Paris Tschann, coll. "Voltes" 1996 1 vol. broché plaquette in-12 agrafée, non paginée (12 p.). Version augmentée de ce texte consacré à Michel Leiris paru initialement chez Liber. Tirage limité hors commerce. Un coin de la 4e de couv. légèrement corné. Très bon état.
Reference : 65759
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Liège Editions Dynamo, Pie 1958 Plaquette in-12 assemblée par une cordelette, couverture imprimée.Edition originale de cette émouvante lettre de guerre écrite au front par Guillaume Apollinaire le 20 août 1915 adressée à son amie Louise de Coligny-Châtillon, dans laquelle il décrit l'atmosphère des tranchées et sa guitoune (son antre souterrain, sa cellule comme il l'appelle): Rien de nouveau dans cette guerre que plus d'ignorance chez les ignorants, c'est-à-dire les journalistes ou, plus exactement, les journaux. Je suis en ce moment dans un bois charmant plein de mousse; je construis ma guitoune en mottes de gazon. Pas pour longtemps, car je crois que je vais bientôt tirer le canon ou plutôt en commander le tir... (début de la lettre). L'ouvrage est illustré par Dunoyer de Segonzac de 3 dessins représentant les poilus, dont 2 hors-texte et un in-texte. Tirage limité à 51 exemplaires numérotés. Un des 40 exemplaires sur vélin blanc.
Liège Editions Dynamo, Pie 1958 Plaquette in-12 assemblée par une cordelette, couverture imprimée.Edition originale de cette émouvante lettre de guerre écrite au front par Guillaume Apollinaire le 20 août 1915 adressée à son amie Louise de Coligny-Châtillon, dans laquelle il décrit l'atmosphère des tranchées et sa guitoune (son antre souterrain, sa cellule comme il l'appelle): Rien de nouveau dans cette guerre que plus d'ignorance chez les ignorants, c'est-à-dire les journalistes ou, plus exactement, les journaux. Je suis en ce moment dans un bois charmant plein de mousse; je construis ma guitoune en mottes de gazon. Pas pour longtemps, car je crois que je vais bientôt tirer le canon ou plutôt en commander le tir... (début de la lettre). L'ouvrage est illustré par Dunoyer de Segonzac de 3 dessins représentant les poilus, dont 2 hors-texte et un in-texte. Tirage limité à 51 exemplaires numérotés. Un des 40 exemplaires sur vélin blanc.
Liège Editions Dynamo, Pie 1958 Plaquette in-12 assemblée par une cordelette, couverture imprimée.Edition originale de cette émouvante lettre de guerre écrite au front par Guillaume Apollinaire le 20 août 1915 adressée à son amie Louise de Coligny-Châtillon, dans laquelle il décrit l'atmosphère des tranchées et sa guitoune (son antre souterrain, sa cellule comme il l'appelle): Rien de nouveau dans cette guerre que plus d'ignorance chez les ignorants, c'est-à-dire les journalistes ou, plus exactement, les journaux. Je suis en ce moment dans un bois charmant plein de mousse; je construis ma guitoune en mottes de gazon. Pas pour longtemps, car je crois que je vais bientôt tirer le canon ou plutôt en commander le tir... (début de la lettre). L'ouvrage est illustré par André Dunoyer de Segonzac de 3 dessins représentant les poilus, dont 2 hors-texte et un in-texte. Tirage limité à 51 exemplaires numérotés. Un des 10 premiers exemplaires sur vélin chamois, seuls à comporter (après un exemplaire unique sur vergé de Hollande), des rehauts coloriés à la main.
Couverture souple verte. Illustré par Dunoyer de Segonzac de 3 dessins représentant les Poilus, dont 2 hors-texte et un in-texte.
Liège Editions Dynamo, Pierre Aelberts 1958 9 pp. Plaquette in-12. Broché. Parfait état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE de cette émouvante lettre de guerre écrite au front par G. Apollinaire le 20 Août 1915. TIRAGE LIMITÉ à 51 exemplaires numérotés. Celui-ci un des 40 exemplaires numérotés et justifiés à la main par l'éditeur sur vélin blanc, troisième papier.
17,5 x 11 By [Château de By, Thomery] 1898 " Ma chère cousine, vous n'avez donc pas reçu ma dernière lettre où je vous disais que maintenant j'allais très bien. Votre télégramme d'hier m'a donc fort étonné. Je suis très occupée en ce moment à rattraper le temps perdu et je ne manque pas à faire chez moi, je vous l'assure. Du reste rien de nouveau à By toujours la même chose. Mon ami Benjamin Tedesco vous enverra la gravure des chevaux di..[mots illisibles] elle est à l'encadrement à Paris. Je vous embrasse bien ma bonne cousine et suis contente que l'influenza vous ait laissé en suspens. Dans ma lettre, je vous demandais des nouvelles ...Votre télégramme m'a donc prouvé que vous étiez en meilleure santé. Croyez à mes sincères affections." [Signature]. Rosa Bonheur (1822-1899) s'est installée au château de By (Thomery, en Seine-et-Marne). en 1860, acheté grâce à son succès commercial. En 1898, un an avant sa mort, elle est une artiste consacrée. Son importante production de tableaux, de gravures et de bronze ont été vendus par l'intermédiaire de marchands d'art, Ernest Gambart à Londres, Roland Knoedler aux Etats-Unis. Benjamin Tedesco, très proche de Rosa Bonheur, s'occupe du marché français. La galerie des frères Tedesco, spécialisée dans la peinture française du XIXe siècle, achetait directement auprès des artistes et revendait à d'autres marchands ou collectionneurs privés. La Galerie avait été créée en 1833 et elle fut fermée par les nazis en 1941. Leurs livres de compte sont conservés au Getty Research Institut, à Los Angeles. Rosa Bonheur figure parmi les artistes les plus vendus par les Frères Tedesco entre 1880 et 1922. (Isabella Zuralski-Yeager, Art Historian, Archivist at the Getty Research Institute, "Tedesco Frères Selling Rosa Bonheur: An Inquiry into Dealers Stock Books", 2022). Louise Lagrolet (Bordeaux, 1835 - Montfort-en-Chalosse, 1903), née Dublan de Lahet, épouse de Jean Lagrolet, est une cousine du côté des Dublan de Lahet : Jean-Baptiste Dublan de Lahet (1769-1830) s'est révélé au moment de sa mort être le père de la mère de Rosa Bonheur. Le Musée des Beaux-Arts de Bordeaux possède une correspondance entre la famille Lagrelet et Rosa Bonheur. Les échanges de services sont évoqués : Les frères Tédesco sont sollicités pour aider Georges, le fils de Louise, qui est dans la banque à Paris, à changer éventuellement d'emploi. Et le foie gras de canard produit par Louise à Montfort-en-Chalosse est livré à By. Mais il semble bien que la cousine Louise ait eu le sens des affaires et réclame dans ses lettres tableaux, bronze et gravures. Tédesco est chargé d'envoyer les caisses. A la mort de Rosa Bonheur, sa famille et Louise Lagrolet accuseront Anna Klumpke, légataire universelle, d'avoir capté le testament de l'artiste. Dans son testament, Rosa Bonheur avait précisé "J'ai promis verbalement à ma cousine Mme Lagrolet, la petite étude terminée de la Foulaison"... La vente publique, organisée par les Frères Tédesco en mai 1900, rapporta plus d'un million de francs. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST