Les Hautes Plaines de Mane Robert Morel 1968 1 vol. relié in-12, cartonnage blanc imprimé de l'éditeur, 175 pp. Bon état général.
Reference : 94264
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M. Henri Vignes
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29 mai [1866], 10,4x13,2cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon, dont le nom figure en partie inférieure du feuillet. 12 lignes sur une page d'un bifeuillet. Retranscrite par la Société des Amis d'Alexandre Dumas, dans le cadre de l'exposition "Dumas et les femmes" au château de Monte-Cristo. « Ma chère petite Religieuse, Je suis parti sans te dire adieu et je me suis plus d'une fois reproché ce crime, mais comment aurais-je pu partir après une nuit passée avec toi. Tu sais bien que c'eût été chose impossible. Je t'écris ce mot pour te donner de mes nouvelles, te dire que je t'aime et que je te baise sur toutes les coutures. Fais-moi de bons vers pour mon retour. A toi » On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adresss à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il ici). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride.Il donnait notamment rendez-vous à sa conquête en son domicile du 107 Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain adapte au théâtre son roman Gabriel Lambert et mentionne dans une lettre une lecture de la pièce, créée à l'Ambigu-Comique le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Précieuse et ardente missive du grand écrivain, en proie à la plus vive passion pour cette amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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lundi soir [1866 ?], 13,3x20,9cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 6 lignes sur une page d'un bifeuillet de papier vergé, aux initiales couronnées de l'écrivain. « Chère amoi [sic] Ton ami arrivé moulu brisé de deux nuits de voitures et de chemins de fer. Il t'attend demain soir mardi. Oh ce sera avec grand bonheur qu'il s'assurera que toutes choses sont dans l'état où il les a laissées a toi» On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il dans un autre billet). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donnait notamment rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne dans une lettre une lecture de la pièce, créée à l'Ambigu-Comique le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Esthétique billet rempli d'anticipation, de la main du grand écrivain et adressé à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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s.d. [1866 ?], 10,7x13,6cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée probablement inédite d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 23 lignes sur deux pages d'un bifeuillet de papier vergé. Traces de pli inhérentes à l'envoi. « Bonjour mes amours chéris Vous convient-il que je sois rue des Bernardins 24 et vous ramener rue ou plutôt Boulevard Malesherbes n° 107. Là quelqu'un qui vous aime fort se permettra de vous tutoyer ce qu'il n'ose faire dans une lettre et vous dira : - Sois la bienvenue ma bien aimée, mon coeur et mon corps sont à toi - Est-ce assez ou veux-tu encore autre chose ? Je ne te dis pas de venir demain [...] je ne sais pas à quelle heure je pourrais être à toi. Ainsi donc vendredi soir -aimez moi- un peu - et si vous vous ennuyez venez me voir une heure demain dans la journée de midi à deux heures. A toi ma chérie Bon voilà que je me rappelle que demain je lis ma pièce à l'Ambigu demain de midi à 3 heures [...] » On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il dans une autre lettre). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donne ici rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans les premiers mois de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne ici dans le post-scriptum une lecture de la pièce à l'Ambigu-Comique, le théâtre où elle est créée le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Superbe et expansive déclaration d'amour du grand écrivain, adressée à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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s.d. [1866 ?], 8,6x11,1cm, une page sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée probablement inédite d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 13 lignes sur deux pages d'un bifeuillet. Trace de pli horizontale inhérente à l'envoi. « Mon amour chéri Penses tu à moi Veux tu me garder ta soirée de demain [...]nous irons au spectacle en tous cas viens en arlaisienne [sic] Je t'écrirai demain, pour te redire que je t'aime. Ma fillea été on ne peut plus touchée de ton explosion vis à vis d'elle. Elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons Aime moi» On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il ici). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donnait notamment rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur cette missive nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («Ma fillea été on ne peut plus touchée de ton explosion vis à vis d'elle.Elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» écrit-t-il ici). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne dans une autre lettre une lecture de la pièce à l'Ambigu-Comique, le théâtre où elle est créée le 16 mars 1866.Les dernières années de la vie de Dumas ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Esthétique et débordante déclaration d'amour du grand écrivain, adressée à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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LE CLUB FRANCAIS DU DISQUE. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs. Princeps, 13. Nuovo Madrigaletto Italiano, dir. Emilio Giani. Lamento d'Amante, Lacrime d'Amante, Ecco Silvio.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n° HMU 458. Classification : 410-33 Tours