Paris Calmann Lévy 1881 1 vol. relié gr. in-8, plein maroquin à gros grain marron, dos à quatre nerfs, large bordure intérieure de même maroquin richement ornée dune frise dorée, de filets dorées en plein et en pointillé, doublures et gardes de soie moirée vert sapin, doubles gardes, tranches dorées sur témoins, couvertures conservées (E. Maylander), III + 178 pp. Édition originale de cette satire des salons littéraires, représentée pour la première fois à la Comédie-Française le 25 avril 1881. Un des 25 exemplaires numérotés sur Hollande, seul grand papier avec 5 Chine. On joint les portraits gravées de deux comédiennes qui créèrent la pièce : Madeleine Brohan (Duchesse de Réville) et Émilie Broisat (Lucy Watson), ainsi qu'une belle lettre autographe signée de l'auteur (2 p. in-8, "Ronjoux", 17 septembre 1894) dans laquelle il évoque la reprise de sa pièce Cabotins, ses projet en cours et les premiers pas de son enfant : "ce jeune homme est entré dans ma chambre, tout seul, sur ses imperceptibles pieds, il est venu à moi, chancelant mais ravi & m'a dit papa... ou caca, je ne sais pas au juste, mais enfin je ne lui en ai pas été moins reconnaissant". Ex-libris sur maroquin fauve Robert Moureau et Laurent Meûs à la devise "Hic liber est meus". Exemplaire en parfaite condition dans une belle reliure de Maylander.
Reference : 83525
Vignes Online
M. Henri Vignes
La Font Macaire
87120 Eymoutiers
France
05 55 14 44 53
conformes aux usages de la Librairie ancienne et moderne et, pour l'étranger, aux règlements en matière de paiement. Les prix indiqués sont nets, en euros. Frais de port en sus à la charge du destinataire.
1897 Paris, Calmann-Lévy, 1897, 2 ouvrages réunis en un volume in 12 relié demi-veau rouge, dos à nerfs orné, 178 et 130 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
broché - 12x19 - 181 pp - 1934 - éditions CALMANN-LEVY, Paris. 175ème édition.Comédie représentée pour la première fois, à Paris, à la comédie française, le 25 avril 1884.
Représentée pour la 1re fois à Paris, à la Comédie Française le 25 avril 1881. 3e édition. Paris. Calmann-Lévy. 1881. In-8 (150 x 230mm) dos chagrin tête de nègre à 4 nerfs, titre et fleurons or, plats et gardes marbrés, 2ff., IV, 178 pages. Des rousseurs, belle reliure.
C'est le monde officiel, gourmé, pédant, hypocrite, où la tenue, nos pères disaient la gravité, tient lieu de tous les mérites. Dans les salons de ce monde-là, les jeunes gens ont quarante ans au sortir du collège, les jeunes filles portent des lunettes et ont une opinion personnelle sur Schopenhauer... Rien de plus vif, de plus leste dit M. Fr. Sarcey que le premier acte tout entier et la première moitié du second, qui mettent en mouvement tous ces personnages; c'est un feu d'artifice de mots plaisants, qui s'élancent si drus, si étincelants, que je n'ai jamais vu éblouissement pareil... Extraits de la longue notice que Larousse XIX° (tome XVII, page 1602) consacre à l'analyse de cette pièce.
CALMANN LEVY. 1881. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Coiffe en tête abîmée, Intérieur acceptable. 178 pages - tampon sur le 1er plat - plats salis - petite déchirure sur le 1er plat - coiffes abîmées.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Représentée pour la première fois à paris à la comédie française le 25 avril 1881. Classification Dewey : 792-Théâtre
Paris, Michel Lévy Frères, 1883. 22,5 x 15 cm, 178 pp. Relié plein maroquin bleu nuit, dos à nerfs, caissons ornés, date en queue, titre doré, toutes tranches dorées, monogramme EB ou CB sur le premier plat encadré d'un triple filet doré, double filet sur les champs, larges bordures intérieures de dentelles et filets dorés. Reliure signée V. Champs. Quelques légères traces de frottements, coins légèrement émoussés,sinon bon exemplaire. Intérieur très frais. Édition originale. Envoi autographe signé de l'auteur. Ex-libris contrecollé de Diane Gratzmuller.
"Victor Champs, né en 1844 à Meaux. Orphelin de père alors quil était très jeune, il dut travailler de bonne heure. Il fut mis en apprentissage chez un relieur de Meaux, sa ville natale, et sadonna entièrement à son métier, pour lequel, dès le départ, il montra un goût certain. Comme beaucoup douvriers à cette époque il fit son tour de France et vint ensuite à Paris ; il travailla successivement dans les ateliers Parisot, de Haas et Fayot. Mais son but était de sétablir et dès 1868 il reprit le fond de reliure Reinsch, place Saint-André-des-Arts, où il exerça jusquen 1876. A cette date, il transporta ses ateliers au 4 rue Gît-le-Cur, quil agrandit à trois reprises. Aux travaux ordinaires du début, il substitua peu à peu des travaux plus soignés qui lui attirèrent la clientèle des bibliophiles pour des ouvrages rares qui ne devaient pas recevoir de décors compliqués mais néanmoins un habit digne deux. Ses reliures pour les bibliophiles sont recherchées par les collectionneurs, pour la bonne tenue de leurs corps douvrage et le fini du travail. Avec Carayon, ils furent les relieurs qui, dans les travaux relativement simples, résumèrent le plus haut degré de la perfection dexécution. Il mourut en décembre 1912. Lune de ses deux filles, Madeleine, avait épousé le doreur Léon Horelois, le 27 juin 1903." (Fléty, p. 41)