de Wolff qu'il a "grand hâte d'applaudir".